Laurel Birdsong, une âme damnée parmis les mortels. [Fini]

Description physique :

Son physique? Laurel à d'autre chose de biens plus important à s'occuper! Vous croyez qu'un Damné à a cœur son apparence physique? Si oui, vous vous trompez et pourtant on pourrait y voir a la foir une belle femme et un bel homme. Pourquoi "femme et homme"? C'est simple, Laurel à eu l'occasion de vivre la vie des deux sexe et ne s'en fais plus pour des détails si léger. Même en y prêtant attention il est impossible de lui définir un sexe, la plupart des gens se fient alors à leurs instinct et le/la qualifie au masculin/féminin selon leur envie. Dans sa première vie il était un homme et son corps était celui d'un guerrier d'expérience. Sa seconde fois ce fut le corps d'une femme et ainsi de suite, chaque apparence ressemblant un minimum à son originelle. Seuls les cicatrices acquises lors de sa première incarnation persistes toujours, la plupart étant douteuse. La première, une longue ligne rose fessant le tour complet de son cou montre qu'il s'est déjà fais tranché la tête. La seconde, une légère plaque de chair rosée à peine visible dans son front est la trace d'un carreaux d'arbalète qui y a été planté. La dernière, une croix Templière donnant l'impression d'être gravée au fer rouge sur son épaule droite, est la marque de l'archange ayant passé jugement sur lui.

Outre sa première apparence aujourd'hui Laurel porte des cheveux rouges mi-long. Ses yeux sont souvent perdu dans le vague et semblent errer lentement d'un endroit à l'autre sans but précis, un masque sérieux remplace de temps en temps cet air perdu qui lui est propre, dans ces situation, son seul regard semble fouiller votre âme. Cet être mesure dans les 1mètre 70 et garde un corps fin peut importe ce qui est ingurgité. Dans une foule il est difficile de le/la reconnaître d'une journée à l'autre. Ses vêtements sont souvent très excentriques, mais aussi très différent selon les jours, allant de la robe à la chemise. Sa voix semble changer selon le temps et son accoutrement, plus les vêtements seront féminin plus la voix sera aiguë et vice versa.

Description morale : Qui suis-je? En voila une bonne question. Laurel Birdsong est un des nombreux personnages que je me suis inventé au cours de mon existence, une étape, une chose éphémère. Plusieurs me qualifieront de fou ou de folle, j'ai vécu si longtemps que la sagesse ne semble plus vouloir de moi, j'agis comme bon me semble. Je crois que de nos jours ça s'appel un trouble de personnalités multiples, ils peuvent biens le définir comme ils le veulent je m'en moque complètement et je ne me prive pas de leurs cracher au visage si l'envie m'en prend. J'ai perdu il y a longtemps la volontés de sauvé mon âme, elle est damnée et le restera probablement a jamais. Si je suis immortel je ne suis pas immunisé a la douleur et ça, dieux me le fais comprendre chaque jours qu'il fait. Pourquoi ne suis-je pas simplement mort? Je ne commencerais pas a étendre ma vie ici et maintenant. Je peux vous dire par contre ce que j'étais dans une vie antérieure, des fragments de ce comportement me suivent toujours aujourd'hui et je me fais fureur de les contenir.

Il y a des centaines d'années j'étais un être abjecte, pour des raisons établis par la société j'avais été rejeté de tout ce qu'un enfant normal peut vivre, je devins rapidement un être perfide. Dénudé de conscience en très bas âge j'agissais comme un animal, la vengeance était mon plat quotidien. J'étais rapidement devenu un homme fourbe, cruel, autoritaire, colérique et sensible a la moindre critique. Ce comportement me suis et me suivra toujours, mais j'ai aussi appris à être autre chose. Aujourd'hui, je ne sais plus ce que je suis exactement, cette rage primaire et animale que j'éprouvais autrefois monte parfois en moi et je la repousse de mon mieux. Pourquoi je me défini comme un fou? J'ai vécu longtemps en tan que fou dans la cour d'un roi, une époque que je n'oublierais jamais, parfois mon ancienne profession remonte et je m'y abandonne avec plaisir.

Son histoire :

Le destin conduit celui qui accepte ; celui qui refuse, il le traîne.

Voila ce que j'ai appris lors de ce long et périlleux parcours que fut ma vie. Je vais te raconter mon histoire du mieux que je le peux Invité, mais je ne me souviens plus de toutes ses parties. Quelques unes furent oubliées volontairement, d'autres restent gravé dans ma mémoire malgré moi, alors pourquoi les cacher plus longtemps? Puisque je ne peux m'en débarrasser, autant les partagées je n'ai rien a y perdre. Pour débuter du bon pied sache qu'à l'époque de ma naissance, les hommes et les femmes entretenais de nombreuses craintes et superstitions face à plusieurs choses. L'une d'entre elles était la naissance d'un enfant voilé : c'est-à-dire d'un nourrisson qui naît avec une partie des entrailles de sa mère sur le visage. Des rumeurs appuyé par l'église racontent qu'un enfant né voilé n'amènera que le malheur partout ou il passerait, que la solitude et le rejet devait être son lot. Ainsi, on tuais tout les cas de nouveau né affligé de cette "malédiction".

Mon père était un vieil homme seigneur de quelques modestes terres du nord et malgré son grand âge, il n'avait réussis à créer aucuns héritier, personne a qui léguer son fief et ce n'était pas faute d'avoir essayé. Quand je fus conçu le vieil homme était beaucoup trop près de l'âge ou il n'aurait plus aucunes chances d'avoir un héritier et ma venu avait été attendu avec de grands espoirs. C'est, je crois, la seule raison pour laquelle la sage-femme qui avait fait accouchée ma mère m'avait fais prendre ma première bouffée d'air. Si elle aurait su ce que je deviendrais, elle s'en serait tenu et m'aurait éventrée sur-le-champ sans aucuns doutes. La rumeur du fait que j'étais né voilé s'était rependue comme une trainée de poudre sur tout le fief et bientôt tout le monde était au courant.

1. l'enfance

Sans comprendre pourquoi, j'étais un enfant a part, une abomination, un malheur pour tous et toutes et même si je n'avais riens fais pour le mériter j’attisai la haine des paysan et de leurs enfants. J'étais seul et quand j'essayais de faire comprendre aux autres que je voulais me joindre à leurs jeux je me frappais à un mur. Vautré dans mon orgueil de futur seigneur de ces terres je repartais chez moi la tête haute, vers le seul contacte humain que j'arrivais à entretenir, celui de ma mère.

Il est logique qu'on ne souffre pas de ce qu'on ne connais pas, j'arrivais donc à endurer ma solitude face aux autres enfants sans trop de problèmes. Je fus pris en charge par le prêtre du village vers mes 8 ans pour apprendre a lire et a écrire. Un soir, alors que je me promenais comme à mon habitude après mes cours je fus arrêter par la bande d'enfant qui me refusait tout contacte depuis toujours, maintenant habituer à mon status de jeune seigneur je me redressais et les toisait de haut avec un air interrogateur. Le plus grand du groupe s'avança avec un sourire mauvais.

-Un prophète est passer au village et nous a mis en garde contre toi, si les récoltes sont si mauvaises c'est ta faute! Pour le biens du village nous avons pris une décision.

Je pris rapidement peur et je me retournais pour m'enfuir mais me heurta à un membre de leur groupe, je vis des étoiles peu après puis plus riens. Quand je me réveillais j'étais attaché et la petite bande me regardais amusés, je compris aussitôt leurs intentions quand ils soulevèrent une trappe en bois sous laquelle se trouvait une fausse. Vous devinez la suite, j'y fu projeter tandis que les graines du mal prenaient racine en moi. J'entendais tout, la fine couche de terre qui recouvrais la porte de bois, leur pas léger, leur rires, tout. Je ne sais combien de temps je restai dans cette fausse humide, avec pour seul compagnon les vers et les insectes divers. Je finis par m'endormir..

Je me réveillais en sursaut alors que j'entendais un doux fredonnement, j'avais du mal a l'entendre mais c'en était biens un, quelqu'un passait près! J'avais donc une chance de m'en sortir. Je me mis alors a sauter pour fracasser ma tête le plus fort que je pouvais contre la plaque de bois qui me séparais de la lumière, la personne ne tarde pas a entendre le bruit. Quand la fille qui fredonnais plus tôt ouvris la trappe elle se contenta d'hausser un sourcil tout en disant :

-Tiens, en voila un drôle endroit pour passer la nuit.

Le lendemain, le leader du petit groupe qui m'avais enterrer et toute sa famille était banni de mes futures terres, un sourire d'extase aux lèvres j'allais adresser un dernier adieux à mon tortionnaire en lui crachant au visage.

2. L'adolescence

Je passais les années qui suivirent moins seul, la jeune fille boiteuse qui m'avais sauvée d'une mort lente et certaine devin ma seule amie. Chaque jours, après les leçons du prêtre nous allions dans la forêt et apparemment elle n'en avait rien a faire que je soi né voilé ou non. J'en appris beaucoup sur elle et vise versa. Elle m'apprit entre autre qu'elle était boiteuse car son père, légèrement trop porté sur l'eau-de-vie avait l'habitude de violé ses enfants et une soirée ou il était plus bourrus qu'à son habitude elle avait eu l'audace de lui refuser. Résultat, une jambe cassée, elle avait été remis en place le mieux possible, mais la laissait désormais boiteuse.

La belle petite routine qui s'était instaurer dans ma vie fut brusquement renversée un jours ou des cavalier approchait au loin, des brigands, n'étant pas des guerrier et ne possédant pas de milice nous ne pouvions riens faire. Plusieurs maisons furent pillée et brulées. Plusieurs hommes éventré comme des porc et mon amie violée a nouveau, un massacre. Le nom du chef des brigands fut échappé et il resta gravé dans ma mémoire, voila un ennemis qui me suivrait loin. Les jours qui suivirent mon père parti du fief pour des raisons qu'il ne semblait pas vouloir dévoilé et je n’eus plus aucuns contactes avec mon amie. Le mal jusqu'à maintenant contenu en moi ne fit que prendre racine plus fortes et se développa à une vitesse folle. Je me mis rapidement a haïr et a mépriser les villageois qui ne s'étaient pas défendu.

Un soir mon père revint avec un homme qui devin le capitaine de notre milice improvisée, je devins son apprenti. Les années qui suivirent ne furent qu'entrainement et développement de ma haine envers les villageois qui osait se mettre sur ma route. J'étais maintenant un homme complet, plus grand et robuste que les autres du village en général à cause du manque de nourriture qui sévissait dans plusieurs foyer. Un soir je décidais de mettre mon plan en exécution, j'allais voir le fils du boucher, un membre du groupe de jeune qui m’avais autrefois enterrer. Il fut surprit de ma visite, moi qui ne leurs parlait par et qui les évitais comme la peste, je venais le voir. Je mentis :

-Viens, les chasseurs ont attrapé un sanglier et il doit être dépecer pour être amener au village.

Sur ses gardes, il me suivit et du remarquer que je l'entrainais lentement dans la direction ou lui et sa bande m'avait entrainer quelques années plus tôt pour m'y laisser mort. Plus on approchait plus il semblait stresser et quand nous y fûmes il me demanda ou était l'animal d'une voix ou il n'arrivait pas a cacher la peur. Un sourire carnassier aux lèvres je l’assommais avec le pommeau de mon épée. Quand il se réveilla il était au fond du trou que j'avais approfondis en quelques heures de travail, j'avais attendu qu'il reprenne conscience pour fermer la trappe sous son regard apeurer. À 15 ans, j'étais un outil de vengeance et j'en étais fière. Je fis la même chose pour les 5 autre membres de la bande toujours au village, chacun avait le loisir de voir mon visage avant d'être abandonner sous terre. Comme la vengeance était douce.

3.Sins

La dégringolade vers la damnation était déjà amorcée à 15 ans j'avais enterrer vif 6 hommes d'environ mon âge. J'essaya de revoir mon amie de temps en temps mais n'y arrivais pas. Rapidement je délogeais mon père de son titre de maître des terres, il était vieux et ne pouvait rien contre moi, je le contrôlais comme on contrôle un pantin jusqu'à ce que les paysan reconnurent que j'étais le nouveau maître des lieux. La liste de mes pécher s’allongeait. À 16 ans je tabassait deux vieillard en public a mort. À 17 ans je fis instaurer un piloris et une potence en les inaugurant avec le fils d'une des sœur de mon amis et une femme enceinte. Finalement, à 19ans je fis bruler tout les membres de mon village dans l'église ou ils s'était réfugier pour se cacher des bandits à la place de les combattes.

C'est d'ailleurs en essayant de venger mon village de ces pilleurs que je perdit la vie, la tête coupée.

4.L'enfer?

Je ne sais combien de temps je passa accroupis, les genoux sous le menton, grelotant dans ce vaste endroit vide et froid. Le temps semblait s'écouler si lentement, j'avais eu le temps de repasser ma vie en mémoire quelque fois, me souvenant de ce qui m'avait pousser a commettre ces crimes. Je me lavais alors et criais ma rage face à cette injustice, c'est alors qu'une forme brillante se matérialisa sous mes yeux. Je dégainais aussitôt mon épée, écoutant mon entrainement, quand l'être de lumière brandit sa crosse dorée je fis mine de l'attaquer. Mon coup n'eut pas le temps de le toucher, une force me propulsa vers l'arrière violemment, me vidant de toute énergie.

-*Nom censuré*, J'ai eu la chance de visionner ta vie et ton créateur à décider de te laisser la chance de te rattraper. Tu arpentera le monde à la recherche de ton salut sans pouvoir trouver le repos tan que cette tâche ne sera pas accomplie, rappelle toi à qui tu dois compte!

Il plaqua sa crosse sur mon épaule, une vive douleur secoua mon corps et je m'évanouis pour me réveiller avec cette vilaine cicatrice au coup, le reste est probablement moins intéressant et beaucoup plus long. Je suis ici car, le destin me traine dérrière lui, alors autant le suivre. Je suis maintenant devant les portes de ce pensionnat, je ne me souviens plus vraiment pourquoi j'ai appliquer pour enseigner ici et sincèrement, je m'en moque.