Un emploi qui n'a rien d'extraordinaire

Le pensionnat était grand comme elle se l'attendait, mais ça ne l'impressionnait pas. Un ou un autre, le travail était le même. Elle entra sans vraiment être presser d'arriver. Une fois à l'intérieur, elle se dirigea à la réception pour qu'on lui informe en quoi consistait exactement son emploi. La madame lui expliqua quelle devait attendre qu'une personne vienne lui faire visiter le pensionnat et lui remettre la clef de sa chambre.

* Au moins je n'aurais pas besoin de me trouver un logement, c'est déjà ça *

N'ayant d'autre choix que d'attendre, elle s'assit sur un banc et mit sa capuche et ses écouteur sur sa tête.Elle se demandait si elle avait le bon choix d'accepter cette emploi. Ce n'était pas comme de surveiller des adultes, mais bien des enfants.

Yakiza soupira. En plus ils avaient des pouvoir qu'ils ne savaient pas tous contrôler. De toute façon elle s'en foutait. Tout ce qu'elle voulait c'était de se faire de l'argent et de continuer sa vie sans rien demander de plus. Elle ferma le yeux et se concentra sur sa musique en oubliant tout autour d'elle. Le temps ne comptait plus quand elle entrait en contacte avec la musique. Après environ 20 minutes qui lui parut plutôt que simplement 5, une personne l'interpela.

Elle baissa le son de ses écouteur et ouvrit les yeux sans rien dire. Sa nouvelle vie allait commencer à cette instant préparer ou pas. Ne pouvant plus reculer, elle allait suivre le cours de sa vie un pas à la fois.

Yakiza vit un garçon qui semblait presque ravit de lui faire visiter le pensionnat (sarcastique). De toute manière elle s'en foutait royalement. Tout ce qu'elle voulait c'était voir le pensionnat d'un oeil rapide pour avoir une idée d'où elle était pour se retrouver plus tard, mais rien de plus.

Avant de se lever, elle dévisagea son " guide " de la tête au pied. Il n'avait rien d'impressionnant. Se qui accrocha son regard c'est cette chemise qui n'était pas totalement attacher, ce qui été vraiment in-convenable.

* Je viens d'être engager ici et je dois déjà intervenir. *

Après un long soupire elle se leva lentement exaspérer et parla.

- Reboutonner votre chemise ou vous aurez un avertissement.

Yakiza ne voulait pas savoir son nom et de toute manière, sa servirait à quoi ? Elle avait reçus une feuille avec photos de tout les élèves qui indiquait leur nom. Elle allait surement y jeter un coup d'oeil rapide une fois installer, mais rien de plus.

Les bras croiser, elle le regarda sans broncher. Elle n'allait pas avancer tant qu'il n'aurait pas fait ce qu'elle lui avait demander. Elle comptait bien se faire respecter dans cette établissement.

Le rôle de surveillant ne devais pas être prit à la légère. Quelqu'un avec peu de caractère n'aurais jamais pu faire respecter la loi.

Pour elle maintenant, elle voulait que l'école soit un exemple pour tout le monde autant les élèves que les professeurs.

Toujours en regardant le garçon, elle se mit à taper du pied avec impatience. Ce qu'elle lui demandait n'était pas compliquer et sa patience avait ses limite. Il était mieux pour lui qu'elle ne les atteigne pas, car elle n'allait pas le ménager.

Yakiza remarqua qu'il avait lui aussi des écouteur.

* Je crois que c'est le seul point en commun que nous auront. De toute manière je m'en fiche. *

Elle finit par laisser échapper un autre soupire et regardant sa chemise.

Yakiza trouvait drôle sa réponse. Il osais lui répondre de cette manière et en plus il refusait de reboutonner sa chemise, qui était un geste bien simple de toute manière. Elle n’eut même pas le temps de répondre qu'il partait déjà. Comme si elle allait le laisser partir aussi facilement.

Elle fit une mur de vent qui lui bloqua le chemin et avança tranquillement vers lui. Si il essayait de franchir se mur, il se blaiserait d'une manière ou d'une autre.

- Où crois-tu aller comme ça ?

Elle s'arrêta devant lui et racla sa voix pour parler d'une voix forte et assurer. Une fois qu'il la regarda et dit ce qu'elle avait à dire sans détour.

- Premièrement, ce n'est pas un conseille que je te donne, mais bien un suggestion si tu ne veux pas avoir de conséquence. Deuxièmement, avant de parler des autres, tu devrais te regarder avant, car toi aussi tu à un de tes écouteurs sur tes oreilles. Et troisièmement, ne me manque pas de respect, car je suis surveillante ici.

Elle se tu pour reprendre sa respiration et ajouta sans ménagement:

- Si tu ne reboutonne pas cette chemise immédiatement, je le ferais à ta place, mais je te prévient, ça ne sera pas une expérience très agréable.

Elle le foudroyait du regard. Si elle voulait être forte, elle ne devait rien laisser passer. Sans même le connaître, il lui tapait vraiment sur les nerfs. Ce n'est pas car il est un homme qu'il est supérieur. Elle avait de la rancoeur envers les hommes qui se croyait tout permis.

Elle commença à repenser à son passer et plus spécialement à son frère. Ne voulait pas repenser à tout ça et ferma les yeux qu'un bref instant pour les ré-ouvrir avec plus de conviction décider à obtenir se qu'elle voulait.

Yakiza l'écoutait d'une oreille distraite. Rien à faire de ce qu'il disait. Il défiait encore une fois son autorité et c'était une fois de trop.

Ne voulant pas répliquer, car les mots rendu à se point n'avait plus le sens d'être, elle le vit contourner le mur qu'elle avait créé pour continuer son chemin sans regarder derrière lui. Grave erreur. Elle ne voulait plus parler avec lui soute, mais elle ne le laisserais pas partir sans lui avoir donner une leçon.

Elle stoppa son mur de vent qui lui était maintenant inutile, pour le modeler d'une autre façon.
En réfléchissant très vite à la meilleur solution à envisager.

Le vent se leva et tournoya autour d'elle un moment avant d'aller directement sur lui à une vitesse impressionnante. Le vent ne lui fit en aucun cas mal, mais ce n'était pas le but.

Quand elle eu fini, le résultat lui plus beaucoup. La chemise de celui-ci était rendu en lambeau par terre.

C'était sa faute, ce qu'il lui était arriver. Ne voulant pas attacher les boutons de sa chemise, il se retrouvait plus de chemise, se qui était assé juste aux yeux de Yakiza.

Sans rien ajouter par des mots ou des geste. Elle quitta le couloir et se dirigea à sa chambre. Elle aura emplement le temps de visiter le pensionnat dans ses moment libre, ce qui devait être très souvent.

En cours de route, elle sortit le dossier que la secrétaire lui avait remis sur les élèves. Elle regarda les photos des élève et repéra le garçon indicipliner auquel elle avait fait face. Son nom était Myuujikku Tate.

* Alors monsieur Tate, nous nous reverrons surement et je ne serais pas clémente *

Elle sourit à peine à cette penser et referma le dossier tout arrivant à sa chambre.