Pensionnat Kageshiro
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 Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium

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Superbia M. Hysteria
Groupie de Shizuo
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Superbia M. Hysteria


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Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium Empty
MessageSujet: Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium   Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium Icon_minitimeMar 14 Déc - 9:18

{. I Le Personnage.

Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium 101031095448469284
* Nom;
    Croyez-moi ou non, Angélique à vécu la plus gros partie de sa vie avec le surnom de " LH ", sigle symbolisant Longchamps-Holleville. Une explication toute simple pour son nom à rallonge : divorce. Vous verez, bien plus bas, que les parents d'Angélique ont divocer l'année suivant sa naissance, donc, les répercutions sont le nom composé. Longchamps étant le nom de son père et Holleville le nom de jeune fille de sa mère. Angélique à aussi porter pendant un ans le nom de Rosenberg, puis elle divorça et reprit son ancien nom de jeune fille.


*Prénom;
    Côté prénom, Angélique a eu le droit au prénom de ses grands-mères, ainsi que son prénom de baptême. Angélique lui fut attribuer car c'était "mignon" d'après sa mère. Ses deux autres noms lui ont était donner par son père, exigeant que sa fille porte le prénom de sa mère, Bérénice, et de sa belle-mère, Tempérance. Ainsi, tout la famille était heureuse, -enfin, en partie...


*Âge;
    Son physique de jeune femme à souvent fausser les calculs des psychiatres travaillant de le même service que la petite Angélique. En réalité, sa carte d'identité précise bien qu'elle à vingt-cinq ans.


*Sexe;
    C'est une fille, personne n'a été vérifier pour aller dire le contraire du moins...


*Race & Pouvoir;
    Angélique est le pure produit humain qu'il existe et en se qui concerne son pouvoir, c'est simple: Angélique n'a pas de pouvoir.


*Physique;
Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium 101102030900167630Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium 101102030820637515
    Voyons, voyons... Décrire physiquement Angélique me semble un jeu d'enfant. Vous serez d'accord avec moi, Angélique à vingt-cinq ans, mais elle fait bien plus jeune. Disons cinq ans de moins ! Son visage inspirant la jeunesse et tout les joies qui l'accompagne, il est facile de croire que mademoiselle Longchamps-Holleville n'a jamais été marier mais souvent aborder par des vieux pervers en quête de nouvelles expériences charnelles. Mais vous vous trompez, je vous laisserez découvrit la vie d'Angélique bien plus bas, poursuivons notre visite.

    En restant sur le visage d'Angélique, vous noterez ses magnifiques yeux... Grands, limpides et d'un bleu claire si envoûtant. Comment ne pas s'arrêter un instant et rester à contempler ses yeux, se dire que ô combien les gens ont pu lui dire qu'elle avait de beaux yeux. Personne tout aussi nombreuse que les pervers citer plus haut. Outre cela, elle a un petit nez discret qu'elle ne souhaite échanger pour rien au monde car c'est le seul souvenir, parait-il, que sa grand-mère avait. Sans oublier la petite bouche aux lèvres fragiles d'Angélique. Contrairement à ce que certaines personnes pensent, Angélique ne porte JAMAIS de maquillage, trouvant cela totallement inutile et ne veut pas passer pour une ingénue, si vous voyez se que je veux dire...

    Ah ! Un sujet de conversation que la mère d'Angélique refuse d'entendre parler : les cheveux de la psychiatre. D'un longeur qui semble infini, d'une douceur inconnu et d'une odeur floral. Vous avez bien entendu, floral. Angélique ne sent pas la rose, -pas de mauvaise blague-, elle sent le lys. Bien entendu, c'est sa fleur préféré, sinon, elle ne sentirait pas comme ça. Odeur qui peut souvent choquer les personnes qui ne sont pas habitué, mais vous noterez qu'elle n'en a rien à faire des personnes critiquant son parfum. Les lys arbordent différente couleur, les cheveux d'Angélique sont quand à eux bruns et toujours détachés. Le plus souvent, une méche courte à droite et une longue et épaisse méche à gauche.

    Poitrine... J'aime ce mot ! Poitrine ! La poitrine d'Angélique est... " suffisante pour une psychiatre de vingt-cinq ans ". Ca c'est ce que dit Angélique quand on parle de sa poitrine, disons qu'elle n'est pas aussi grosse qu'une femme de son âge. Elle ne s'embête pas avec les soutiens-gorges au moins ! Elle sait qu'elle doit prendre dans les petites tailles et n'étant pas pudique, cela ne la dérange pas d'avour que son tour de poitrine est... navrant dirons nous. J'oublie peut-être, mais Angélique a un tatouage dans le dos, sur l'omoplate gauche, une lys blanche.

    Parlons vêtements : Angélique n'est pas une acheteuse compulsive de vêtement et sa garde-robe ne s'en pleins pas ! Quoi qu'elle aimerait bien voir autre chose ques des chemises blanches à col et des shorts courts. Angélique a beau être une psychiatre, se faire suivre par des pervers qui ont les yeux rivés sur son derrière, elle se demandera sincèrement pourquoi les gens osent lui baver dessus. Sans oublier les collants sombrant qui recouvre ses jambes et ses petites bottines noirs. Sans oublier sa longue veste marron généreusement offerte par Michael, mais ça, vous ne le savez pas, sa reste entre nous ! Et en guise d'accessoire, Angélique porte une cravate rouge, bien entendu empreinter pour une durée indéterminé à Michael...


*Psychique;
Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium 101102030649218349Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium 101102030724934270
    Aussi inébranlable qu'un rocher en pleine tempête. J'entends par la que son calme est constant et imperturbable. Calme qui laisse parfois les gens partir de son cabinet de consultation un peu perplexe sur la santé mental de leur psychologue. Angélique ne communique jamais ses émotions par son visage, comme si ses muscles étaient bloquer, ne pouvant la faire que sourire légèrement et la faire parler et respirer. Angélique a eu affaire à des patients de type colérique et violent, soit elle subissait sans broncher, soit mademoiselle Longchamps-Holleville s'octroie le droit de remettre à sa place le patient à coup de chaise tout en restant placide. Même en faisant acte de violence sur des gens, -ce qui est rare-, cela ne veux pas dire qu'Angélique devient un volcan quand elle finit par être en colère, non, non, non. Angélique gardera toujours son calme, et ça, c'est ce qui a de plus énervant quand on connait le Dr. Longchamps-Holleville, vous lui parlez de vos problèmes dans votre tête et qu'elle à l'air de s'en foutre royalement.

    Une attitude désinvolt où, -surtout en consultation-, Angélique ingnore la personne qui lui parle, mais écoute quand même. Le plus souvent, elle sort son calepin, note quelques bricole à votre sujet, puis elle se mettra très certainement à dessiner des... lapins. Attention, le genre de dessin que même un enfant de six ans peut faire, donc pas du grand art. Si l'on vous parle de lapin, de thé, ne vous étonnez pas si Angélique parle de "mignon petits mug lapin" avec des étoiles dans les yeux, -c'est une image, hein, je vous rapelle qu'Angélique ne communique pas ses sentiments. Angélique est une collectionneuse hors-paire de mug lapin, autant vous dire que si une personne ose, je dit bien ose, cassé accidentellement ou non l'un de ses mugs, crise de nerf vous croyez ? Non, même pas, c'est surtout votre tête qui heurtera amoureusement la mur et non une chaise qui s'abattera sur votre boite craniène.

    Je n'irais pas jusqu'a dire que malgré son calme impassible, Angélique n'est pas une bavarde. Au contraire ! Elle n'arrête pas de piailler et à moins de lui mettre du scotch sur la bouche rien ne la fait taire. Ou du thé, dans un mug lapin, bien entendu ! Angélique peut être gentille parfois, mais son problème avec les gens, c'est qu'elle y va cash, en toute franchise et assume pleinement ce défaut. C'est d'ailleurs à cause de sa grande bouche qu'Angélique a changer plusieur fois d'école; la vérité ne plait pas à tout le monde, et Angélique sait toujours les bons mots qui blesse. De plus, sa franchise vient d'un autre problème : les mensonges. Angélique à une sainte horreur des mensonges et elle les découvre facilement. Non pas que sa la mets en rogne, elle se mettra à esquisser un sourire inquiétant en vous demandant gentiment de dire la vérité. Si vous voulez avoir une longueur d'avance sur Angélique pour la "piégé", parlez-lui de Micheal...

    " Seigneur Dieu Michael Tout Puissant ", qui n'a jamais entendu Angélique dire cela ? Sauf les nouveux venu. Alors, une grande question se pose dans votre petit cerveau : QUI EST MICHEAL ? Michael Weikath, tout simplement. Angélique fera l'éloge de se guitarise jouant dans le groupe de power metal allemand, j'ai nommé " Helloween " ! Vous ne connaissez pas ? Angélique vous ignorera tout sa vie, autant dire que vous connaissez et changer rapidement de sujet. Cependant, il y a l'autre Michael... Michael Von Karma, ce charmant jeune homme qu'elle a rencontrer en cure de désintoxication. Quand on sait ceci sur son passé, impossible de ne pas exploité ce fait. Alors quand on parle de Michael Von Karma, Angélique change totallement. Elle rougira violement et s'en ira sans dire un mot. Remarquez, je pense que c'est mieux comme ça. Et quand on parle de sa dépendance au valium, alors elle s'octroie le droit de garder son sourire d'ange et vous tapera avec son calepin ou son mug.

    MAIS ! Angélique reste une fille sympathique dans l'ensemble, quoi qu'un peu déranger du cerveau.


*Histoire;
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    « " Un enfant, ce monstre que les adultes fabriquent avec leurs regrets " de Jean-Paul Sartre. Les regrets des mes parents m'habitent donc ? Mais, au fond de nous, savons-nous se qu'est un regret ? Tristesse de la perte d'une personne ou d'un quelconque objet ? Ou le mécontentement d'avoir fait quelque chose de travers ? Un jour où l'autre nous avons tous des regrets... Depuis que je suis née, depuis ce 6 Avril, je me suis toujours demander si je n'était pas plutôt un problème pour mes parents. Mais quel enfant ne s'est jamais poser la question : " Mes parents m'ont-ils adopter ? ". Tôt ou tard, adolescent rebelle ou en quête de son identité, se posera cette critique question. C'est ainsi qu'est conçut l'être humain, il doit sans cesse se remettre en question, de toujours tout savoir sur tout. Quand je me suis posé cette question fatidique, j'était en cours de français. J'avais quoi... quinze ans à l'époque. Certes, je fréquentais des gens qui n'étaient pas du même "milieux social" que moi. J'étais une "bourge" à leurs yeux et ils n'en avait que faire de moi. Jusqu'au jour où j'appris l'expression "Avoir des trippes". Dans ma tête d'élève égocentrique, si une personne voulait se sentir admin parmi certains groupes, il fallait faire ces rituels stupides. Je devais m'affirmer, ouais. J'amais j'aurais penser passer pour une "garce" aux yeux de mon père. Je fouttais toute son éducation qu'il m'avait offert par la fenêtre.

    Ce grand blond, celui qui criait jour et nuit sur ma personne, c'était mon père. Stanislas Holleville, cadet d'une fraterie de quatre garçons. Je ne pouvais pas dire qu'il était méchant avec moi, mon père. Il était juste triste. Non, pas triste, il était habité par le regret... avec un petit mélange de whisky. Il ne me battait pas, ça jamais il ne l'aurait fait ! Moi, sa fille, sa tendre princesse. Je savais qu'elle lui manquait. Qui ? Ma mère ! Un an après ma naissance, je n'était encore en âge de comprendre, Marie-Lou de Longchamps, ma mère, a décidé de quitter mon père. Non, ils m'ont tout deux dit qu'il s'étaient mutuellement quitté. Ils ne m'ont jamais donner la véritable raison de leur divorce. J'avais juste le droit à des "Elle était agaçante" ou "il ne faisait rien de la journée". Genre de chose qu'une fillette de huit ans ne comprendrait pas. Mais quand j'y repense, ils avaient le même regret. Chaque noël, nous allions dans la maison de mon grand-père. Nous étions tous là, des tantes, des oncles, des neveux, des cousins, des belle-mères et j'en passe, j'était heureuse de savoir que mon grand-père avait une grande maison et pleins de domestique. J'était doublement heureuse de voir disparaitre mes parents dans le jardin. Vous ne le savez peut être pas, mais Marie-Lou et Stanislas sont comme le ying et le yang. Ma mère est doté d'une patience à rude épreuve et mon père monte très vite en pic de colère, mais malgré celà, ils se sont aimer, et s'aime toujours. Même si on est une gamine de huit ans, des adultes amoureux c'est se qui vous pasionne le plus. Chaque noël, ils le passaient dans le jardin, et pour cause ! Ma grand-mère m'avoua que c'est dans ses lieux, dans ce jardin, à cette date du 25 Décembre que mon père demanda ma mère en mariage. Magique, non ? Elle me précisa aussi qu'ils revenaient, même après leur divorce, ici pour parler du bon vieux temps. Et vous savez se que font les gosses de huit ans quand on leur dit ça ? Ils se font des films ! Je suis bien placer pour vous le dire. Ils s'étaient opposés, ils ont divorcer, mais ils s'aiment. "Les contraires s'attirent", c'était la phrase de maman ça... Elle souriait tristement en disant ça, comme ci elle avait des regrets...

    Quand l'adolescence commen ça à pointer le bout de son nez, j'avais quinze ans. J'avais le plaisir de découvrir la puberté et les changements de mon corps, mais surout, j'avais l'intense plaisir de me remettre en question. Est-ce que les autres m'acceptes ? Etais-je un accident pour mes parents ? J'ai aussi fréquenter de gens qui n'étaient pas de la même catégorie social que moi. Je devais rester dans le cercle des bourges. Cependant, moi aussi j'écouter du rock, du hard rock même. Mais j'avais un code vestimentaire différent du leur; c'était de véritables gothiques et moi j'était normal, dirons nous, je m'habiller avec des vêtements de marques. Mon père me répète souvent que ce n'était que des bons à rien et que j'avais la chance d'avoir tout ce que je voulais, qu'ils n'étaient qu'une bande d'anarchistes jaloux et qu'ils attirent les ennuies. Ma mère, elle, disait que sa ne servait à rien de les suivre, ils cherchent juste à avoir des amis ou des esclaves, que j'avais qu'à les ignorer. Ils avaient raison tout les deux. J'avais qu'une idée en tête : me faire tatouer. A chaque fois que je voyais ces punks passaient, je les voyait toujours habillé en noir, les cheveux en pétard ou plein de gel, des perçings pleins le visage. Mais jamais je ne l'ai ai vue avec un tatouage, c'était pourtant une grande preuve de désobéïssance. C'est quand je me suis presenter dans un salon de tatouage que j'ai compris. Les punks avaient beau se procclamaient rebelle et sans peur, les tatouage faisaient peur. Sur les murs, il y avait de magnifiques dessins, oui. Cependant, quand on s'assoit sur le fauteille et qu'on se fait tatouer, on a qu'une seule envie: partir. Il m'a juste demander mon âge, et moi, qui n'avait que quinze ans et beaucoup de courage, j'ai menti. " J'ai dix-huit ans " que je lui ai dit avec ma voix de petite adolescante pertubée par les hormones. Il n'a fait que hausser les épaules et désigner d'un coup de tête les tarifs. J'ai alors sourit, j'ai sorti une tripoté de billet et j'ai demander une lys blanche dans mon dos, toute discrète sur l'épaule. J'avais eu mon cézame grâce à tout l'argent que j'ai voler à mon père. Quand mon père a su que je m'était fais tatouer, c'était grâce à un magnifique débardeur que ma tante avait acheter. Oui, ma mère était au courant depuis un moment. Depuis que j'ai était fait du shopping avec elle, elle m'a prit à part dans une cabine et m'a fait la morale gentiment et dit qu'elle ne dirait rien à papa. Cependant, quand la soeur de mon père eu la bonne idée de m'acheter des vêtements pour mon seizième anniversaire, mon père a eu aussi la bonne idée de me dire de les essayer de suite. Deux pull que je n'ai jamais mis et un débardeur à bretelle fine et au décolter... plongeant sur ma poitrine presque absente. Ce jour là, j'ai crut qu'il allait me tuer. Le seul mot que j'ai retenue de cette engueulade, c'étaite "petite garce" et les autres fait que comme quoi je fouttais son éducation en l'air. Mais je m'en foutais, j'avais, entre-temps, rejoinds ce groupe de punk et j'avais fumé ma première cigarette. Non, c'était même pas une cigarette, c'était carrément un joint avec du canabis dedans, mon premier contact avec la drogue... »

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    « J'avoue, j'ai fait une erreur de jeunesse. Mais qui n'en a jamais fait ? A ce moment là, je ne savais pas que dans cette cigarette fait maison, il y avait du canabis et d'autre chose que je ne devais certainement pas connaitre le nom à l'époque. Je parlais de rituel stupid tout à l'heure, bah ça, s'en était un : faire fumer les nouveaux membres. Depuis que je fait parti de cette bande, Rodney McRay, le chef de la bande m'a pris sous son aile. Il m'apprenait tout ce que j'avais besoin de savoir pour devenir une véritable crapule, les autres filles étaient jalouses et seraient prette à rejoidnre un club de sorcière s'il y en avait un. Cet approche avec la drogue, c'était peut être pas la meilleur et surtout pas en ce moment. Je sentais la fumée un plein nez, mon père se posait bien des questions et je répondait gentiment que c'était mes amis qui fumaient, pas moi. Il m'a crut, et j'étais bien contente qu'il me crois, j'aurais finit dans le congélateur s'il ne m'avais pas crut.

    Enfin bref, ma première découverte de la drogue... Je n'y ai pu jamais retoucher de ma vie, et j'ai cesser les activités illicites et je me concentra sur mes études, ce qui déplût fortement à Rodney. J'ai appris par la suite qu'il avait le beggin pour moi, genre de chose que j'en avait rien à cirée. Je m'était fait disputer par mon père pour mon tatouage et j'ai eu le droit à la réunion de famille maman-papa-fille. Le vote était de un contre deux, je fut placer dans une école privé à Paris. Et vas-y que je te claque avec Jean-Eudes et Marie-Ange. Marre. J'en avais complètement marre ! Alors j'ai saisi l'occassion d'ouvrir "ma grande gueule". J'appliquait à la lettre les petites choses que Rod' m'avait apprise : briser des fenêtres et laisse des indices pour accuser quelqu'un d'autre, je faisais circuler des très mauvaises rumeurs, enfin pleins de trucs amusants quoi ! Cepandant, le proviseurs n'approuvait pas mon comportement, j'ai été viré une semaine, puis définitivement de son école pour fils et filles à papa. J'ai crut que ma mère allait devoir me faire un cercueil, mon père était encore plus énervé que la fois où je me suis fait tatouer. Et il n'avait pas bu se jour là, et heureusement que ma mère calmait le jeu, sinon, j'ose même pas savoir ce qui serait advenue de moi. J'avais la joie de me faire virer trois fois après ma première exclusion. Mon père pris la décision de me placer en pension. Je pensait que sa serait encore plus pire que les lycées où on m'avait envoyer, mais je me suis tromper.

    Je partageait une petite chambre avec une certaine Edwige, elle était encore plus rebelle que moi. J'ai penser que j'aurais le droit à la poupée barbie, mais j'ai eu le droit à une gothique plutôt sympathique ! Elle s'est fait virer d'une dizaine de lycée pour avoir comis des délits mineurs. J'était un petit clown comparait à elle. Quand je la voit, je pensait à Rodney qui ne s'était toujours pas fait tatouer. Edwige avait une dizaine de tatouage, chaqu'un du même style que sa propriétaire. Malgré son fort potentielle pour écouter du métal plus fort que chante la prof de chant, elle m'avoue qu'elle ne fera rien à part abuser de la fortune de papa. Moi, je savais se que j'allais faire. Des études en psychiatrie. Sans trop me forcer j'ai eu mon bac ! Il ne me rester plus qu'a faire des études en médecine, puis m'orienter dans la psychologie et le tour est joué ! Cependant, je craigniait que mon dossier plutôt bien remplit pour une petite bourge ne passe pas. Alors mon père à jouer de ses relations et j'ai obtenue se que je voulais. Tous mes joyeux diplômes dans un petite boite en verre pour décorer mon mur de cabinet.

    Suite à celà, j'ai été embaucher dans un grand hôpital psychiatre. Mon bureau était blanc, avec une grande fenêtre qui laissait la lumière venir. J'avais, derrière moi, tout mes mugs lapins, la photo de mes parents, et pleins de bouquins que j'ai plus ou moins lu. En face, le mur blanc avec tout mes diplômes. J'avais quoi, vingt-trois ans, j'avais mon bureau, mes patients et mes mugs lapins. Jamais j'aurais penser que mon patient du jour serais Marc Rosenberg, de cinq ans mon aîné, soit, vingt-huit ans. J'avais les jambes posé sur le bureau, sirotant mon thé dans mon mug préféré. Il ferma soigneusement la porte et vint me faire sa demande. Il me demanda en mariage et je crut que j'allais mourir étouffer dans mon thé. Et biensûr, comme un crétine j'ai répondut "oui" et j'ai vu son magnifique sourire et aussi les cris de joie des psychiatres filles et les lamentations des psychiatres et patients garçons. En effet, depuis que j'avais intégré ce centre psychiatrique, les patients et le corps médical n'avaient d'yeux que pour " la Jeunette " comme ils m'appellaient entre eux. Je pense que j'avais pas vraiment le choix, soit les vieux pervers me courent après pour me voler ma virginité, soit je me marie avec ce Rosenberg. Il a plutôt l'air rustre, mais il est mignon. Ca c'est ma mère qui le dit le jour du mariage, rien de mieux pour remonter mon moral ! Mon père disait que c'était un bon partie pour moi. Moi, je trouvais que le valium m'allait superbement bien. Oui, du valium. Valium que je prends en comprimé, bien entendu. Je pouvais m'en fournit quand je voulais d'ailleurs, je n'avais qu'a demander aux pharmaciens de l'asile et toc, c'était dans ma poche. Connut pour ses vertus anti-dépresseur si on l'utilise avec certains médicaments, j'avais le droit d'en commander pour un tel et de me fournit quelques petites pillules, le bonheur en comprimé ! J'aurais pu me mettre ç fumer du canabis, sniffer de la cocaïne, c'était dans mon budget, mais le valium c'est bien mieux... Depuis un mois de fiançaille, je m'enfique plus de quatre comprimés par jour sans que personne ne sache. J'était accro, mais je le niais. Je ne voulais pas passer pour une toxico qui profite des problèmes d'un patient dépressif pour remplir mes poches de valium.

    Oui. J'était une accro, mais personne ne voyait rien. J'avalais chaque comprimé comme on avale des smartises sans les mâcher. J'étais donc toujours entrain de planer, la tête tombant de ma main pour attérir dans mon assiettes. Mon entourage voyait bien que je manquait soit-disant de sommeil, mais le valium avait un effet sur moi que le canabis pourrait avoir. Le jour de mon mariage, grand dieu tout puissant, j'ai crut qu'aucun de mes invités ne me lâcheraient la semelle pour que je puisse me prendre les quatres comprimés qui me manquait. De plus, j'avais du mal avec ma robe de princesse, cette nuit de fête était un véritable supplice pour moi. De midi jusqu'à trois heures du matin, ils ont bu, criés avec joie les jeunes mariés. J'ai crut que ma pauvre tête de psychiatre en manque n'explose. J'était devenue Angélique Rosenberg, grand bien leur fasse ! Mais qu'ils arrêtent de gueuler par bleu ! J'ai eu du calme et de la tranquilité, j'avais joyeusement perdu ma virginité deux jours après. Mais je ne voulais pas d'enfant, surtout pas de lui ! Depuis notre mariage, j'avais l'impression qu'il me répugnait... Deux mois et six comprimés. C'est le temps que mon mariage à durée et le nombre de comprimés que je prenais pas jours. J'étais retournée chez ma mère, toute fière. Ma mère ne disait rien et mon père gueulait comme d'habitude. Je lui ai répliquée que j'était majeur et qu'il pouvait se fouttre des petits-enfants où je pensait. Il m'a, à nouveau, traité de garce et est reparti sans m'adresser un regard. Je vivais donc avec ma mère, qui vivait elle-même chez ma grand-mère. Au moins, je n'avais pas de problème de logement, et j'était encore plus près de là où je travaille ! Jusqu'au jours où j'ai pris beaucoup plus de valium que prévut... »

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    « J'avais beau avoir divorcé, me dire heureuse et missandre : ses gros pervers dégeulasses n'arrêtaient pas de me courir après. Celon eux, une jeune femme divorcé ayant perdu sa virginité est vingt fois plus cochonne qu'une vierge. Mais à chaqu'une de leur demande, je répondait gentiment en leur montrant mon majeur, histoire de calmer leurs ardeurs, j'ai finit par arrête les entendant dire que ça les excités plus que tout que je refuse leurs avances. Dès lors, je me suis dit que les patients éperduement fous amoureux de leur côté narcissique était mieux. MAIS comme d'habitude, je me suis tromper. C'était pas de leur côté paranoïaque qu'ils étaient amoureux, mais de moi. Je ne compte plus le nombre de patient qui ont essayer de me sauter dessus et qui ont finit à l'infirmerie pour des chaises qu'ils ont accidentellement manger. Quand j'étais seule dans mon bureau, j'avais enfin mon moment de tranquilité. Non je ne manger pas un kinder, mais je me prenait bien deux comprimés. J'était passé à six comprimés. Puis j'ai eu ma période de stress à cause de ce directeur à la noix ! " A cause de votre comportement violent, Mademoiselle Longchamps-Holleville, un inspecteur va faire l'état des lieux de notre centre psychiatrique ! Merci beaucoup ! " Ce dont je me souvient de ce moment là ? J'ai pris huit comprimés avant de quitter le travail, j'était complètement assomer qu'on me demande de rentrée chez moi. Ô combien ils étaient nombreux pour me ramener chez moi, ô combien j'ai été heureuse que ma mère aie son permis de voiture ! Complètement shooté, la présence de ma mère n'a pas aider mon karma... J'ai ouvert devant elle ma petite boite de pilule bleu, je croyais qu'elle était trop occupé à conduire, elle ne m'aurait pas vue. J'ai pris mes deux derniers cachets de ma vie je pense, j'en était à dix... Ma mère n'a rien dit, et je commençait déjà à commater sur le siège passager de sa petite voiture. Quand nous sommes arrivées à la maison, je suis sorti de la voiture en ouvrant à peine les yeux et je suis tomber la tête la première, puis plus rien.

    J'aurais préféré ne plus jamais pouvoir ouvrir les yeux ou bien être sourde pour le restant de ma vie ! Ma grand-mère était à mon chevet et elle pionçait comme une bonne mamie de campagne. Je restais étendue sur mon lit, fixant le plafond. Puis je tourna la tête, des fleurs avec des " Bon Anniversaire de la part de ... ". Mon anniversaire ? Depuis combien de temps je dort ?! La porte s'ouvrit et je me redressa. Ma mère avait une tête t'enterrement, et mon père m'embrasse le front. J'étais choquée, c'était la première fois de ma vie qu'il faisait preuve d'affection à mon égard. Il laissa place à ma mère. Marie-Lou de Longchamps ne tourne jamais autour du pot et y alla cash avec moi, sa fille chérie. " Ton père et moi, nous allons te placer en cure de désintoxication ". C'était direct et j'aimai ça. Enfin, me sentir loin de mes pillules non, ça jamais ! Mais à ce moment là, je ne savais pas à quel point ça allait changer ma vie...

    " Dommage que les chambres ne soient pas mixte. ", c'est la première phrase que m'a dit mon voinsin de chambre. Michael Von Karma et son pote, "le nerd", Andrew Lowell. Michael, la première fois que je l'ai vu, me faisait simplement pensé à tous ses pervers que j'ai rencontrer le long de ma petite vie de psychiatre. Il était à l'entrée de ma chambre, accoudait tranquillement et me fixait. Derrière lui, il y avait ce petit gros, casquette et lunette, yeux rivés sur l'écran de son ordinateur, il m'a fait un petit coucou de la main, puis Michael se pencha vers moi pour attiré mon attention. Il souriait comme un vrai drageur, je lui ai alors ferme la porte au nez, mais ce dernier à mis son pieds pour que je ne ferme la porte. Avant de partir, il me souhaita la bienvenue dans ce village-vacances pour riche en cure de désintox. J'était perdu dans le centre de la France, dans un établissement pour drogués bourges, avec un voisin de chambre qui me drague dès que l'occasion se présente, ainsi que son colocataire qui parler toujours avec des mots scientifiques que je comprenait à moitié. Bizarrement, j'étais la seule patiente à avoir une chambre pour moi toute seule, et pour cause ! Mon père avait débloqué des moyens monétaire important pour que je puisse être tranquille pendant ma cure. La première semaine a été douloureuse pour moi, j'était très énervé et je finissais souvent dans ma chambre, enfermé à double tour. Ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'au bout d'une semaine, Michael m'attendrait sagement dans ma chambre, et quand je voulut faire demi-tour, Andrew refermait doucement la porte. Effectivement, je savait pas se qui allait m'arriver, ce qui me fit stresser et Michael m'invita à le rejoindre sur mon lit où il était assis. Jamais j'ai eu affaire à un pervers si bien organisé, c'est se que j'ai penser. J'ai soupirer de soulagement quand il me demanda simplement ce qui n'allait pas chez moi.

    Quand on apprends à connaitre ses voisins, on n'a aucun regret. J'ai appris plein de choses sur la compositions chimique des aliments avec Andrew et j'ai même réussit à dresser le profil chimique de certaines plante. Des trucs vachement utile dans l'ensemble... Cependant, Andrew est quelqu'un de complexé par son physique, mais très sympathique ! Il suit une cure de désintox à cause de l'héroïne qu'il fabriquer lui même, et il vient tout droit de l'Amérique et il a une famille riche... Il m'a même avouer qu'il avait une passion pour les MMORPG, et alors j'ai vraiment compris le terme de nerd et d'accro à la fiction. Quand à Michael... C'est en publique que monsieur Von Karma fait le drageur. En réalité, Michael est quelqu'un d'intelligent et de... coinçé, ouais. Lui aussi, c'était un accro au valium, et il en était à dix comprimés par jour. Jusqu'au jour où, sur un coup de stress, il en pris plusieur d'un coup... C'est son père qui lui a mis une pression pareil, il devait continuer la production de médicament et autres choses que j'ai pas compris. Je ne sais pas pourquoi, mais je me voyais en lui.

    Enfin, nous sommes tout les trois devenue amis et nous n'arrêtions pas de squatter la bibliothèque du domaine. Notre excuse était qu'il y avait plus de wi-fi là, que dans les chambres. Moi et Michael ont s'occuper de prendre toute la place dans le divan, tandis que Andrew se mettait dans un coin tranquille pour jouer à son jeu de guerre. Je ne faisait que lire des livres sur la psychologie, puis Michael vint s'étaler sur moi pour me voler l'un de mes bouquin sans rien éprouver. Et comme une imbécile j'ai rougit et je me suis cacher derrière mon livre. Il a tourner sa tête et ma sourit d'un air gêner et m'a dit "Andrew et moi ont à parier que si j'arriverais à te faire rougir aujourd'hui, il ne toucherait pu à ses jeux pendant une journée entière et j'ai gagner !". Je suis resté pétrifier, toujours aussi rouge, j'ai refermer mon livre et je l'ai frapper avec. Andrew à pouffer de rire et je lui est envoyer un coussin dans la figure. J'était naturellement gênée et énervée. Puis il me glissa gentiment à l'oreille que mon collant était craqué et je me suis redresser et j'ai sauter sur lui, en essayant de l'étrangler. Puis on a rit, tout les trois, mais j'ai quand même commencer à me poser quelques questions...

    Au bout d'un ans de cure, j'en avais appris des gens sur les garçons et leurs habitudes. Andrew n'était pas jaloux et Michael soit toujours entrain de me coller, et je suis bien heureuse. Il m'a avouer que sa femme l'attendait de l'autre côté de l'Atlantique. Quand à Michael, il était divorcer depuis qu'il a fait une chute dans le valium. J'ai vécut un an avec eux, et je pense que cette année de cure à été suffisante pour me faire oublier mes petits problèmes personnels, et donc le valium. Mais depuis un an, je n'ai pas cesser de me demander pour Michael n'à pas oser me dire des choses... des choses que toutes femmes amoureuses rêvent d'entendre. Mais je n'était pas une femme amoureuse, j'était juste heureuse... Ou alors, Michael n'était pas amoureux de moi, ou alors, il n'avait pas envie de revivre un divorce. Moi non plus d'ailleurs, et à chaque moment où non étions seuls tout les deux, nous cherchions du regard Andrew et nous étions gênait. Je me rappellerais toujours de mon départ du centre de désintox'.

    J'avais préparer ma valise dans ma chambre, personne ne savait que j'allais partir, juste le personnel médical. J'allais partir et ne jamais revenir, je le savais, Michael aussi. Il est entré dans ma chambre et m'a suprit entrain de faire mes valises. Je n'ai pas chercher à nier l'évidence, et je lui ai dit que je m'en allait, ayant finit ma cure. Et là, il a fait une chose que j'aurais jamais laisser faire : il m'a attrapé et prit dans ses bras. Il m'a fait sortir de ma chambre comme ça, mais j'allais pas me laisser faire, donc je bougeait dans tout les sens. Michael s'est pris un coup de genou dans la mâchoir et je m'excusa rapidement. Il regarda devant lui, je fit de même. On était dans le hall, et il y avait mon père et ma mère. La mâchoire de mon père se serait décrocher si ma mère ne s'était pas avancer vers nous deux en souriant. Ils étaient venu plus tôt que prévu, malheureusement pour moi et Michael. Je me suis demander, pendant que ma mère m'aider à faire mes valises, ce qu'il se serait passer si mes parents ne seraient pas arriver en avance. Je me suis imaginait beaucoup de choses... Quand j'eu finit, ma mère et mon père prirent mes valises et s'en allèrent les ranger dans la voiture. J'était seule, dans ma chambre. Andrew et Michael sont alors venu me voir, Andrew me donna ses coordonées de réseaux socials et autres, puis il parti, supposant qu'il avait une partie importante à jouer, me laissant donc seule avec Michael. Un long silence s'installa. Andrew avait soigneusement fermer la porte après avoir quitter la chambre. Michael m'attrapa par les épaules, me secoua un instant et me fixa dans les yeux. Je détournais mon regard à chaque fois qu'il me secouer, puis il finit par venir me murmurer doucement à l'oreille "Toutes ses choses ne doivent pas sortir de ta bouche, Angel", avec un accent anglais. Puis il sorti de ma chambre sans parler. Vous vous demandez certainement de quoi il parlait, hein ? C'est après avoir quitter le domaine que j'ai compris. Il ne voulait plus que je dise "Garce" et "merde", et toutes les autres mots glorifiants... Je partais et je ne reviendrais jamais, et sa, ils le savaient tout les deux.

    Je m'en allais, certes, mais j'avais, grâce à Andrew, prévu ma sorti dans la "vie réel". Le Pensionnat Kageshiro, était la chose qui me fallait pour terminer ma carrière qui était en suspens depuis un an. Un dossier en béton comme le mien ne pouvait être qu'accepter. J'allais certainement pas sortir de là, mais j'avais dans ma poche de veste, son numéro... et dans cette même poche, j'avais mon téléphone, je n'avais donc rien à perdre que de réussir ma vie qui était déjà bien entamer. Ainsi, j'allais de l'avant, m'installant dans un univers que je connaissait pasmais dans un nouvelle établissement remplit de gens... bizarres ? »


{. II La Joueuse.

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Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium Empty
MessageSujet: Re: Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium   Angélique de Longchamps-Holleville ~ V comme Valium Icon_minitimeMar 14 Déc - 10:53

Validé. Très belle présentation =)
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