"Real is just a matter of perception"

Nom et prénom : Saotome Lexi Surnom(s) : None Âge : 20 ans Sexe : Féminin Date de naissance : 6 juin 1992 Lieu de naissance : San Francisco Race : Geekette. J'déconne. Humaine Pouvoir(s) : Régénération par courant électrique (inventé) Élève, prof, surveillant ou membre du personnel : Surveillante Physique Témoignage de Kagome Saotome (mère) : « Oh, vous voulez que je vous parle de ma fille ? Elle est tellement belle ! Elle tient de moi, c’est sûr ! Des cheveux noirs et soyeux, une peau lisse et parfaite, sans boutons, ni points noirs… Un vrai miracle ! Mais je lui répète tout le temps qu’elle devrait sortir plus souvent pour prendre un peu le soleil, vous voyez ? Elle est toujours fourrée devant ses écrans à se tuer aux jeux vidéo… Du coup, elle est blanche comme un cachet d’aspirine ! On croirait un vrai vampire, parce qu’en plus de cela, elle a les yeux rouges ! Je ne sais vraiment pas d’où elle tient ça par contre… Enfin, nous avons toujours su que Lexi était… spéciale… Si je pouvais lui trouver un défaut physique ? Ah, il y en a bien un ! Ce fichu tatouage qu’elle a dans le dos ! J’ai toujours été contre ! Ça coûte cher, c’est moche et en plus un jour elle le regrettera ! Quelle idée… enfin, vous connaissez les jeunes de nos jours, n’est-ce pas ?» Témoignage d’un ami du Lycée : « Lexi ? Ouais, j’la connais depuis le primaire ! J’ai eu le temps de la voir grandir et tout ! Franchement au fil des ans c’est vraiment devenue une bombe, dommage qu’elle reste planquée chez elle… Comme on dit, elle ferait bander un mort ! Hein ? Vous voulez que je surveille mon langage ? Ouais, désolé hein, mais voilà elle en a un peu rien à battre de comment elle s’habille et fait preuve d’une flemme royale quand il s’agit de prendre soin d’elle… Parfois, j’me demande si c’est vraiment une fille… Elle pourrait faire des efforts et s’habiller comme une femme, j’sais pas moi ! Elle porte toujours des sweat-shirts avec des oreilles d’animaux. C’est mignon, mais pas franchement sexy vous trouvez pas ? Par contre, si y’a bien une chose que j’apprécie, c’est son tatouage. Putain qu’il est beau ! Je l’ai aidée à le payer et je regrette pas. Je trouve qu’il lui va parfaitement. Elle n’aurait pas la prétention de dire qu’elle est un ange, mais je trouve que ces grandes ailes tatouées dans son dos lui correspondent carrément. En plus, ça l’a rend encore plus canon.» Mentalité Mais qu’est-ce que t’es allé demander à ma mère et à mon pote à quoi j’ressemble ? Tu peux pas tout simplement ouvrir les yeux ? Nan mais sérieux quoi… Bon, maintenant c’est à moi que tu t’adresses pour savoir si j’ai un caractère de cochon ou pas ? Pour répondre à ta question : ça dépend. Bah ouais écoute, si je viens de gagner dans un jeu ou que j’ai réussi à frag like a boss dans mon fps, y’a pas de raison que j’emmerde le monde. Par contre, si tu tombes mal, faut pas t’attendre à ce que je sois super agréable. Après tu sais, j’en ai un peu rien à foutre des gens qui m’entourent. Dans ce pensionnat, va pas falloir qu’on pense que je vais être super à l’écoute des élèves et tout parce qu’honnêtement je vais pas les aider à gérer leur crise d’ado. J’suis ici pour gagner d’la thune facile histoire que je puisse continuer d’acheter les jeux vidéo que ma mère veut plus me payer. Ah et puis c’est sûr que c’est toujours plus sympa d’être dans un endroit où on vous regarde pas bizarrement quand vous foutez les doigts dans une prise, m’voyez ? Nan ? Whatever. Bon sinon, je suis pas méchante hein ? C’est vrai que pour me sortir de ma caverne faut le vouloir, mais j’mords pas, understood ? Histoire Mon histoire ne sort pas tout droit d’un jeu vidéo malheureusement, mais elle n’est pas non plus des plus banales. Ouais, je vous cache pas que j’aurais bien voulu être une sorcière surpuissante dans un monde fantastique avec des dragons et tout, mais bon, on n’a pas toujours ce qu’on veut. Tout a commencé le 6 juin 1992. Le jour où je suis née. Mi japonaise, mi américaine, j’étais aimée de mes parents et tout menait à croire que j’allais passer des jours heureux. Cependant, un jour tout bascula sans crier gare. A l’âge de 6 mois, j’étais un peu comme tous les bébés. C’est-à-dire que je rampais un peu partout dans la maison et je découvrais peu à peu le monde qui m’entourait. Comme je viens de le dire, j’étais donc un bébé normal. Sauf qu’un jour, j’étais comme à mon habitude entrain de ramper dans une des pièces de l’appartement quand j’aperçus à mon niveau une… prise électrique. Fascinée par cette chose à deux trous, j’approchais à quatre pattes. Ma mère arriva dans la pièce, mais lorsqu’elle posa ses yeux sur moi, c’était déjà trop tard : j’avais fourré mes doigts dans la prise électrique. Poussant un cri strident, elle courut vers moi sans trop quoi faire : devait-elle me prendre dans ses bras, appeler les pompiers ? Malgré mon jeune âge, je me demandais pourquoi ma mère gueulait comme ça, puisque tout allait très bien. Je continuai de tripoter la prise électrique innocemment, sans que rien ne se passe. Apparemment, le courant n’avait aucun effet sur moi. C’est à ce moment-là que ma mère comprit que je n’étais pas un bébé comme les autres. La regardant d’un air béat, je lui fis un « ghou ghou » débile de bébé avec un grand sourire. Quelques années plus tard, à l’âge de 14 ans, je continuais de vivre une vie normale. J’avais compris que je ne craignais rien des appareils électriques ou de l’électricité en elle-même. J’avais même compris autre chose : je pouvais me soigner avec celle-ci. Je le savais parce qu’un jour, ayant 42 de fièvre et étant privée de jeux vidéo, je décidai d’essayer de mettre les doigts dans la prise électrique la plus proche pour voir ce que cela ferait. Curieusement, je ne fus pas étonnée de voir qu’après deux petites minutes à rester comme cela, je me sentis beaucoup mieux. Ma mère vint reprendre ma température, et la fièvre avait disparu. Le problème, c’est que je n’hésitais pas à utiliser ce pouvoir à ma guise et ce, même si je savais que l’on m’observait. C’est à cause de mon comportement de « je m’en foutiste » que je fus par la suite victime d’harcèlement scolaire. M’enfin, c’était rien de très grave, on ne m’a jamais touchée puisque les gens avaient trop peur de moi et de ce que je pouvais faire avec mon pouvoir… Ils ne connaissaient clairement pas son étendue et tant mieux puisqu’au final, je ne peux blesser personne. Je peux me soigner, et soigner les autres à la limite, mais ce n’est absolument pas un pouvoir avec lequel je pourrais me défendre ou attaquer quelqu’un… Et maintenant nous voilà à Kageshiro, au Japon. Pourquoi si loin de chez moi ? Eh bien parce que tout d’abord je suis en partie Nipponne et de deux, c’est bien le seul endroit que je connaisse qui recrute ou accepte les personnes avec des « dons » un peu particuliers… La personne derrière l'écran Qui es-tu ? : Anciennement Nina Bogdanov Pourquoi es-tu là ? : Parce que c'est comme ça Présence sur le forum ? : Ça dépend, ça dépasse Hmm.. Oui, oui. Intéressant.. Et sinon un mot à dire ? : Brofist!