Pensionnat Kageshiro
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 Une rencontre non voulu [PV: Angélique]

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Hijikata Mamoru
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Hijikata Mamoru


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MessageSujet: Une rencontre non voulu [PV: Angélique]   Une rencontre non voulu [PV: Angélique] Icon_minitimeDim 14 Aoû - 19:31

Shizuo avait fini de faire sa ronde du matin, il décida donc de rentrer dans sa chambre et de s'y reposer le temps d'attendre sa 2e ronde. Arrivé à sa chambre, il remarqua une enveloppe sous sa porte. Il décida de la lire à l'intérieur de sa chambre pour être au calme. Rentré dans la chambre, Shizuo ouvrit la lettre et la lu. Shizuo était choqué de son contenu, mais cette lettre le mit aussi hors de lui. Dans cette lettre quelqu'un avais écrit qu'il savait ou se trouvait Izaya, et qu'il ne se cachait pas très loin du pensionnat, dans la ville d'à coté. Shizuo fonça tête baisser, il s'empressa d'y aller, sans réfléchir, c'était peut-être un piège mais il ne s'en souciait pas. Il prit la route qui menait vers la ville.

Sur la route il ne pouvait s'empêcher de penser à Ikebukuro, à Shinra et Celty, à Tom aussi, et au restaurant ou Simon travaille et au course poursuite avec Izaya. Mais le problème, c'est que plus il pensait au course poursuite avec Izaya et plus il avait cette haine envers lui qui remontait et plus il s'approchait de la ville et plus il pensait à Izaya et ce qu'il allais lui faire. Arrivé à la ville, il cherchait le point de rendez-vous qui était indiqué sur la lettre. Quand il trouva le point de rendez-vous il devait attendre qu'un homme aille le voir. Il attendit facile 2h avant de le voir. L'informateur était une...racaille qui devait au moins avoir dans les 18 ans, jeune en gros. Il portait au niveau du cou une écharpe jaune, ce mec faisais parti du gang des écharpe jaune qui se trouve à Ikebukuro. Shizuo ce demandais ce qu'il foutait ici, mais il s'en fichais donc il demanda de suite ou se trouvais Izaya, mais la caille ce mit à rire et à sortir un couteau. Shizuo ne remarqua pas tout de suite le couteau car, il regardait son visage. La caille gueulai à Shizuo qu'il voulait ce vengé, car il l'avait envoyé son frère a l'hôpital et qu'il l'avait humilié dans c'est amis mais, aussi devant une foule de gens. Shizuo garda son calme pour éviter de ce battre car, bien sur il déteste se battre. La caille' mit son couteau au niveau de la tête de Shizuo, Il s'énerva alors en rangeant sa paire de lunettes, jeta sa clope au sol et l'écrasa avec son pied et pour finir, il donna un violent coup de poing en pleine face ce qui lui cassa quelques dents et l'envoya au moins 10 mètres plus loin. Shizuo remit ses lunettes de soleil, ce ralluma un clope et pris la route du retour, sachant qu'il était surs les nerfs, il s'empressa de rentrer au pensionnat.

Shizuo ce retrouva au centre-ville avec un grand carrefour qui lui faisais rappeler celui d'Ikebukuro, mais il ne voulait pas rester la à y penser. Juste après avoir quitté le centre-ville il passa devant un cinéma, il n'y prêta tout d'abord pas attention, jusqu'au moment où il remarqua qu'il y avait une affiche du nouveau film de son frère. Le frère de Shizuo, son petit frère est devenu un grand acteur, il reçu même le titre du "nouveau talent prometteur" par plusieurs magazines cinématographique. Mais son frère est aussi beaucoup apprécié de la gentes féminine. Shizuo partit voir les horaires du film et vu qu'il y en avait une bientôt, il décida donc d'aller le voir. Shizuo prenait plaisir à voir son frère au cinéma et, grâce à ce film, Shizuo ce calmait petit à petit. Le cinéma finit, il retraça son chemin vers le pensionnat pour y ce reposer. Shizuo était plus calme qu'avant mais,il restait encore un peu de haine car, bien sur Izaya ne voulait pas sortir de sa tête, il ne pensait qu'à lui et comme d'habitude, quand il pensait à lui il s'énervait.

il bouscula beaucoup de piéton sans ce soucier des autres mais, Shizuo poussa la mauvaise personne. Il bouscula une fille, bien sur il ne s'en soucia pas non plus, après avoir fait plusieurs pas il reçu quelque chose sur le derrière de sa tête. le projectile c'était collé sur sa tête, c'était quelque chose d'assez chaud, alors il le prit et remarqua que c'était une crêpe. Il ce retourna violemment et commença à crier pour savoir le coupable, avant qu'il ne put finit sa phrase, il vu... une fille ! Cette fille le regardait avec beaucoup de...méchanceté. Shizuo compris que c'était elle qui avait jeté la crêpe, il aurait espérer tomber sur autre chose qu'une fille.
Il voyait la fille lui parlez ou lui gueulé dessus mais sans trop d'importance vue que Shizuo ignorait ce qu'elle disait . Il ce mit à fixé cette fille et dit :


Tu me fatigue...et en plus de ça tu est ennuyeuse...

Shizuo remarqua qu'il venait de finir sa clope alors il décida d'en allumé une autre.


Dernière édition par Shizuo Heiwajima le Mar 13 Sep - 12:50, édité 2 fois
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Superbia M. Hysteria
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MessageSujet: Re: Une rencontre non voulu [PV: Angélique]   Une rencontre non voulu [PV: Angélique] Icon_minitimeSam 20 Aoû - 9:44

Fumer rend roux.
Le mur ne bougeait pas. Angélique le fixait avec ardeur sans comprendre vraiment pourquoi. Le mur était aussi vide que son bureau l'était en patient. De plus, il était d'une blancheur médicale inquiétante, il fallait remédier à ce problème rapidement. Son postérieur sur la chaise qui lui sert de siège, les jambes tendus et posés sur son bureau, notre psychiatre prit une grande inspiration avant se gratter l'oeil dans une réflexion intense. Elle ne pouvait pas repeindre entièrement le bureau. Un tableau? Non, ça ferait trop snob. Un miroir? Trop narcissique. D'une certaine manière, personne ne viendra la voir, mais elle doit crée une atmosphère calme et qui mets en confiance. Un poster de Michael Weikath? Oui, bonne idée! Cependant, elle avait laisser dans les cartons qu'elle n'avait toujours pas déballer. Raison: le château qu'elle avait fait avec dans bureau était une véritable œuvre d'art, selon elle. Vaguement, son regard glissa sur son «château de carton», il faisait presque un mètre, notre psychologue se posa la question récurrente de «où l'ai-je encore mis?» et ne bougea plus. Les journées sont longue, mais passe à une rapidité fulgurante quand elle ne fait rien.

Soudain, une idée lui venu, comme une brique dans une fenêtre, éclatant l'espace clos qui lui sert de cerveau. Elle sorti une feuille, puis un crayon pour dessiner ce qui semble être... un lapin avec un haut-de-forme, et laissa son crayon à papier glisser sur la feuille pour faire une sorte d'armée de lapins en haut-de-forme. Elle remit quelques mèches en place en se redressant sur son fauteuil et admira son travail. C'était magnifique, aucun doute la dessus, ça manquait juste de couleur. En souriant sous l'effet de son œuvre, Angélique ouvrit un tiroir et en sorti une boite de crayon de couleur. Les yeux pleins d'étoile, elle commença à colorier, s'appliquant comme une enfant de CP un peu retardé. Son dessin alors terminé, elle se leva d'un bond de son siège et de pressa près du mur. Sur un regard de défi, elle marmonna un truc incompréhensible et plaqua le dessin sur le mur, qui ne répondit pas bien sûr. Angélique se recula en fermant les yeux, pris une inspiration et ouvra les yeux. La chose qu'elle avait dessiner ne ressemblait presque à rien, il tenait fébrilement avec du scotch, cependant, elle en était tellement fière. D'ailleurs, Angélique se souvient de la maison de vacance de sa tante du côté de son père. En Bretagne, non loin de la mer et de la ville, une sorte de paradis. Elle n'a retenue de son séjour que les crêpes délicieux que sa tante faisait. C'était une bonne femme grasse et simpliste. Avec le même compte en banque que le reste de la grande famille Holleville.

Angélique savait que les japonais raffoler de ce genre de truc qui paraisse totalement banal en France. Elle éprouvait un peu de nostalgie en pensant à cela. Le Japon, c'est génial, mais quand on a fait le tour du monde, on est pas mieux que chez soi. Son estomac répondit férocement à ce souvenir. Angélique se disait donc qu'elle avait peut être le temps d'ingurgiter une douceur. Sur un reflex devenue habituelle, elle sortie son téléphone en regardant l'heure. Ah, quand même. Elle vient de passer toute sa nuit à faire un coloriage. Comme quoi le temps passe vraiment vite quand on fait rien. Angélique jeta sa longue veste blanche sur le bureau pour l'échanger avec son veston marron préféré. Il était temps de sortir de ce bureau, vraiment.

Quand elle y repense, depuis qu'elle était arrivée ici, Angélique n'avait pas prit le temps de flâner en ville, n'y même au alentour de la pension. Sans se presser et sagement, elle quitta le semblant de bureau, puis l'établissement, avec une seule quête: manger des crêpes. Angélique allait rejoindre la ville à pieds, ça n'allait pas la tuer, ainsi elle pourra prendre de l'avance sur les calories qu'elle aura pris en se gavant de nourriture. Peut-être même qu'elle pourrait manger autre chose. Son estomac approuva ces pensées en grondant un peu plus fort, signe qu'elle devait rapidement se dépêcher.

Le chemin lui parut interminable, sa seule compagnie était son ventre qui entamer une conversation ennuyante et sans intérêt. Du coup, Angélique se dit qu'elle n'allait pas supporter longtemps sa famine et qu'elle aurait peut du prendre un taxi. Tant pis, elle le prendra pour rentrer, si elle n'a pas tout dépenser en cochonneries. La ville était plus grande qu'elle n'y pensait, mais il y était agréable de s'y promener tranquillement. Il n'était ni trop tôt, ni trop tard en cette matinée, de quoi profiter pleinement de la tranquillité du centre-ville. Notre psychiatre n'avait pas profiter d'un bol d'air frais depuis un moment. Cette quiétude était suffisante, juste assez pour qu'elle puisse remettre ses idées en place. Elle avait pris place devant une boutique encore fermé, s'adossant à ce qui semble être un poteau électrique. Toujours dans le même mouvement mécanique, Angélique sorti son téléphone rouge vif et l'observa. Bon dieu, mais que pouvait foutre Michael? Il avait promis qu'il donnerait signe de vie «quand il aurait le temps» et on a toujours le temps quand on est en cure de désintoxication. Cependant, Angélique n'avait pas les tripes de faire le premier pas, elle ne voulait pas passer pour une fille totalement désespérer. Toute fois, elle ne voulait pas qu'il l'oublie mais elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle était accro, non. Et comme il avait promis...

Végétant devant son téléphone portable, triant avec une grande lassitude les messages que sa mère lui avait envoyer. Quelle idée folle de lui avoir payer un téléphone, vraiment. Des messages inutiles, encore et toujours. Le seul qui était vraiment important, c'était celui où elle parlait de prendre des vacances avec son ex-mari, soit son père. Cela lui faisait plaisir car depuis toute petite, elle savait que ses parents ne pouvaient plus se voir mais qu'ils s'aimaient toujours cependant. Stanislas, contrairement à son ex-épouse, était aussi muet qu'une tombe. Il prenait des nouvelles d'Angélique une fois tout les 36 du mois. C'était suffisant, mais Marie-Lou ne voyait pas sa fille à l'autre bout d'une monde, dans une ville totalement inconnu. Son «bébé» qui avait quand même plus de vingt ans, quand même. En s'égarant dans sa réflexion intense, le temps défila rapidement, et les premières boutiques alimentaires qui font fortune avec les voyageurs ou habitués du coin ouvrèrent le rideau de fer. Angélique se décolla de son poteau pour flâner dans les allées en chantonnant un air totalement improvisé.

Peste soit ce vendeur! Un véritable français, tout comme Angélique, faisait fortune dans la vente de crêpes, et semblait apprécier les formes de notre psychologue adorée que les crêpes au sucre. Il lui proposa une petite réduction si elle lui rappeler le «French kiss», bien entendu, après lui avoir fait ses crêpes, elle lui colla gentiment une droite en plein face, laissant au pauvre malheureux ce qu'elle lui devait, et s'en alla sous les regard choqués et incrédules des autres personnes. Entacher la réputation d'Angélique, son divorce l'avait déjà bien assez fait et elle n'allait certainement pas coucher avec le premier venue, aussi aimable qu'il peut être. Ce qui était typique de la grande archipel nippone, c'était son carrefour bondé de gens, comparable à ceux que l'on peut trouve en Amérique du nord, dans les grandes villes. Angélique esquissa un sourire et tenta l'expérience des bains de foules armé de ses crêpes.

C'était désagréable de se fondre dans une vague humaine qui vous bouscule dans tout les sens, mais Angélique était ravit car c'était sa première fois. L'odeur des crêpes avait été battu par un parfum de... cigarette? Angélique avait assez côtoyer des drogués pour dire que c'était malodorant. Elle s'en foutait un peu car elle avait ses crêpes. Il en faut peu pour être heureux, dit-on. Angélique pouvait s'auto-satisfaire et se glorifia même d'avoir coller un crochet au vendeur, tout en payant, elle n'était pas une hors-la-lois. Alors que cette traversé se terminait, notre ancienne droguée allait elle aussi terminer sa friandise quand on la bouscula. Et toute cette énergie dans la bouscula fit tomber la dernière crêpe, survivante des dents d'Angélique. Elle eu l'agréable reflex de pestiférer faiblement à l'encontre de la tête blonde qui lui avait fait perdre sa proie. Malgré la foule qui était dense, Angélique ramassa la crêpe qui avait été piétiner et la balança la crêpe dans la tête de l'individu en le transperçant du regard, continuant de parler avec rapidité quand le blondinet la coupa sèchement tout en soutenant son regard. Ennuyeuse et fatigante? Angélique? En plus de ça, c'était lui le gars qui empeste la fumée. Oui, avec son sens aiguë de l'observation, elle remarqua qu'il avait une clope au bec. De ce fait, en plus de lui dire qu'elle n'était pas drôle, Angélique le prit au sérieux et s'approcha de lui pour lui retirer sa cigarette de sa bouche en lui lançant toujours le même regardant absent mais ardent.

{. Nous somme quitte. Vous avez sauvé mon régime, j'ai sauvé vos poumons! Cependant, vous devez me rembourser ma crêpe, immédiatement.

Dans sa voix placide, on pouvait sentir une note d'ironie, tout en gardant le sérieux qu'elle avait. Angélique gardait entre ses doigts la cigarette qu'elle lui avait subtiliser, puis, malgré le fait qu'elle soit déjà allumé, elle la brise en deux, la laissant tomber au sol avec un sourire calme. Ce gus semblait être un gars qu'on pouvait énerver facilement, certains signe que notre psychologue pouvait remarquer. Par exemple, fumer une cigarette faisait parti des rituels pour oublier le stress, la colère, la tristesse. Ou simplement parce qu'on était stupidement accro à la nicotine. C'était bien à elle de dénigrer ces cochonneries, quand on s'était droguer avec des substances impossible à avoir. « C'est pas pareil », on y croit. Oui, oui. Angélique voulait l'aider, s'il n'arrivait pas à arrêter, elle voulait bien lui fournir des séances d'études psychologiques, cependant, elle ne savait pas si les personnes extérieurs du pensionnat pouvaient venir... Tant pis. Il pouvait bien rager car elle venait de briser la cigarette, elle continua sur sa lancé en souriant toujours vaguement, ayant perdu sa voix mesquine.

{. Toute fois, si vous avez besoin d'aide pour arrêter de fumer, je me porte volontaire pour vous conseiller...

{Me tue pas ;o;}
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Superbia M. Hysteria
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MessageSujet: Re: Une rencontre non voulu [PV: Angélique]   Une rencontre non voulu [PV: Angélique] Icon_minitimeJeu 8 Mar - 13:31

    Avec l'accord de Shizuo, je déclare le rp abandonné. ~
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