Une nuit mouvementée (Hiba, Raya, Xan,Chun ...)

J'étais dans ma chambre, n°12 précisément. Je venais de finir de me laver, j'avais enfilé un mini short et un long t-shirt. J'avais rejoins mes cheveux en une queue de cheval dressée sur ma tête. Je pris place dans mon lit et commença à dormir. Cette nuit là je fis un rêve... un rêve très étrange.
J'étais au milieu d'une forêt, la lune était étincelante. J'entendais des bruits dans les buissons et derrière les arbres. Des énormes loup en sortait. Je pris peur et couru de toute mes forces. Mais il était plus rapide que moi, je voulais déployé mes ailes mais celle-ci ne sortaient pas. Un loup fini par me rattraper et celui-ci se jeta sur moi. Il me déchira la chair de mes jambes, le sang coulaient à flot, j'avais mal, j'avais peur.
Je me réveilla d'un coup dans mon lit, me pétant la tête contre le bas plafond en même temps.
Je mis ma main à l'endroit du cou et celle-ci prit une teinte rouge foncé. Je saignais fameusement. Je suis donc allée me laver la plaie et les cheveux. Puis un bruit m'interpella, il venait du couloir. Je mis ma tête hors de la chambre ... Personne...
Je suis retournée dans mon lit et j'ai essayé de me rendormir. Puis le bruit recommença. Je pris un gilet et une torche électrique puis sortit voir se que s'était.
J'ai suivi le bruit jusque dans le hall ou il disparu. Une fois au rez de chaussé je remarquais qu'une masse sombre était allongée par terre, qui s'était ? Une personne ? Un animal? Un objet?
Je pris ma torche dans ma poche et pointa la masse sombre avec le rayon lumineux. C'était Train, mon meilleur ami, que je n'avais plus vu depuis longtemps. Il était mort, une flaque de sang se tenait sous lui. Mon visage était traversé par une grimace de peur, de tristesse et de rage. Je me suis mise à genoux et de tout mes poumons j'ai crié, je crois que tout le pensionnat m'aurait entendu...
Je criais encore et toujours, le seul être qui contais pour moi mort, allongé devant moi.
Ma voix était traversée par de gros sanglots, des larmes coulaient sur mes joues....
Ma vie avait perdu son sens ...
Puis soudain je me suis réveillée, ce n'était qu'un rêve encore une fois... J'étais allongée par terre dans le hall je pleurais à chaudes larmes. Apparemment j'étais somnambule.
Je me suis mis contre le mur du pensionnat pour essayer de me calmer.
Mais quelqu'un approchait, il venait vers moi, une torche s'agitait dans la pièce pour essayer de me trouver. Qui s'était ? Avais-je vraiment crier pendant mon sommeil? Avais-je vraiment réveillé des élèves ?

Tremblante, Raya reprenait doucement ses esprits. De longs poils ébène se rétractaient dans sa peau lisse et humide de transpiration. Elle était assise a même la terre, sous un arbre. Dans l’obscurité, elle reconnut la façade du pensionnat à quelques mètres. Un long frisson lui rappela qu’elle était toujours nue : elle rampa et alla rejoindre un autre arbre pas loin au pied duquel étaient entassés ses vêtements. Sa louve avait pour habitude de toujours revenir au même endroit après ses errances, aussi avait elle rapidement trouvé un endroit ou garder ses affaires avant de se transformer. Elle se rhabilla en vitesse et jeta un œil sur le cadran de sa montre, qu’elle avait soigneusement caché dans la poche de son jean. Elle constata avec surprise qu’il n’était même pas 4 heures du matin. D’habitude, elle pouvait rester transformée jusqu’aux premiers rayons de soleil, de toute évidence elle avait du se nourrir efficacement. Un gout salé dans sa bouche lui arracha un haut le cœur. Il fallait qu’elle aille prendre une douche. Elle s’engouffra dans le pensionnat et traça littéralement jusqu’au dortoir des filles. Elle prit une longue douche bien chaude, se brossa les dents et enfila une robe de nuit propre et une polaire. La nuit était fraiche, mais elle n’osait pas se recoucher, de peur de ne plus pouvoir se réveiller dans quelques heures. Elle prit un livre et alla se caler dans un fauteuil de la salle commune des filles pour se détendre tranquillement.

Elle avait entamé la deuxième page quand un craquement la fit sursauter. Elle promena son regard tout autour d’elle, puis replongea dans sa lecture quand d’autre craquements se firent entendre. Elle n’avait pas rêvé, ils provenaient bien du couloir. Raya était une vraie froussarde, aussi savait-elle qu’elle ne pourrait pas rester la l’esprit tranquille sans avoir le cœur net de se qui se tramait dehors. Prenant son semblant de courage a deux mains, elle posa le livre sur la table, attrapa sa lampe de poche et retourna inspecter le couloir. Le faisceau lumineux balaya le sol, les murs, le plafond (tout était possible dans cet endroit, elle le savait mieux que quiconque), mais rien d’anormal. Elle s’apprêtait à tourner les talons quand un lointain gémissement se fit entendre. Raya traversa lentement le couloir pour en saisir la provenance. Elle arriva en haut de l’escalier et entendit des cris qui provenaient d’en bas. Plus intriguée que jamais elle descendit souplement les escaliers et ses pas la guidèrent jusqu’au hall. Il faisait encore nuit noire, et elle n’était vraiment pas rassurée, mais elle ne s’était jamais demande comment activer les lumières du hall.

Sa torche éclaira une fille bonde appuyée contre le mur à sa droite. Ses joues étaient couvertes de longs sillons larmoyants et ses épaules agitées de soubresauts accompagnaient sa respiration irrégulière. En s’approchant de la jeune fille elle reconnut son visage qu’elle avait croisé plusieurs fois au pensionnat. Voir quelqu’un pleurer la troublait toujours, et elle ne savait pas que dire ou faire pour la rassurer.

-Hey, salua-t-elle maladroitement.

Elle s’avança un peu plus de façon à se retrouver près d’elle.

-Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que tu fais ici toute seule, tu m’as filé une de ses peurs…

[HRP: Sorry pour les fautes, clavier anglais et la flemme de repasser derriere pour tout verifier --'']

Invité

Hibari etais comme a son habitude dans une des pièce du pensionnat à observé en dehors,cette fois-ci il ce trouvais dans sa chambre...ce qui étais rarement le cas puisqu'en temps normal il ne s'y rend que pour allé dormir...mais cette fois-ci il ne trouvais pas le sommeil et sa c'étais mauvais signe pour ce qui ce mettrais en travers de sa route puisque la il avais une grande envie de ce défoulé et qu'importe la personne.

Il sortit de sa chambre et alla voir dans les dortoirs et les couloirs si il n'y avais pas d'autre personne debout mais rien...le néant total...il alla vérifié dans les chambres mais tout le monde dormais avec joie et bonne humeur, y'en à même un qui ronflé plutôt fort ce qui énervé un peu Hibari, il voulais le mordre à mort mais ce retînt vu l'heure.

Il prit les escalier en direction du hall et aperçut à ce moment la deux ombres..pour le moment Hibari resta le plus loin d'elle de sorte a ce que c'est personne ne puisse le voir et commença à épier leur discussion.

Invité

4 heure du matin, dans l'infirmerie.... Chungkee s'occupait d'un élève qui avait été blessé magiquement par un jambon avarié qui lui avait lancé la malédiction de "l'intoxication alimentaire sévère" en se demandant pourquoi elle était obligée de voir ses heures de sommeil partir en fumée faute d'assistants.
Quelques minutes plus tard, l'estomac du pauvre élève calmé et les médicaments rangés, L'infirmière d'1m55 s'affala dans son fauteil, jambes écartées et café à la main (et cernes grosses comme des semi-remorques sous les yeux). Elle avait la ferme intention de piquer un somme avant que l'appareil digestif de son patient recommence à faire des siennes, et, si possible, dormir jusqu'à midi.

Forcément, elle n'avait pas encore fermée les yeux qu'un cri déchirant et ..... particulièrement bruyant et insoutenable se fit entendre, tout proche. Probablement des bâtiments administratifs ou du hall, ou de la cafétéria à la rigueur.

"foutue conscience professionnelle qui me pousse à faire des heures supp' en nocturne... et puis c'est quoi cette manie des élèves actuellement de se blesser en pleine nuit ?"
Bougonna l'humaine en manque de sommeil pendant qu'elle quittait l'infirmerie en courant, rajustant à peu près sa blouse et faisant tomber son café au passage, non sans une petite grimace de déception lorsque sa tasse fétiche s'écrasa au sol.

Elle déboula dans le hall comme une furie, à mi-chemin entre le fantôme miniature avec sa bouse trop grande dont les pans voletaient tout autour d'elle et le zombi avec ses cernes proprement effrayantes.
Son premier réflexe fut d'allumer la lumière. Réflexe qu'elle regretta aussitôt en plissant les yeux et en grimaçant sous la lumière, agressive après la pénombre de l'infirmerie.

Il lui fallut un certain temps avant de s'habituer à la lumière aveuglante. Elle finit par distinguer deux silhouettes d'élèves qu'elle n'avait jamais vue, prostrées contre le carrelage. Aucune d'entre elle ne semblait blessée.

"Si elles m'ont fait perdre mon temps celles-là.... elles vont payer pour mon mug préféré" bougonna l'infirmière sans le penser réellement .

Elle avança à leur hauteur, voulant leur demander ce qu'il se passait. Sans se rendre compte de sa tête proprement effrayante, car si elle était de mauvaise humeur le matin, elle faisait réellement peur si elle manquait de sommeil le soir.

Xanxus était toujours dans sa chambre en la compagnie de Erza, ils étaient très calme tous les 2 lorsque du bruit se fit entendre , Xanxus avait horreur du bruit lorsqu'il dormait , ce même bruit qui avait réveille Erza , Xanxus se leva et commençait s'habiller , il ne voulait pas que Titania s'inquiète pour lui , il devait détruire tout ceux qui oseraient déranger le sommeil de Erza , il s'habilla assez rapidement et concentra une flamme dans son anneau , cette flamme était d'une très grande intensité, Xanxus était un peu enervé et il fallait qu'il se defoule sur quelque chose ou plutot sur quelqu'un, il mit la flamme dans son anneau puis il fait sortir Bester , son ligre tempesta di cielo , celui regarda de nouveau Erza et lui dit

Xanxus : ne t'inquiète pas pour moi je vais revenir vite

Xanxus embrassa Erza sur le front puis il quitta la chambre pour se diriger vers la source des bruits qui se situait dans le hall, il s'arrêtait pas loin d'un jeune homme et observait ce qui se passe , Bester pret à attaquer si son maitre lui ordonnait

Erza dormait paisiblement dans les draps et les bras de Xanxus. Elle avait pris l'habitude de dormir avec lui, la moitié de ses affaires se trouve même dans la chambre du jeune homme et l'autre moitié dans sa chambre qu'elle avait un peu délaissé de puis quelques temps. La nuit était calme et la jeune femme profitait de cet autre moment de bonheur avec lui. Elle était si bien... Malheureusement un bruit la réveilla et réveilla son beau Xanxus. Il sortit du lit, un petit courant d'air froid dérangea Erza qui regardait son homme s'habiller. Sans doute voulait-il savoir qu'elle était celui ou celle qui les avait dérangé. Elle observa la flamme qu'il venait de crée sur sa main et l'introduire dans une boite, laissant apparaître Bester son ligre. L'ange n'avait pas du tout envie qu'il parte, il lui dit ceci :

Xanxus : ne t'inquiète pas pour moi je vais revenir vite

- D'accord...

Avant de l'embrasser sur le front et quitter la chambre. Erza eu un pincement au coeur, elle n'aimait pas le voir partir, surtout comme ça en pleine nuit. Mais elle lui faisait confiance et l'attendait patiemment. Elle essaya de s'endormir pour rendre l'attente moins longue et afin d'éviter de s'inquiéter. Les quelques minutes passèrent il n'était toujours pas revenu. Alors elle un attrapa un gilet à elle posé un peu n'importe où, le mit, enfila ses pantoufle et alla à sa recherche.
En le cherchant elle vit de la lumière dans le hall, ce qui n'était pas normal à cette heure ci et elle alla voir se qui se passait. Tout d'abord elle vit Xanxus et Bester dans un coin, elle était rassurée de le voir et un autre jeune homme un peu plus loin. Tous les deux avait l'air d'observer quelque de chose. La jeune femme regarda dans la même direction qu'eux et vit une femme petite, portant une blouse blanche avec une mine à faire peur, sûrement était ce l'infirmière du pensionnat. Puis elle vit une jeune fille, elle devait être une autre élève de Kage. Erza s'approcha un peu plus et vit une autre jeune fille avec de long cheveux blond assise sur le sol avec un air horrifié. Une élève elle aussi sans doute. Erza s'approcha de celle-ci et se mit sur les genoux en face d'elle pour être à sa hauteur, la jeune femme prit un air doux et calme qui se voulait rassurant et un ton de voix qui l'était également afin qu'elle ne prenne pas peur et la repousse.

- Est ce que tu vas bien ? Tu n'es pas blessée ?

J'étais pétrifiée, pourquoi autant de gens venait autour de moi? J'avais crié aussi fort que ça?
Je ne savais pas quoi faire, j'étais de marbre. Mon coeur battait fort dans ma poitrine, je les avais encore jamais vu. Je repensais à mon rêve à ce qui s'était passé. Je faisais des cauchemars chaque nuits ces temps-ci, sa commençait sérieusement à me faire chier sans être impolie. Je regardais simultanément l'élève, l'infirmière et une prof. Elles étaient toutes devant moi voulant savoir ce qui s'était passé, moi je voulais juste être au calme, je voulais qu'on me laisse en paix, je déteste avoir une foule autour de moi ou être dans une foule. Au loin je pouvais voir deux ombres qui ne bougeaient pas apparemment ils voulaient savoir ce qui se passait sans venir s'interposer.
Tout en restant assise contre le mur je me suis adressée au 3 jeune femmes en leur disant de ma voix de cristal atténuée de sanglot.

-Ne vous inquiétez pas, j'ai juste fait un cauchemar qui m'a un peux bouleversée, je n'ais jamais voulu vous réveillez je suis vraiment navrée, je n'ai pas voulu crier j'étais somnambule et je contrôlais pas se que je faisais...
J'espère que je vous ais pas trop dérangé.

Je pris un air pincé et interrogateur, est ce qu'elle m'en voulait vraiment? j'attendais de voir leurs réactions en me méfiant des 2 hommes qui étaient plus loin, car eux avaient vraiment l'air en colère.
Je restais sur mes gardes pour me défendre à toute éventuel attaque provenant des 2 personnes en retrait.

La jeune fille ne réagit pas tout de suite. Raya vit qu’elle s’apprêtait à répondre quand des marmonnements retinrent l’attention des deux élèves. Une silhouette de femme en blouse blanche se tenait pas loin d’elles et semblait se rapprocher tel un zombie. Ce qui pourrait être franchement effrayant si la petite louve n’avait pas immédiatement reconnue la figure caractéristique de l’infirmière du pensionnat. Au même moment, une femme fit irruption dans le hall d’un pas assuré qui fit drôlement contraste avec l’autre arrivante. Quand elle se mit à genou près d’elles, Raya vit son visage un peu mieux et reconnut une enseignante qu’elle connaissait de vue.

- Est ce que tu vas bien ? Tu n'es pas blessée ?

Sa voix était douce et se voulait rassurante, c’était probablement bien plus réconfortant pour la blonde qui était toujours secouée et larmoyante. Les yeux de cette dernière trahissaient incompréhension et même un peu d’appréhension, et ils jonglaient entre Raya, la prof et l’infirmière. En même temps, elle la comprenait. Tout ces gens qui venaient d’un seul coup la déranger dans… - la déranger dans quoi d’ailleurs ? Elle n’avait toujours pas eu le temps de répondre à sa question. Peut être était elle aussi une louve garou ? Non, surement pas… Ces choses là se sentent à l’instinct. Elle avait pu faire un cauchemar, ou s’être blessée alors qu’elle se promenait dans le noir.

-Ne vous inquiétez pas, j'ai juste fait un cauchemar qui m'a un peux bouleversée, je n'ais jamais voulu vous réveillez je suis vraiment navrée, je n'ai pas voulu crier j'étais somnambule et je contrôlais pas se que je faisais...
J'espère que je vous ais pas trop dérangé.

Elle semblait sincèrement désolée et en même temps Raya remarqua que ses doigts avaient l’air contractés, comme si quelque chose la stressait.

-Bah, moi de toute façon je ne dormais pas donc…

C’est en suivant la direction de ses pupilles qu’elle finit par comprendre. Il y avait quelqu’un non loin qu’elle n’avait pas vu. Elle ressentit la présence, sans pouvoir la repérer, et sa gorge se noua sans qu’elle comprenne pourquoi. Il y avait quelque chose d’inquiétant dans cette présence tapie dans l’ombre qui les observait. En se concentrant encore un peu, elle parvint à retrouver des sensations animales (ca ne faisait qu’une heure qu’elle s’était retransformée, les reflexes étaient toujours un peu imprégnés en elle) et devina qu’il y avait non pas une mais plusieurs personnes, ce qui n’arrangea pas beaucoup les choses.

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