Le pensionnat était peut être grand, mais Yakisa se sentait étouffer entourer de mur. Elle sortit à l'extérieur, le grand air lui ferait le plus grand bien. Il y avait beaucoup d'élève ici et pour toit dire elle était un peu décourager. En se promenant dans le parc, elle vit un banc qui avait l'air de l’appeler. Elle marchait depuis un bon moment et se disait qu'elle pouvait bien prendre une petite pose.
Une fois assit, elle sortir le dossier qu'on lui avait remis pour le feuilleter un peu. Elle s'attarda à chaque visage pour bien associer le nom de la personne. Il était beaucoup plus pratique d'intervenir du situation quelque conque en sachant le nom des concerner. Rendu à la moitier du document elle le ferma. Elle avait beaucoup trop de nom dans la tête pour le moment. Elle mit ses écouteur sur ses oreilles et écouta sa musique. Le fait d'entendre toutes ces chansons la fit légèrement sourire.
Le parc était grand et il y avait peu de monde à l'extérieur. D'un côté c'était un peu normal, il fessait un peu frisquet et le soleil allait bientôt se coucher. Yakiza avait sa veste noir, alors elle était juste bien. Elle vit un couple qui était entrain de faire un pique nique en se tenant la main et se regardant dans les yeux. On ne peu pas dire qu'elle les enviait, même si elle n'avait jamais connu se genre de relation, mais l'intimité lui fessait peur. La seul personne qu'elle avait vraiment été proche avait son frère. Elle l'aimait d'un amour fraternel et c'était un lien qui lui tenait beaucoup à coeur, mais malheureusement se lien si précieux fut traï et détruit à jamais.
Le petit sourire qu'elle avait jusqu'ici disparut aussi vite qu'il était arriver. Elle regarda ailleurs pour faire disparaître l'image de son frère qui c'était former dans son esprit. Elle regarda les arbres au loin et ça lui rappela tout le chemin qu'elle avait parcourus depuis la mort de ses parent. Décidément peu importe où elle regardait, son passer refaisait surface. Elle avait mal à la tête avec toute ses pensées qui la hantait. Elle prit trois aspirine pour ne plus penser à rien.
Le soleil disparaissait derrière les arbres et quelque lampe dans le parc commencèrent à s'allumer. Le couple ramassa leur affaire et partit en direction du pensionnat. Il ne restant plus qu'elle et un chat qui passait par là. Elle le prit sur ses genoux et le caressa tranquillement en ne pensant à rien d'autre. Son ronronnement l’apaisait et les aspirines commençaient à faire effets, elle se sentait calme.