Sujet: Comme au bon vieux temps ? [Libre] Sam 14 Avr - 10:20
«O.O»
Un Univers de Rêve
Spoiler:
Le pensionnat Kageshiro ! Mince on peut vraiment dire que ce pensionnat était réellement connu pour ces punitions les plus horribles, vous direz pourquoi je vous parle déjà de punitions ? Et bien c'est simple, je suis puni là... Sur, que la prochaine fois je dois faire ça d'une façon largement plus discrète que celle-ci mais bon c'était Oga qui m'avait cherché ce coup-ci, je suis certain qu'il savait que j'allais bien évidemment le frapper ce mec. Oui j'ai tabassé un pauvre garçon à cause d'un simple pari avec mon partenaire de colle pourtant pour une fois j'étais tout seul dans la merde, et en plus je devais nettoyer les assiettes durant le self. Encore comme ça, ça m'aurait rien fait mais le fait qu'il me fasse jusqu'à regretter d'aimer la cuisine en autorisant mes camarades à faire des champs de batailles dans leurs assiettes devant moi alors que de mon côté je trimais... Eiji-Eiji... Réfléchis à un truc et sauves-toi ! C'était à ça à quoi je pensais en ce moment même quand soudain une jeune femme vint s'approcher de moi, c'était sans aucun doute la cuisinière. Elle était doué d'une grand taille, je dirai environ dans la tranche des 1m82 ainsi que d'une aisance ou plutôt d'une souplesse qui se ressentait au moindre des pas que celle-ci effectuait avant de n'arriver en face de moi. Elle était doué d'une finesse, d'un poids et d'une voix exceptionnel contrairement à ce que nous autre avions comme idées des dames bossant dans une cantine. D'habitude celle-ci semblait plus ressembler a des boudins ou encore des jambons. Je l'observais en levant la tête en dépit de la grande taille, (encore une fois sans vouloir passer pour un pervers fallait-il que le sommet de ma tête ne lui arrive pile qu'a la poitrine ?) d'une voix assez douce elle disait que mon travail d'intérêt général était terminé et que je pouvais disposer. Seulement sur le coup, je ne l'a crus pas de suite mais finalement je me suis dit " Oh et puis zut... Viens on se casse d'ici ! " Et ce fus en moins d'une seconde que je fus déjà dans les couloirs afin de repasser par le hall pour qu'enfin je puisse accéder à la chambre à laquelle je fus convié. Je pris alors mon temps pour gravir les marches des escaliers me permettant alors de pouvoir accéder à ma chambre et ceci dans une cadence assez lente toujours exprimant mon envie de passer une journée moins ennuyante que les précédentes fois. Une fois après avoir atteint ma chambre, je me mit à observa longuement mon lit dans lequel il n'avait pas piqué de petit somme depuis tellement longtemps : c'est à dire à peu près 5h30 étant donné qu'il était 13h30. Puis je m'allongea dessus, sur mon lit, attendant patiemment que le temps passe et qu'enfin je ne me décide à mon activité d'aujourd'hui. Ce n'est finalement que 5 minutes plus tard que Je me redressais alors en sursaut en position tailleur tout en m'ébouriffant les cheveux, j'avais enfin une idée : Aller aux sources chaudes. Quittant ce lit qu je chérissais tant je me dirigea finalement vers mon armoire. Je me vêtu alors d'une chemise blanche que j'échangeai contre mon polo marron, d'un jean un peu troué sur les bords à la place d'un jogging d'une couleur noir d'un certain ton foncé et de ma veste bleu. Après s'être changé, direction "la salle de bain", je m'y lava tout de même un peu le visage tout en observant mon reflet foudroyant accompagné de son fidèle ami "Sourire Eclatant" que j'entretiens au Colgate 100% Blancheur tout les jours afin que toute les jeunes filles craque du premier regard...ou pas Finalement après une dizaine de minute a se préparer sans trop en faire non plus, votre super-héros préféré prit le chemin de la porte sans ne rien oublier puis dévala les escalier(qui ? Bah moi --')
Extérieur du Pensionnat Kageshiro
Spoiler:
J'avançais tranquillement dans le cours de ce pensionnat, sans jamais pour autant me soucier de personnes quand soudain, une ombre ou plutôt un trio d'ombres vint se placer devant moi. Tout d'abord je me demandais si ces trois imbéciles savaient à qui ils avaient à faire et surtout si ils tenaient tout les trois à leur vie. Dans le pensionnat tout comme dans mon ancien lycée, je suis réputé pour avoir une mauvaise sociabilité avec les gens alors je m'arrêtais alors deux secondes, fixant leurs ombres avant de ne commencer à serrer les poings. L'un des trois garçons( celui avec sa queue de cheval )vint s'approcher de moi m'empêchant d'avancer plus loin...
- «Hey Blondinet ! Tu serais pas Eiji des Onibaku Combi par hasard ?.»dit-t-il en posant sa main sur mon épaule.
- «A ce que je vois, je suis plutôt connu même à Akumano »dit-t-il en rejetant la main de l'autre con.
L'autre imbécile s'agitait me montrant du doigt comme si il était une sorte d'enfant demandant, voir suppliant sa propre mère de lui acheter la glace dont il avait tant rêver depuis sa tendre enfance chez le marchand de glace alors que dans le cas précis j'étais celui qui leur avait casser la gueule la dernière fois. Son chef ou du moins celui qui semblait l'être de ses airs plutôt agaçant s'approcha de moi et me dit.
- «Alors comme ça c'est toi, le chien enragé ? Celui qui as tabasser mes gars ? »dit-t-il avec un air des plus supérieurs
- «Ouais c'est lui patron »dirent les deux autres de façon simultanée
D'un coup, une sorte de flashback me revint subitement comme ci la phrase que ces deux petits cons vinrent de prononcer agit comme une sorte de clef pour mes souvenirs, ma mémoire. Ces deux enfoirés n'était autres que les deux gars d'Akumano que j'avais tabasser l'autre jour... Mais encore une fois était-ce ma faute si ces deux cons était venus se placer sur ma route alors que tout le monde s'écarter quand ils me voyaient hein ??
- «Faut encore que je vous casse la gueule pour que vous compreniez qu'on vous me bloquer le passage ? »Dis-je en relevant la tête avec un air froid
Finissant d'attacher ce bandeau rouge auquel je tenais tellement, j'attrapais l'autre imbécile avant de lui infliger une droite puis de l'empêcher de tomber en le retenant par sa pauvre queue de cheval. Lui relevant la tête, je ne pus m'empêcher de l'envoyer voler vers la poubelle à l'aide de ma fameuse reprise de volet droite. Je m'approcha alors de mon deuxième adversaire qui tremblant essayait de me frapper à l'aide de ces poings de femmelette puis d'un geste rapide, j'avais mon genou dans son sternum puis je disparu alors au dernier moment avant de ne réapparaitre dans son dos et lui infliger un violent coup de coup de pied dans les côtes le projetant a à dizaine de mètres plus loin. J'observais alors la mine de l'autre gars se détériorer de plus en plus avant qu'il ne me fonce dessus, Il frappait encore encore et encore et cela toujours dans le vide car il était vrai que cela me divertissait beaucoup de l'esquiver. D'un mouvement brusque et surtout de peur, il réussit à me toucher au niveau de ma joue droite, celle-ci se décala quelque peu avant que je laisse apparaitre un petit sourire vicieux. Leur boss se tenait la main signalant surement le coup de jus qu'il avait dut recevoir en entrant en contact avec ma peau si étincelante, je lui lançais alors mon poing dans la figure avant de ne lui placer un terrible coup de pied dans la tête puis de redescendre le tout en piquet. Lui ayant enfoncer la tête dans le sol, je lisais dans les têtes de ses deux camarades de la peur tout juste avant qu'ils ne sauvent en courant. Je m'approcha alors de lui puis plaqua la tête de celui qui semblait être leur chef d'un geste brusque à l'aide de mon pied droit, tout en essuyant le sang qu'il y avait sur mes chaussures; pour ce qui en était de mes mains je les essuyait avec mon bandeau à l'origine blanc qui était devenu rouge à force de tout mes combats. C'est alors que je soulevais le corps de ce sale type le jetant hors de la propriété de Kageshiro.
- «Tss... J'espère que t'as compris la leçon batard ! Et remet plus jamais les pieds ici. »Dis-je en relevant la tête avec un air froid
Une pluie d'applaudissement se fit alors retentir dans la cour, c'était tout les pensionnaires et professeurs qui s'y trouvait et ceux qui par les fenêtres des classes qui m'avait observés foutre une raclée à ses voyous. C'est donc sur cette victoire qui je quittais la propriété afin de me rendre au sources chaude. Sur le chemin, j'envoyais un message à Oga qui était sans aucun doute mon meilleur ami pour qu'il m'y rejoigne.
Les Sources Chaudes !
A peine entrais-je dans la bâtisse que je sentais toutes les odeur féminines s'encrer dans mes narines, c'était réellement un monde de tentations pour les homme cet endroit. j'avançais alors paisiblement vers le comptoir avant d'être interrompu par une vibration retentissante provenant sans aucun doute de mon portable, il venait de m'annoncer que je venais tout juste de recevoir un message. J'avançais alors vers mon but premier tout en prenant mon portable dans ma poche, je vis le message, qui m'expliqua que Oga et mon petit pote Bébé Beel venait aussi. J'indiquais alors à la caissière que je réservais pour trois et que le deux autres arriverait un peu plus tard, à peine avait-elle entendu cela qu'elle se mit à noter sur le billet de réservation qu'elle donna au vigile. Cela devenait de plus en plus difficile de résister à l'envie de regarder le corps de cette jeune fille qui était aussi voyant que si elle était en bikini que je ne pus m'empêcher de ne pas vouloir détourner le regard... Je courus alors dans les couloirs menant aux vestiaires où j'allais aller me changer rien de plus normal. Environ une dizaine de minutes après avoir mimer le fait de m'être changer j'entrais alors dans le bain.
Je jetais alors un oeil à gauche puis à droite... Derrière moi, devant moi avant de ne recommencer cette petite mascarade environ une vingtaine de fois pour m'assurer que personne ne m'observait. Je m'élançais alors sur le mur tel Spider-Man afin de m'accrocher au mur peu importe la manière de procéder. Pourquoi fallait-il que ce mur soit si grand et large aussi ? Je me forçais a ne pas abandonner et grimper encore et encore afin de pouvoir mater ne fit-ce qu'un petit peu. Ce ne fut finalement que 5 minutes plus tard après une lutte très acharnée face à ce mur de brique que je pus enfin observer la scène.
Spoiler:
DES Filles, des femmes douées d'une douce et belle poitrine généreuse que je voulais comme tout homme normal observés de plus près mais je prenais déjà de gros risques, dés maintenant alors il valait mieux rester très prudent face à l'adversité de la gente féminine. Gnhein ?! dis-je avant de ne tomber subitement au sol, cette femme à la chevelure violette ce ne serait pas Raya par pur hasard pensais-je rapidement... Avant de ne me relever et de sentir une main sur mon épaule.
…Yoh... Connard ! Tu pourrais arriver plus tôt non ? Dis-je avec un grand sourire pour Bébé Beel.
Invité Invité
Sujet: Re: Comme au bon vieux temps ? [Libre] Dim 15 Avr - 14:29
[22:23:14] Bro':
«Un Onibaku c'est mignon avant tout»
Papa et Fiston au bain '_'
En cette douce journée gorgée de soleil dans le pensionnat kageshiro, j'étais en train de savourer allègrement la chaleur de se soleil qui me faisais un bien fou et qui me permettais de me détendre durant une saison que j'adorais tout particulièrement car elle annonçais l'été: le printemps. J'avais effectuer un plan démoniaque avec le peu de cervelle que je possédais. Je voulais m'amuser et taquiner une personne que je considérais comme mon meilleur ami, comme un frère, un vrai Onibaku. Je veux bien entendu parler du grand Junichi Eiji et le premier qui ose me dire qu'il ne le connaît pas je le tabasse et je lui fait rentrer ce nom dans sa cervelle avant de la manger devant ses potes car on déconne pas avec lui!!! On ne rigole pas avec moi non plus d'ailleurs. Nan mais franchement c'est ça, il y en a qui faisais vraiment les malins et en particulier durant les heures de colles. Alors moi forcément, ça me gonfles, je veux les frapper mais après je subit encore plus d'heure avec eux et en plus de cela je dois ensuite aller à l'hôpital simuler des excuses fallacieuses pour être vu correctement et ne pas être foutue à cette p*tain de porte de ce p*tain de pensionnat à la c*n. Non franchement, allez vous faire mettre!!! Oui, j'en ai assez de le cacher, vous me saoulez! Je vais devenir une personne ivre de colère et je vais détruire le pensionnat comme je l'ai fait pour Ishiyama alors il vaudrait mieux pour vous qu'on ne m'énerve pas. Donc toi, Invité, tu te tais et tu ne fais pas ton fanfaron ok?!! è_é. Reprenons ou je m'étais arrêter, ah oui! Je taquinais Eiji en lui ayant fait le pari stupide d'aller frapper un mec qui faisais son comique devant les autres mais qui n'en avaient pas assez dans le pantalon pour rivaliser avec les onis que lui et moi nous sommes. Et donc bien entendu il avais subit une sanction importante car il étais tout seul à avoir effectuer la connerie et il se retrouva donc avec les cantinières. J'avais oui dire que dans tout les endroits, les cantinières sont horriblement laides et donc il allait subir une torture psychologique entre les bouffons du pensionnat de la cantine et ces femmes hideuses qui lui donneraient envie de vomir dans la gamelle qu'il serait surement en train de préparer pour le plus grand plaisir de ces tocards faibles et impuissants qu'ils étaient. Et donc après qu'il subissait cette corvée j'étais ainsi libre de pouvoir me promener librement dans le toit du pensionnat sans aucun doute pour pouvoir me reposer et admirer les nuages tout comme je le faisais auparavant au lycée avant d'être interné dans ce lieux pourri. J'avais également bébé beel qui étais près de moi et qui souhaitais son biberon. Je ne pouvais rien refuser au seigneur démon et il fallait par conséquent que je m'en occupe et que je cède à ses caprices sous peine de subir une avalanche d'éclairs aussi puissants que ceux de mon nakamabaka. J'aime bien le surnommer ainsi mais je ne lui avais jamais dit en face car je ne savais pas du tout comment il pourrait bien le prendre. Toujours est-il que je m'assoupit après avoir remplit le ventre du bébé en faisant chauffer son biberon à bonne température et tout le tralala, j'entendis une forte agitation dans le pensionnat. J'essayais de m'approcher tout en restant à l'écart de la scène pour essayer de voir qui étaient les concernés et ce qui allaient bien pouvoir ensuite se passer. Je vit alors pour ma plus grande surprise que c'étais bel et bien Eiji qui étais mêler à tout ce brouhaha. Et bien ça alors! Je pensais qu'il se calmerait après la punition qu'il venait de subir mais il semblerait que rien n'arrête un onibaku et il était en train de me le prouver une fois encore sous mon regard attentif mais discret. Je ne put que constater la facilité et la supériorité de puissance qu'il possédait vis à vis des autres élèves qui essayaient de lui chercher des crasses. Les pauvres, il n'avait jamais activer son pouvoir sur des gens de leur niveaux sous peine de leur causer la mort. Bien qu'il fasse partie du groupe, il possède un grand coeur d'ange. Il étais surement la personne la plus ouverte au niveau relationnel ou autre ou plutôt il en possédais le potentiel. C'était uniquement à lui de décider si il voulais se faire une tonne d'amis peu fiable ou garder quelques amis en or. Je ne pouvais pas juger mais je respecterais sa décision tant que nous resterons ainsi. Après l'avoir vu essuyer son sang sur le type d'une manière (il fallait bien l'admette) classe, je le vit partir en dehors de ce pensionnat avant de recevoir quelques minutes un message sur mon téléphone de la même personne. Il semblerait qu'il ait l'envie de s'amuser dans les sources chaudes. Je ne dirais rien de plus à se sujet mais nous sommes tout les deux des adolescents qui pensent à la même chose et par conséquent il fallait mieux se serrer les coudes plutôt que de se chamailler en insultant l'autre. J'étais par conséquent en train de partir et de descendre du toit pour me diriger à la sortie. Tout ce passais bien, j'avais bébé beel sur mes épaules et on marchait tranquillement. Arriver près de la sortie, je subit un coup de poing sur ma tempe. Un blanc se fit alors sentir dans tout le pensionnat, ils étaient tous silencieux et tout le monde savaient bien pourquoi.
Quand on frappe un onibaku, on veux aller à l'hôpital. Je me tournais alors vers l'agresseur et je vit que c'étais un type qui se prenais pour un rebelle avec son petit groupe d'amis. Ils m'expliquèrent que c'étaient pour un pari, il devait me mettre un coup contre beaucoup d'argent. Je fit alors un sourire angélique et je tapotais sa tête:
- «Alors dans ces cas si, frappe moi, rien qu'une fois et de toute tes forces ^^.»
- «Euh... Vous êtes sur monsieur? Cela ne vous déranges pas?»
- «Je n'ai pas dit ça mais tu as voulu me frapper alors frappe ^^ »
- «Mais vous aller me frapper non?!! o.O»
Je m'énervais alors et lui dit:
- «Bon écoute moi bien sale putain de merdeux que tu est!! Si tu ne me frappes pas je te jure que je ne vais pas te frapper mais te tuer!!! Tu est un homme! Tu as souhaiter me frapper! Assumes tes actes!!! »
Et ainsi, pris sous la panique et la pression énorme que je venais de lui donner, il tenta de me donner un coup de poing au visage, encore une fois. Je stoppa sa main en une fraction de seconde grâce à la mienne et ensuite... Je serra ma main fortement et je lui brisais alors tout ses doigts en un instant. J'avais un regard noir, un regard de tueur, un regard d'un onibaku qui affrontais un prétendant. Le rebelle en question ne dit rien et puis... Il se mit à hurler de douleur et à se tordre de douleur sur le sol. Il faisais pitié, je vais vraiment l'éclater. Avec mon pied je lui assena un coup de pied d'une force qui me permit de le lever au niveau de mon visage et de le mitrailler de coups de poing d'une forte puissance et d'une rapidité. Les autres ne pouvaient que constater les giclées de sang qui filaient de son nez et de sa mâchoire dans tout les sens et également sur mes poings. Après avoir fini de frapper comme une gatling, je laissa le cadavre retomber au sol, il ne pouvais plus bouger et allait tomber dans les vapes. J'attrapa alors un de ces amis et je lui dit de l'embarquer à l'hôpital et que si il me dénonçais il allait subir encore plus que son pote. Ce coup la marche toujours et je savais qu'il allais rien dire. Il trimbala son pote à toute vitesse loin d'ici en me jurant sur sa vie qu'il n'oserais pas. Je repartis alors calmement dans ma chambre pour me préparer en direction des sources chaudes.
Je décidais de changer de vêtements vu que j'avais du sang de ma victime sur moi que j'enlevais de mes mains à l'eau et le reste au salle! Je mit les premières choses qui me tombèrent sous la main à savoir un t-shirt et un jean et je fit mon sac. Il ne fallait pas grand chose pour aller la bas mais il fallait mon kit pour bébé Beel. Après avoir tout bien préparé et avoir enfiler 3 chewing gum à la chlorophylle, je me précipitas en direction des sources chaudes. Arrivée la bas, je me changeais rapidement dans les vestiaires sans avoir l'intention de payer ma place ou une connerie du genre. Eiji m'avais invité et il fallait donc payer c'est normal non? >_>. Et ainsi soit il qu'en ouvrant la porte des sources, je le vit en train de se faire plaisir à l'oeil et à ses hormones en regardant les jeunes femmes. J'avais eu ma dose entre la dame de l'acceuil et autre bonnes surprises et perles rares que l'on peut avoir croiser pour notre plus grand plaisir. Bien entendue, je voulais me rincer l'oeil avec lui donc je l'attendit au sol qu'il descende et que je lui tape l'épaule pour qu'il puisse me voir. Après l'avoir fait, il dit une phrase qui me fit sourire, toujours avec sa bouille angélique:
- «…Yoh... Connard ! Tu pourrais arriver plus tôt non ?»Dit-il avec un grand sourire pour Bébé Beel.
Je me contentais de lui répondre:
…Tu peut parler, je tabassais un gars et je me pressais pour ne pas arriver à la bourre et je vit que tu profitais du spectacle sans me laisser une place. La prochaine moi attends moi pour faire ça.
Je m'installais alors à poil dans les sources pour me détendre à l'aise et profiter. J'avais enfiler la petite bouée au bébé et il ne pouvais donc pas avoir d'ennuis avec le fait de nager ou non. Moi je me contentais de soupirer de bien être et de me détendre en voulant profiter de cet endroit avec mon nakamabaka.
Raya Petite princesse du forum
Nombre de messages : 175 Age : 30 Localisation : Dans tes crocs. <3 Emploi/loisirs : Dance, dance. <3 Humeur : Kyun! <3 Date d'inscription : 11/01/2010
Fiche du personnage Age: 17 ans et tout mes crocs. Race: Loup Garou. Chambre: n#3.
Sujet: Re: Comme au bon vieux temps ? [Libre] Lun 16 Avr - 18:00
C’était une bonne journée qui s’annoncait pour Raya. En se levant le matin pour aller prendre son petit déjeuner au réféctoire elle avait constaté que le professeur qui tenait ses cours de l’après-midi était absent pour ce jour. Elle avait donc sagement assisté à tous ses cours du matin en comptant les heures qui la séparaient de son après-midi de détente et en se demandant ce qu’elle pouvait bien faire pour en profiter. Elle pensa d’abord aller en foret marcher, mais le fait qu’elle en connaisse maintenant tous les recoins comme sa poche l’en dissuada. C’était un jour de soleil, et elle n’avait pas envie d’étouffer dans un parc rempli d’enfants ou sur une plage bondée. Elle eut alors très envie de se détendre un peu aux sources chaudes de la ville, un des endroits qu’elle appreciait le plus. Après les cours, elle décida d’aller manger des nouilles dehors dans un petit comptoir à ramen qu’elle appreciait pour les prix très bas qu’il proposait. Elle commanda donc son plat habituel (le miso-ramen était son préféré), et mangea silencieusement, en regardant autour d’elle la ville s’agiter et en s’exercant à focaliser son attention sur les conversations des gens alentour. C’était plutôt amusant et cela lui permettait surtout de prendre plus confiance en ses sens, qui étaient ses seuls véritables atouts par rapport aux autres élèves du pensionnats dotés de réels pouvoirs. Elle aimait d’autant aller aux sources que c’était un lieu idéal pour s’entrainer tout en se reposant.
La première mauvaise surprise de la journée arriva lorsqu’elle recut la note de son déjeuner. -Eeeh, mais, ca a augmenté ! -Navré Mademoiselle, les ingrédients de qualité se font rares en ce moment. -Je vois, marmonna-t-elle amèrement.
Résignée elle paya ce qu’elle devait au restaurant et s’en alla en direction des sources chaudes. Ce goujat de cuistot ne l’aurait certainement pas une deuxième fois. Elle trouvait très vexant de ne se voir avertie du changement de prix qu’au moment de payer l’addition et une fois le bol fini jusqu’à la derniere goutte. Elle se consola cependant en se disant que le prix aurait pu être pire, et que l’augmentation restait trop raisonnable pour qu’elle puisse s’offrir le luxe de se plaindre.
Parmi les choses qu’elle préferait, il y avait aussi son merveilleux téléphone portable que son père lui avait offert pour ses 16 ans. C’était un modèle de dernière génération qui avait litterallement coûté la peau des fesses à son pauvre papa, et les nombreuses fonctionnalités qu’il proposait faisait qu’elle passait une partie non négligeable de sa journée à tapoter dessus, le sortir et le ranger. Ainsi, elle décida d’envoyer de ses nouvelles, et composa un sms à l’intention de ce dernier.Tout allait bien, elle n’avait pas cours jusqu’au lendemain, elle allait en profiter pour prendre un bain, il lui manquait, elle esperait que tout se passait bien, tout le tralala habituel. Classique, mais elle en avait besoin.
Elle passa donc la porte de l’établissement, salua la dame de l’accueuil et la paya comme à son habitude, pris les petites affaires à son intention et alla se préparer dans le vestiaire réservé aux femmes. C’est en voulant s’attacher les cheveux, sa petite serviette enroulée autour de sa poitrine, qu’elle se souvint qu’elle s’était coupé les cheveux récemment et qu’elle ne pouvais plus les relever, et tête en l’air comme elle était elle n’avait pas pensé a apporter ses petites barrettes pour éviter de les mouiller. Elle souffla une fois de plus et se dit que de toute facon elle devait les laver. Elle se doucha donc soigneusement dans la partie réservée et shampooina ses cheveux fins et rebelles.
Tenant sa plus grande serviette ainsi que son téléphone contre elle pour ne pas faire tomber la petite serviette qui la couvrait, elle se dirigea ensuite directement vers la partie exterieure où elle posa ses petites affaires sur le rebord avant de glisser dans le bain en faisant attention à ne pas mouiller sa serviette. C’était un endroit plutôt sûr et si elle restait bien près de son téléphone, personne ne risquait de le voler. Comme toujours, elle ferma les yeux et ronronna doucement. Il n’y avait pas beaucoup de monde et seuls les clapotis de l’eau se faisaient entendre. Elle commencait à ne plus penser à rien quand un bruit inhabituel la fit se dresser brusquement. Elle tourna sa tête vers la palissade et constata avec une surprise qui manqua de lui faire boire la tasse que quelqu’un était tout bonnement accroché au mur du côté hommes et regardais tranquillement l’ensemble du bassin.
‘Attends… il est serieux ?’
Comment ce type pouvait-il juste se mettre là et regarder ? Il était vrai que les voyeurs étaient nombreux à venir en ce lieu, mais généralement ils essayaient de se faire plus discrets. Il fallait avouer que le cran de cette personne méritait un certain respect. D’ailleurs, Raya avait comme une vague impréssion d’avoir déjà vu sa tête quelque part. Elle ne savait pas exactement où, mais elle était sûre qu’ils s’étaient croisés un moment ou un autre dans le passé. Le fait qu’elle n’avait que de l’eau sur elle ne la dérangeait pas vraiment. En vérité après avoir rampé nue dans la boue d’innombrables fois à 4h du matin et le visage barbouillé de sang animal, le peu de dignité qui lui restait se réservait à des choses bien moins futiles à son sens que ‘éviter d’être vue dénudée’. Cependant le fait d’être observée tout court était très gênant. Elle n’aimait pas du tout se sentir espionnée, et il était impossible pour elle de se détendre dans une telle situation.
C’est à ce moment précis que son télephone vibra dans un bruit sourd pour lui annoncer que son père avait répondu. Raya l’attrapa après avoir secoué l’eau de ses mains et lut « Je suis content pour toi. Le travail est ennuyeux, mais je survis. Tu sors encore toute seule ? Toujours pas de copain ? ». Elle sourit car elle savait que ce n’était même pas une plaisanterie. Depuis plus d’un an qu’elle était ici, elle ne s’était fait que peu d’amis et s’efforcait de rester discrète, ce qui , elle le savait, angoissait son père. Elle jeta alors un regard méprisant vers le voyeur avant de taper : « Non, les garcons ici sont idiots et immatures. » Puis, secouant la tête, elle eut une pensée de pitié pour son papa et changea sa réponse. « Non, je préfère sortir en forêt ». Elle se relut et rajouta diplomatiquement les mots : « avec Chris. » Elle ne voulait pas le rendre inquiet ou malheureux.
Poussant un long soupir elle se glissa dans l’eau jusqu’aux joues en espérant que la séance voyeurisme ne durerait pas trop. Elle se forca à fermer les yeux pour se calmer. La derniere fois qu’elle avait perdu son calme ici, un goujat l’avait traitée de chienne en chaleur et cela avait bien failli dégénerer. Elle ne voulait certainement pas qu’un tel incident se reproduise.
Invité Invité
Sujet: Re: Comme au bon vieux temps ? [Libre] Dim 29 Avr - 17:34
«O.O»
Comme au bon vieux temps ? Part 2 [Eiji]
Spoiler:
Sources Chaudes Cette Présence que j'avais resssenti... Je ne m'étais donc pas tromper du tout, cette étrange voir hostile présence, que jusqu'à présent ou du moins qu'à que l'un des deux daigne m'interpelé, j'avais ressenti venait donc bel et bien d'Oga et de Beelbo. Cet Étrange Gamin dont j'avais déjà perçu la puissance dés mon premier séjour à Ishiyama, notre ancien Lycée... Il était donc là sous mes yeux accompagné de mon abruti de camarade qui désormais lui servait de père de remplacement, nan mais sérieux qui l'aurait quoi ? Qui aurait cru qu'un beau jour le terrifiant "Oga Tatsumi" devienne père a-mi temps tout juste à l'âge de 16 Ans ?! Oui, vous m'avez bien entendu... Nous faisons certes assez grand niveau caractère ou encore niveau taille mais nous ne sommes encore que de Simples Lycéens. Enfin si j'ai le droit de me qualifier ainsi car après-tout je ne fais qu'assister aux cours une semaine sur trois donc j'étais très souvent l'abonné absent de la classe... Et dire que j'avais désiré être nommé porte parole de la classe cette année, pfiou... Enfin bref, j'étais à présent là devant mon abruti de camarade à l'écouter me conter la raison de son petit retard pendant que son "Fils" lui, s'amusait à faire des grimaces.
…Tu peut parler, je tabassais un gars et je me pressais pour ne pas arriver à la bourre et je vis que tu profitais du spectacle sans me laisser une place. La prochaine moi attends moi pour faire ça.
Pendant qu'il parlait, on peut dire que j'étais littéralement ailleurs, que j'étais plutôt très anxieux de savoir ce que j'allais bien pouvoir faire de ma Fuckin journée ou plutôt, dans quelle merde on allait encore bien pouvoir se fourrer aujourd'hui comme toute les autres fois où ne sommes tous les trois réunis. J'observais alors le ciel tout en réfléchissant à une idée puis me contentant de l'imaginer comme une sorte de simulation mentale, ce qui très franchement avait pour effet de me permettre de laisser apparaître quelques petits sourire tandis que l'autre Baka s'installait avec Beelbo dans l'eau. Tss, On peut dire que depuis l'arrivée de cet enfant, Oga ne s’entraînait plus autant et ses muscles en témoignait eux même. Voulant tout de même en profiter moi aussi ainsi qu'éviter de recevoir de l'eau, je me décollais de ce mur de briques banales et me dirigeait vers les vestiaires. Je verouillais alors la porte, histoire de pouvoir me changer en toute sérénité, je me revêtait alors d'un bonnet de bain ainsi que d'un slip de bain avant de ne me lancer dans le hall me préparant a prétexter ne pas a savoir me changer. J'avançais alors le dos droit, sourire "colgate blancheur white" aux lèvres vers le hall qui par pur hasard ne fut rempli que de jolies jeunes femmes en maillot de bain scolaire prêtes à me rendre service. J'avançais alors vers ses filles qui était en pleine discussion féminine lorsque je vins m'approcher d'elle.
Spoiler:
- «Gomen...Gomen les filles, l'une d'entre vous sait-elle où se trouve les vestiaires Masculins ? Dis-je en leur lançant mon sort du clin d'oeil qui fait palpiter le coeur des jeunes femmes sur le coup.
- «Je peux vous y accompagner si vous le désirez ? Mon..sieur Dis-elle en se tenant les mains pour me scrutant.
- «Non, c'est mieux que ca soit moi qui l'accompagne... Après tout je suis ici plus souvent. Dis-elle en s'approchant de moi...
- «Non, mais pourquoi ce serait toi hein ?! Dit-elle en jetant un regard glacial à son amie...
D'un seul coup, je mis à rire en observant ces trois pauvres filles se battre pour avoir le ridicule honneur de m'accompagner moi, dans les vestiaires masculins... Nan mais sérieux qu'est-ce qu'il y avait de plus ridicule que ça ? Je m'avançais alors vers la fille vêtue de rose et lui dit d'une simple regard que c'était à elle que revenait le privilège de me tenir la main jusqu'au vestiaire quant au deux autres, elles pouvaient toujours nous suivre si elle le désiraient. J'avançais calmement dans le hall en compagnie de ses trois jeunes femmes qui semblait attirait l'attention de quelques jeunes hommes assez jaloux de ma condition actuelle. Je me demandais si c'était parce que j'étais accompagné de ces femmes ou s'il était jaloux de mon corps si svelte, athlétique et musclé. Mais bon, là je faisais tout pour ne pas laisser apercevoir mes véritables muscles car si avec ceux-là ces femmes me matait autant alors avec mon véritable potentiel, elle risquait d'avoir des saignements de nez comme nous les hommes... J'écoutais alors ses deux autres jeunes femmes émettre certains commentaires assez gênant mais tout de même plaisant, mais il y'avait certains "Kya"...Ou encore "Ahh!!!" ou même " T'as vu, il m'a regardé" lorsque je lançais mon tendre regard sur celles-ci. D'après ce qu'Oga avait bien pu m'apprendre ce genre de bruit, était nommé "Petits Bruits d'Admiration". J'étais tellement hilare de cette situation que je ne rendais pas compte que ma troupe d'accompagnatrices venait d'être multiplié au centuple. Je commençais alors à accélérer le pas, toujours accompagné de cette jeune femme vêtu de son maillot de bain scolaire violet, qui semblait a vrai dire heureuse auprès de moi alors j'en profiter pour rester d'elle pour agacer les autres femmes qui risquent sans aucun doutes possible nous poursuvivre et cela une fois fait, leur sens sera bien évidemment moins concentré. Nous courions afin de pouvoir fuir cette bande de fans girls quand tout d'un coup, je me fis tirer vers les couloirs menant aux vestiaires masculins... Nous étions enfin arrives apres une dizaine de minutes de cache cache en folie.
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J'entrais alors avec elle dans le vestiaire où avec surprise la jeune fille me vit me revêtir d'une serviette autour de ma taille et d'une autre plus courte autour de mon cou. Mon torse nu semblait épaté la jeune femme rougissait énormément, puis d'un geste assez courageux elle s'approcha de moi, désirant toucher mes abdominaux.
- «Anoo... Ca vous dérange si je touche ?dit-elle en fixant le sol Je souriait alors la tenant par le Menton afin qu'elle puisse le voir et lui dit d'une façon des plus simple.
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- «Maybe.... Maybe Not Dis-je en lançant cette fois ci mon sort du sourire heartbreak qui fait palpiter le coeur des jeunes femmes sur le coup.
Elle caressa alors mes abdominaux, essayait de remonter jusqu'à mon torse ?! N'avait-elle compris le "Maybe Not" ou ne voulait-elle pas le comprendre ? Elle tentait vraiment quelqu'un d'absolument horrible avec les jeunes femmes de son genre a elle. Quelqu'un qui ne les supportait pas ces femmes dont on pouvait abuser si facilement... Alors je l'a saisissait par le bras la collant contre le mur assez violemment d'avant de l'embrasser. On pouvait la gêne énorme sur son visage si beige antérieurement pourtant, à présent, il n'était plus que rouge.. Je lui chuchotais alors d'une voix sincèrement très douce et d'une sensualité outrageusement attirante. Elle ouvrit alors la porte tandis que je la raccompagnait et alors toute les fans girls se mirent a hurler de joie de me voir. Je la pris alors dans mes bras se situant au niveau de sa poitrine rebondissante et plaçais ma tête au dessus de son cou pour que les fans girls croient a une relation entre elle et moi. Je lui fis alors un suçon dans le coup qu'elle ne serait prête d'oublier avant de ne lui chuchoter mon prénom dans l'oreille. Je refermais donc.la porte sur ces mots et allait retrouver Oga et Beelbo qui devait surement m'attendre depuis le temps... J'ouvrais la porte menant a eux avant de regrimper le mur pour saluer ma camarade de classe Raya, avant de ne finalement rerentrer dans l'eau de cette sources fantastique.
- «Oga... J'ai enfin trouver un défi a notre hauteur draguons toutes les filles des sources chaudes. Et le vainqueur est celui qui en drague le plus ca marche ? Dis-je en me relaxant dans l'eau.
J'attendais alors la réponse de mon ami quand soudain la porte s'ouvris...