Quand le passé se conjugue à l' imparfait ... [ RP: Kirra. ^w^]

Un long chemin, interminable. Des fleurs, de l'herbe, certes, mais pas de soleil. Devant, un garçon. Il ouvre le passage en poussant une branche d'arbre. Il sourit, dit des paroles apaisantes, rassurantes, mais dans ses yeux, la peur. Que se passe t-il? Il est perdu, sale copieur. Ah, non, c'est... plutôt le contraire. Il
ne fallait pas le suivre, mais c'est trop tard. Une rivière? Bon, alors puisque c'est comme ça, traversons. Ah... glissé. Il tend la main. Hop, attrapée, juste à temps, on se relève, trempé mais soulagé.
Merci, merci de m'avoir sauvée, dit-elle. Idiote, ne le remercie pas. Il aurait dû te laisser partir avec le courant, loin de là. Mais sa conscience l'en empêchait. Bon, tanpis, continuons. Déjà une heure de marche, la nuit tombe, on désespère. On ne rentrera jamais chez nous, on restera là, condamné à bouffer des asticots, des fourmis ou... du lapin. Pour les légumes, ce sera de l'herbe, très nourrissant, vous verrez. Ah! La lumière! Ca brûle! Ses yeux photolysaient. Des larmes... de la joie?! Impossible! Depuis le temps qu' Aiko n'avait pas éprouvé ça. Elle avait du mal à la reconnaître cette émotion, en fait.
Elle ouvrit les yeux, s'essuya l'eau qui les entourraient. Pfff, un rêve, rien de plus. Evidement, la quête du bonheur était une quête vaine pour elle à présent. Ce rêve, un souvenir d'enfance qu'elle vennait de revivre. Que pouvait-il bien faire là? Qu'il s'en aille, elle ne voulait plus de lui, pauvre Andouille! Hm... Plus de mouvement? Ah on y était, elle allait sortir du train accompagnée de sa fidèle valise puis partirait se reperdre dans Kageshiro dont elle aurait du mal à se rememorer les personnes, les lieux, les odeurs qui lui étaient pourtant si familières avant. Elle attrappa sa vielle valise marron et ornée d'autocollants puis sortie du train, non sans mal, mais elle en sortie. Bon, par où maitenant? A gauche, à droite, devant? En... haut? Bon, trève de plaisanteries, elle bouchait la sortie du si communément appellé " T.G.V. " . Elle ne prit pas la peine de regarder derrière elle et partie. A gauche, si vous voullez savoir, bande de curieux.


Quelques minutes plus tard, elle était sortie de la gare. Traînnant sa valise derrière elle. Elle roulait après elle comme si elle croyait pouvoir la dépasser. Mais c'était elle qui contrôlait sa course, Andouille. Bon, Kageshiro n'était pas loin, elle pourrait bien y aller à pied, elle dépenserait des kalories au moins. Cela lui donnerait l'air sportive. Un pied devant, l'autre maintenant, voilà, elle avançait. Heureusement elle ne faisait pas de surplace, manquait plus que ça, déjà vu la "geule" qu'elle croyait tirer. Aller! Un petit effort! Un air sympatique, oui! Parfait! Voilà! Alors là, elle avait l'air vraiment heureuse (et un peu niaise aussi...)! Tiens, déjà le pensionnat ?! Cool, génial, trop fun, un truc de fou. Hm, elle avait un peu perdu l'intonation pour dire ce genre de choses, tanpis. Continuons. Une jambre, l'autre, voilà, c'est reparti. Oh, le bruit des clées dans sa poche. Comme dans les films, des chevaliers qui croisent le fer. Bon, bref, elle allait en avoir besoin pour rentrer dans sa chambre. A peine eut-elle le temps d'incruster la clée dans la serrure qu'on l'interpella. Elle aurait surement le droit de répondre à un interrogatoire interminable sur sa vie, mais pas de garder le silence... Mais, à non. Eh, apparement non, le nouveau sujet de discution principal n'était pas elle, tant mieux. On lui parlait d'une fille, son amie, à ce qu'on disait. Elle aurait sauté du toît de l'école et aurait terminée à l'hosto. Eh alors? C'est quoi ça? On fait des tentatives de succide sans elle? Elle n'avait même pas étée invitée, quel gachis. Pourtant, elle aussi aurait aimé sauté du toît, trois étages de haut. Le saute de l'ange quoi. Hein? Oh la la! Ok, comment elle s'apelle? Asamé? Ah, boooon! Daccord, On l'avait vue une fois avec elle et c'était déjà une amie? Par-ce qu'elles ont étées dans la même chambre vous dîtes? Ah oui, excusez moi ça change tout! Pfff, bon maintenant qu'elle avait dit qu'elle irait la voir avec un air paniqué elle devait y aller, bah oui. Aiko n'était pas normale mais respectait ses paroles, comme de très rares (voir inexistantes ) personnes. Elle tourna la clée, ouvrit la porte et la referma derrière elle après avoir dit " salut " à cette fille qu'elle ne connaissait pas. Elle posa sa valise, l'ouvrit , chopa le porte-monnaie à l'intèrieur et sortit, refermant la porte à clées une fois dehors. La jeune fille descendit les escaliers, lentement, histoire de ne pas trop perturber son cerveau qui semblait enfin reconnaître son chez-elle. Cela fesait déjà pas mal de temps, elle avait beaucoup changé depuis qu'elle était partie vivre quelques temps chez sa grand mère mourrante. Même dans sa tête elle avait changé... Elle avait grandi peut-être pas pour longtemps, elle n'en savait rien. Enfin, voilà, ses cheveux avaient poussés, ses yeux avaient mystèrieusement violis. Sans doute le soleil, éventuellement. Bon, elle irrait à l'hôpital ce soir avant, elle préférait se ballader un peu, cela faisait déja tellement longtemps qu'elle n'avait pas profiter de l'ambiance des rues...
Aiko s'assit à l'arrêt de bus. Attendit en observant les gens autour d'elle. Un mec et sa "meuf", une p'tite fille et son "reuf" (>o<"). Rien de plus. Tiens, ponctuel se bus. Elle monta, prit un ticket et regarda la fiche accrochée dans le véhicule. Le cimetière, prochain arrêt, le centre commercial, juste après, le parc, quand le bus se sera arrêté pour la troisième fois l'hôpital, dans quatre arrêts et enfin la piscine , la dernière à être déservie, elle n'avait cas pas se trouver si loin. Bon, ça ne durerait probablement pas longtemps si elle déscendait au parc... La petite fille qu'elle avait vue plus tôt lui tira les cheveux quand elle faillit tomber au moment où le bus démarait. Elle s'excusa avec un regard craintif. Aiko tenta un sourire rassurant même si elle ne saurait jamais quel effet elle avait produit puisque elle avait sourit pratiquement dans le vide. Aiko regardait par la fenêtre de l'autobus, décidement, depuis ce matin, le paysage n'en finissait pas de bouger! Finalement, après une bonne minute à avoir les yeux rivés sur la vitre du bus elle baissa les yeux et regarda par terre: un sol dégoûtant, normal, vu toutes les chaussures qui étaient entrées dedant. Au premier arrêt la jeune fille prit la décision de sortir du bus et de continuer à pieds. Elle sortie donc du bus. Ouf! Plus d'odeurs! Tous ses dessous de bras transpirants dégoûtants lui tapaient sur le système. D'un pas lent elle continua son petit bonhome de chemin en direction du parc. Elle marchait, et passa devant une maison où se trouvait un buisson de rose, rouge sang. En cette saison?! Tiens, qu'elle surprise, il faut dire que ce n'était pas courrant, c'est vrai... bah, on s'en fiche! Les pas d' Aiko se firent plus rapide, juste assez pour ne pas parraître droguée aux yeux des autres à cause de sa lenteur précédente. Un oiseau passa au dessus d'elle, elle le savait sans le regarder. Pourquoi? Tout simplement par-ce que le liquide blanc qui vennait de s'écraser par terre telle une bombe en temps de guerre ce n'était pas du fromage blanc. Héhé, loupé sac à plumes! La jeune fille sourit, heureuse d'avoir échapé à se qu'on pouvait appeller..." Se faire chier " dessus (u.u'). Elle évita la flaque blanche d'un léger bond et continua à suivre le chemin mennant au parc. Elle était presque arrivée, elle voyait déja les gigantesques portails supposés empêcher les gens de pénétrer dans ce lieu la nuit. Mais, c'était ridicule, l'escalader était pour elle, du moins un jeu d'enfant, et il faut l'avouer que, tout comme aller sur le toît du pensionnat elle avait souvent fait ça en cachette la nuit, même si elle avait peur du noir, il fallait l'avouer. Mais pour elle c'était une façon d'affronter sa peur et d'une pierre deux coups, s'en débarasser. Aiko rentra dans le parc. Les clichets étaient déjà arrivés à cette heure: Mamie donnait déjà à manger à ses pigeons, Les joggeurs courraient déjà, Les chiens pissaient déjà sur leurs arbres favoris en reniflant déjà le derrière de leurs congénères et Ce gosse se fesait déjà poursuivre par le signe... Ce qui fit légèrement rire Aiko, un rire non sadique, enfin. Rien n'avait changé depuis son départ. Et oui, sans elle le monde continuait de tourner... La jeune fille frappa un pauvre petit cailloux du bout de son pied et l'envoya se cogner contre un arbre pas loin. Son saule pleureur, celui qu'elle adorait, auprès duquel elle se sentait toujours appaiser. Aiko s'approcha de lui et inspira un peu de l'air frais qui l'environnait. Hm, que du bonheur, ouais. Elle leva la tête et apperçus le soleil entre les branches tombantes de l'arbre. La miss faillit s'assoir mais, finalement se rapella que le centre commercial n'était que à la sortie de l'autre côté du parc, pourquoi ne pas aller y faire un tour? Acheter des trucs, futiles ou pas, lui ferrait du bien. Et vu l' héritage qu'elle avait reçus à la mort de sa grand mêre elle pouvait au moins s'acheter un île alors autant en profiter. Aiko penssait ça mais ne le penssait pas. En fait, c'était étrange cette sensation de manque, elle n'arrivait pas à croire que la seule personne qui la comprennais, qui était même comme elle ait pus s'en aller pour toujours. Rien que d'y pensser elle aurait pu se remettre à pleurer, encore...
La jeune fille regardait les nuages. Libres, ils parcouraient le monde au grès du vent. Est-ce que la pluie étaient les larmes qu'ils versaient à la mort d'un de leurs proches ou quand ils voyaient ce qui se passaient dans la vie des gens comme un film qu'on regarde? On ne le saura surement jamais, mais même si c'était vrai, personne ne le croirait. Tout comme le fait que quand quelqu'un meurt il devient une étoile, et continue de veiller sur nous, bien qu'il soit à des milliers de kilomètres de nous. Toutes ces choses Aiko commençait vraiment à y croire, par-ce que, c'était la seule chose qui la ratachait à la vie, en quelque sorte. Elle se construisait un monde rien qu' à elle, elle s'y enfermait et ne l'ouvrirait qu'aux personnes capables de trouver la clé ouvrant les portes réticentes de son coeur. L'isolement ne la dérangeais pas en vrai... mais le regard des gens avait souvent un inpact sur elle bien qu'elle croyait se foutre complètement d'eux.
Ah... Le centre commercial, heureusement qu'on était que le matin... la foulle était moins dense. Les gens Affluraient plus tard, quand elle se serait enfuie discrètement, dans quelques heures ou quelques minutes.


Aiko était enfin dans le centre commercial. Son regard se posa automatiquement vers la grande vitrine où se trouvaient les choses les plus mignones du monde: Des peluches, des jouets pour enfants, De la papettrie, Des jeux vidéos. Bon sang, mais c'était quoi ce magasin? Un joyeux bazard, mais le fait qu'il y ait tout ce dont pouvait rêver un enfant l'attirait. Elle entra se dirigeas vers les peluches en retrouvant son visage de gamine perdu depuis si longtemps. Elle aurait voulu acheter la boutique, mais rien que d'acheter une seule de ses petites boulles de poils lui aurait surement vallut une honte à vie. Dommage. A moins de faire semblant de demander où est l'endroit où on fait les papiers cadeaux ( x) ) ... Oh, et puis non, elle reviendrait plus tard, pour acheter un énième copain tout doux. La jeune fille partie ensuite en direction des livres, là aussi, elle était contente d'y être, pour elle un livre c'était le moyen de voyager, partir vers d'autres horizons, vivres des choses qu'on ne vit jamais dans notre petite vie d'être humain banal. Aiko regardait les titres de chacuns des livres. Son attention fut attirée par celui qui portait l'inscription : " Du rêve au déséspoir " . Intriguant, en fait, elle avait l'impression qu'on parlait d'elle. Alors elle lut le résumé. " Sherry, cette fille toujours heureuse tombe soudainement amoureuse de se beau garçon qui viens d'arriver dans son collège. Elle fait des pieds et des mains pour que son coeur batte pour elle. Mais ses sentiments semblent plutôt dirigés vers cette fille blonde, Amye. Et comme si ça ne suffisait pas, sa mère, soit disant morte ressurgit dans sa vie et lui mènne la vie dure alors que la garde alternée lui à finalement étée accordée. Son père lui présente aussi cette fille, avec qu'il il sort depuis déjà quelques mois, et, il faut dire, qu'elle est très étrange..." . Ah, on ne parlait pas d'elle, tant mieux! Quoi-que cela aurait été suprennant quand même... Aiko prit le livre et partie en direction des caisses. Elle n'eut même pas à faire la queue. Une jeune femme la salua avec un grand sourire. Aiko fit de même en lui tendant le livre à cette fille rousse et aux cheveux frisés. Elle lui annonça le prix du livre. Comme si elle ne le savait pas, elle l'avait quand même acheté, et le prix était écrit dessus... Enfin, Aiko lui tendit l'argent et repartie après lui avoir dit au revoir et bonne journée d'un air aimable. La jeune fille avait toujours le coeur lourd, mais, elle avait comme l'impression de pouvoir enfin réagir comme avant. Son sourrire lui vennait plus facilement et plus naturellement... même si des fases un peu ronchonnes reprennaient parfois le dessus.
Elle marchait en direction d'une caféteria maintenant, pas de queue non plus. Enfin, si, deux personnes, c'est tout. Une fois arrivée elle demanda un pain au chocolat, par simple gourmandise. Elle n'avait pas faim mais son ventre semblait vide, et aucun aliment digne de ce nom ne pourrait le combler. Alors elle mangerait tout ce qui lui passerait sous la main, et puis c'est tout. La jeune fille dégustait son pain au chocolat tout en marchant. Elle le garda dans sa main gauche le temps d'attraper le paquet de mouchoirs dans sa poche et d'en sortir un du paquet en plastique. Puis elle le remit dans sa poche tout en percutant quelque chose de très dur puisque son genoux était rouge de douleur. Elle poussa un petit cri et s'asseiya sur le banc en forme de cercle avec de la végétation à l'interrieur qu'elle vennait de se payer. Une voix rigola doucement . Aiko tourna la tête en a direction du ricanement d'un air de dire " Bah quoi?" .


Aiko rougit un peu, c'était vrai, elle n'avait pas regarder où elle allait et, comme à son habitude elle avait faillit se blesser. Elle leva la jambe puis posa son pied sur le banc en massant son genoux rougissant, lui aussi. Elle était finallement aussi stupide qu'avant alors? Elle regarda la personne qui lui fesait face (pour par dire côté --') d'un air interrogateur un petit sourire gêné au coin des lèvres.




[HS: Désolé, sur ce RP c'est un peu la life d'Aiko qui est exposée, mais j'voulais faire ça pour son retour :S donc de toute façon je ferrait beaucoup plus court si quelqu'un veut répondre : ) Encore pardon >_<" Et aussi pardon pour mes fautes --' ]

[HJ:Je peux repondre si ça ne te dérange pas ?
Waou quel texte,c'est une journée qui commence bien,ça m'aura fait une bonne lecture xD
J'espère pas faire trop court sinon j'aurais honte ^^"]

Kirra avait enfin finis de visiter les quelques coins du pensionnats et se rapelle du paysages qu'elle avait admirée depuis la fenêtre du couloir des dortoirs,ça lui donna envie de faire un tour à l'extérieur,surtout qu'elmle n'est vraiment pas du genre à aimée rester enfermée à l'intérieur.
Elle sortit du pensionnat et se prit son aparence de louve et partit à toute vitesse,comme à son habitude elle courait aussi vite que ses pattes lui permettais.
La louve blanche arriva en ville,c'est très rare qu'un animal sauvage comme elle se balade dans un tel endroit.
Elle s'arrêta de courir pour reprendre son souffle et marcha toujours tous droit,la langue à l'air.
Elle finit par s'arrêter et sentit son estomac crier famine,elle s'assit sur son postérieur et regarda par terre,les oreilles couché sur sa tête.

*Bon sang...j'ai jamais eu aussi faim de ma vie*

Elle sentit une drôle d'odeur qui la fit redressé la tête et les oreilles.
Elle posa le regard sur l'endroit d'où venait l'odeur,ça sentait...le pain,le chocolat,le café...mis hapart le pain toute les autres odeurs lui était inconnue.
Ceci lui donnait trop faim,il fallait absolument qu'elle entre pour se prendre un truc à grignoter.
Elle poussa la porte avec sa tête,mais en la voyant certaines personnes pris peur.Il avait peur des loups ? quelqu'un lui cria dessus.

"Aaaah ! un loup ! Va t'en !"

J'avais encore plus peur qu'eux,je reculas en gémissant pour finir dehors.

*Je ferais mieux de changer de forme...*

Elle repris sa forme d'hybride et pour ne pas être prise pour la louve qui est entrée dans la cafétéria,elle fis semblant d'avoir vue une boule de poil blanche partir en coura.

"Aaaah ! C'est quoi ce truc !"

Elle ouvrit la porte et cette fois entra à l'intérieur.

"Vous avez vue ça les gens ?! Il y a un loup blanc qui a courut en direction de la sortit de la ville ! waou ce qu'il avait l'air rapide"

L'ennuie c'est que c'est la première fois qu'elle pénètre un tel endroit,elle ne sais pas du tout ce qu'elle doit faire pour avoir manger

*Euh...Je fais quoi maintenant ?*

Pensa t-elle avec une goutte à l'arrière du crâne