J'étais écoeuré, non car elle m'avais vaincu, mais qu'elle portait mes armes. Je lui laissas faire ses briques à braques tout en jouant le rôle de l'otage ou de la cible dans l'affaire. Mais malheureusement, elle cherchas où il ne fallait pas. Elle fouillais mon sac où se trouvais tout mes affaires les plus personnels et cela fut le drame. Je voulut lui en dissuadais mais rien n'y faisait, elle rigolais avec un sourire sadique tout en plaquant le canon d'un de mes armes sur mon front. Je soupiras et dés lors où elle ouvrit la première boucle du sac, je bondit, baïonnette à la main, et lorsque retiras le deuxième, je reprend l'un de mes desert eagle pour le lui coller sur le crane puis je me préparas à lui trancher la gorge au moindre mouvement. Je lui dit discrètement en chuchotant aux oreilles mes mises en gardes:
"Qui que tu soit, je n'hésiterais pas à te laminer, à t'étrangler, à t'éventrer ou encore à te tuer. Alors écoute bien. Pars d'ici sur le champ et oublis le numéro 16."
Je mentais. Je ne voulais pas la tuer, je voulais juste être seul. Je ne suis pas aussi fou que ça au point de la tuer, bien qu'elles m'effrayaient, les filles sont humaines et donc mérite tout le respect pour vivre. Je la libéras et lui fit signe de partir.