Au parc pour l'entrainement quotidien degrandsart

C’était le deuxième jour depuis mon arrivée au pensionnat Kageshiro. Afin de pouvoir m’acheter quelques affaires de base, je n’étais pas allée en cours ce jour-là. En effet, avec cette course effrénée entre la fuite du labo, le départ en avion, le voyage en voiture jusqu’au pensionnat et enfin ma visite à l’infirmerie, je n’avais pas du tout eu le temps de m’acheter les affaires des plus basiques. En arrivant ici, je n’avais sur moi que mes vêtements et un kit de bandage que j’avais acheté à l’aéroport à cause de mes coupures. Coupures qui sont d’ailleurs en bien meilleur état après mon passage à l’infirmerie, une bonne douche et une bonne nuit de sommeil dans ma chambre. Bref, aujourd’hui je me sentais beaucoup mieux, mis à part encore la douleur dans la nuque et mes veines qui sont toujours aussi blanches (cependant indolore). Après avoir demandé à l’accueil de l’établissement, j’étais partie au centre commercial de la ville, munie de tout mon argent liquide. Arrivée là-bas, je m’achetais brosse à dent, dentifrice, gel douche, shampoing… Tout ce qu’il faut pour rester digne, mais aussi du maquillage et de nouveaux vêtements. J’en avais même profité pour m’habiller avec quelques-uns de ces nouveaux vêtements, histoire de me débarrasser de ceux de la veille, qui étaientt plein de sueur. Je me sentais donc assez bien dans ma peau, comparer à ces derniers jours plutôt éprouvants.

J’étais donc habillée d’une chemise rouge et d’un jean bleu délavé avec des bottes de cow-boy en cuir. Par-dessus le chemisier, j’avais mis un tricot noir avec une capuche dont l’intérieur était rembourré de fausse fourrure. Je ne connaissais pas la mode d’ici, mais du moment que pour moi ce n’était pas ce qu’on appelle communément une « faute de goût », cela m’était égal.

Il commençait maintenant à se faire tard et je décidais donc de me prendre une boisson chaude et de la déguster dans un parc non loin de là, que j’avais aperçu en chemin. Je dû m’y prendre à deux fois avant de saisir le gobelet en carton sans me l’écraser dans la main. Mais je ne me brûlais pas car à présent j’étais habituée à ne pas renverser le contenu de ce que j’écrasais sur moi. Vous l’aurez compris, je n’arrivais toujours pas à maîtriser ma force et c’est extrêmement pénible. J’espère qu’il y aura des cours où l’on peut apprendre à se contrôler, dans ce pensionnat… il faut toujours que je fasse très attention pour ouvrir et fermer des portes car la poignée et la porte toute entière ont tendances à me rester entre les doigts… Bref.

Je me dirigeais vers un banc en bois. En chemin, je ne croisais pas grand monde, car il faisait déjà nuit. Au moment où je m’asseyais, un jeune homme passa devant moi en courant et alla vers les barres de traction. Immédiatement, il se mit à en faire et tout en sirotant mon chocolat chaud, j’admirais ses muscles en action. Perdue dans mes pensées, je me disais que ça m’avait toujours fascinée de voir des gens se muscler de la sorte. Moi-même je n’arriverais jamais à faire cela ! Ah… J’ai failli oublier… Maintenant, je le peux. Sauf que je me demande si la barre me resterait dans les mains ou si j’arriverais vraiment à me soulever… Je n’ai pas vraiment essayer de tester ma force, mais je suis quasiment certaine de pouvoir déraciner un arbre sans grand effort…

Sans vraiment me rendre compte que ça faisait un petit moment que je le fixais, nos regards se croisèrent. Je n’eus pas le réflexe de détourner le mien car mon esprit était ailleurs. Quand je m’en rendis compte, l’expression de mon visage changea brusquement et je rougis légèrement. Si je continue de le regarder comme ça, il va penser que je fantasme…

Je bus une dernière gorgée de mon chocolat chaud et jetai le gobelet dans la poubelle à coté du banc. En relevant les yeux, je me rendis compte que le jeune homme me souriait d'un air assez chaleureux. Hum, le sourire c'est souvent le début du contact, j'espère qu'il va pas essayer de me parler... Si je commence à parler à des inconnus que je rencontre la nuit dans des parcs, ça va pas le faire. Je m'étais jurée de faire gaffe et d'être sur mes gardes alors...
Il me fit un signe de la main, puis il se dirigea vers moi. Eh voilà, il manquait plus que ça... Depuis que je suis ici, je tombe toujours dans des situations embarrassantes !
Enfin, il enleva ses écouteurs, s'assit à coté de moi et se présenta. Euuuuuuuuuuuuh ? Je fronçai les sourcils légèrement mais il ne le remarqua pas. Il dit :

-Je suis désolé de vous avoir gêné dans votre promenade quotidienne, mais comme je ne connais pas trop les environs, bhee... J'ai préféré découvrir par moi-même les lieux. Pour m'en excuser je vous invite chez moi ou plutôt dans mon studio...

Venir chez lui ? Mais il est fou celui-là ! Bon. Pas de panique. Si jamais il essaie de me toucher ou de tenter quoi que ce soit, je pense qu'une bonne claque l'enverra à l'autre bout du parc. C'est vrai après tout, je suis invulnérable... Enfin, presque. Et si il était armé ? Je ne pourrai rien faire contre une arme blanche...
Il me coupa dans mes pensées quand il ajouta :

-Enfaite je crois que c'est une chambre, je suis dans un pensionnat surnommé Kageshiro. Se n'est pas très loin d'ici. Je vous aurez bien invité à boire un café mais je n'ai pas mon porte monnaie sur moi et en plus je suis tout en sueur. Si vous le voulez bien sur.

Eh ? Il vient du même endroit que moi... Ca veut donc dire qu'il a un pouvoir, lui aussi. Je me demande ce que c'est...
En plus du fait qu'il veuille que je vienne chez lui, je trouvais bizarre le fait qu'il n'ait pas été étonné de la couleur de mes yeux. Cela était peut-être dû à la pénombre, car les lampadaires n'étaient pas encore allumés. Au moment même où j'y pensai, ils s'allumèrent. Je me senti un peu mieux, un peu moins angoissée... L'inconnu sorti une serviette de son sac pour essuyer sa sueur, puis il se parfuma. Je ne savais pas trop quoi penser de cette scène... Bref, au bout de quelques secondes, je me décidai enfin à lui répondre. Je n'avais pas d'autres choix, il était assit à coté de moi et on allait probablement se croiser dans le bâtiment un jour ou l'autre. Alors, je déclarai :

-Je m'appelle Nina. Moi aussi je viens de Kageshiro. En fait, je suis nouvelle...

J'hésitai un instant. Si je lui dit que moi non plus je ne connais pas les environs, il pourrait en profiter pour m'emmener n'importe où... Non, ça devrait aller. Je connais le chemin du retour, alors si jamais il a une idée derrière la tête, je le saurai. Ainsi, je continuai :

-...moi non plus je ne connais pas trop les environs.

Je regardai ma montre. Il commençait à se faire tard et je n'avais pas envie de rester dans ce parc avec mes sacs de course...

Pendant qu'Evan était en train de lui parler. Elle finissait son chocolat chaud pour à la fin le jeter à la poubelle qui était à sa portée. Nina ne montrais pas vraiment les émotions qu'elle avait en elle, on pouvait juste voir une fille timide qui n'osait pas beaucoup parler à son entourage, mais elle avait l'air d'une fille aussi douce qu'un oiseau dans son nie. Evan n'avait pas vraiment pensé à ce qui l'avait dit, c'est son côté gentleman qui parlait à sa place, il n'avait pas de mauvaise pensé envers cette jolie fille. Au contraire c'était par courtoisie. Les couleurs de ces yeux étaient hypnotisent... Evan réussi à voir ces yeux d'une couleur semblable à celle des violettes, au moment que les lanternes s'alluma et projeta une lumière sur le visage de l'ange qui était assit à côté d'Eve. Nina prit la parole pour s'annoncer.

-Je m'appelle Nina. Moi aussi je viens de Kageshiro. En fait, je suis nouvelle...

Après ces mots elle c'était arrêté de parler, mais on avait l'impression qu'elle voulait dire autre chose... Juste après elle reprit la parole pour dire qu'elle ne connaissait pas les alentours. Evan était resté accrocher sur c'est première paroles, qu'elle venait de la même pension que lui. Degransart ses levait pour commencer la marche pour rentrer au pensionna avec Nina Bogdanov. Evan lui tendait la main pour l'aider à ce lever comme tout gentleman, ils avancèrent vers le chemin lumineux qui donnait sur la sorti du parc. Au moment qu'ils sont sortis du parc, les lumières des magasins étaient éblouissent, on pouvait croire qu'ils étaient en soir du 14 juillet. Les minutes passaient et Evan prit la parole.

""ça fait longtemps que tu es dans ce pensionnat ? Où c'est ta première année ? Je te pose cette question car moi je suis nouveau, je viens de loin, on va dire... mais j'arrête de parler de moi, reste t-on sur toi""

Evan eu un sourire de joie. Il sorti une veste de son sac et dit toujours en marchant.


"" Tien ma veste, tu dois avoir froid avec ce temps même si tu es bien habillé tu dois avoir froid et t'inquiète elle est propre elle vient de mon sac, je l'avais prit pour moi, pour la fin de mon petit sport quotidien. Elle tirait bien en plus. Comme tu vois elle est de couleur rouge Bordeaux avec des lignes noirs et gris sur le côté""

Il restait encore 1 km a peu prêt. Le froid prenait de plus en plus place. Evan sorta son Iphod pour voir voir le GPS par où il devait passer, car il avait oublié par quelle rue il était passé, normalement Evan se faisait toujours ramener par un taxi ou une voituren mais comme il vivait seul avec ces propres moyen, il devait en faire sans.

**Je me sens idiot de ne pas connaitre la direction. Heureusement que je ne lui ai pas dit, de prendre un café... Je serais tombé bien bas dans son estime, en me perdent. Au moins maintenant je sais que je n'ai pas le sens de l'orientation**

Il sourit bêtement sans dire pourquoi.

Après lui avoir enfin parlé, il me tendit la main pour m’aider à me lever. Je ne pensais pas vraiment en avoir besoin pour un si petit effort, mais j’acceptai par politesse. Je pris mes sacs de courses et nous nous mîmes en route vers le pensionnat. Il a pas l’air de savoir où il va… Heureusement que j’ai retenu le chemin. Au bout de quelques minutes, il déclara :

-Ça fait longtemps que tu es dans ce pensionnat ? Où c'est ta première année ? Je te pose cette question car moi je suis nouveau, je viens de loin, on va dire... mais j'arrête de parler de moi, reste t-on sur toi.

Décidément, il ne faisait pas très attention à ce que je lui disais… Je venais pourtant de lui dire que j’étais nouvelle. Je pris cela pour de l’inattention, ou même un moyen pour meubler la conversation. Avant même que je ne puisse répondre, il enchaina en sortant une veste de son sac :

-Tien ma veste, tu dois avoir froid avec ce temps même si tu es bien habillé tu dois avoir froid et t'inquiète elle est propre elle vient de mon sac, je l'avais prit pour moi, pour la fin de mon petit sport quotidien. Elle tirait bien en plus. Comme tu vois elle est de couleur rouge Bordeaux avec des lignes noirs et gris sur le côté.

Je refusai en secouant la tête, sans non plus vouloir être désagréable. Il était un peu trop familier à mon goût… A moins que ce ne soit moi la sauvage… Et puis avec la marche je n'avais pas très froid. Peu importe, au final je n’avais pas envie de me forcer. Finalement, je répondis enfin à la question qu’il m’avait posée :

-Je suis arrivée hier. Donc oui, c’est ma première année ici… Tu sais à quoi ressemblent les cours ? Si c’est un pensionnat pour les personnes comme nous, les cours sont sûrement assez spéciaux.

Cette fois-ci, il sortit son portable de sa poche pour regarder où nous étions. Il me lança un sourire un peu gêné, comme si il se devait absolument de connaître le chemin. Nous n’étions plus très loin et je lui dis :

-Je connais le chemin pour retourner au pensionnat, c’est par là.

Je menai alors le pas et allai à gauche puis tout droit pendant quelques minutes et enfin, nous nous retrouvâmes devant Kageshiro. Je vais enfin pouvoir poser tous mes paquets ! En posant mes sacs par terre, je mis mes mains sur mes hanches et déclarai :

-Voilà. J’ai un assez bon sens de l’orientation en fait, alors même si je ne connais pas très bien les environs, je me retrouve assez facilement !

Il y avait quand même quelque chose que j’avais envie de savoir. Son pouvoir, c’était quoi ? Il n’y a rien dans physique qui me paraisse étrange par rapport au surveillant que j’ai rencontré hier… J’avais bien envie de lui demander même si je ne voulais pas spécialement continuer la conversation. Ainsi je dis :

-Dis-moi, c’est sûrement un peu brusque comme question, et tu n’es pas obligé de répondre mais… si tu es dans ce pensionnat, c’est bien parce que tu as un pouvoir ou quelque chose dans le genre, non ?

Je réalisai soudain que s’il me répondait, il allait sûrement me demander quel était mon pouvoir. Bah, on verra bien…

La marche continuée entre ces deux personnes, après que Evan avait prit la parole, Nina lui répondait avec un commencement douteux...Evan comprit tout de suite pourquoi, il avait déjà entendu cette phrase.

""Je suis arrivée hier. Donc oui, c'est ma première année ici..."" Il fit comme si tout était normal. Elle ajouta.

""Tu sais à quoi ressemblent les cours ? Si c'est un pensionnat pour les personnes comme nous, les cours sont sûrement assez spéciaux.""

Au moment qu'Evan regardait son portable, Nina le regardait avec attention. Elle avait surement comprit, pourquoi il regardait son téléphone... Elle s'arrêta d'un seul coups tout en posant ces sac par terre et elle mit ces mains sur ces hanches en annonçant avec audace !

-Voilà. J'ai un assez bon sens de l'orientation en fait, alors même si je ne connais pas très bien les environs, je me retrouve assez facilement !



Evan prit la pose bizarre , il devenu plus petit , il fronça les sourcils en faisant les yeux carrer, des points d'interrogation de toutes les couleurs était placé autour de sa tête, il n'avait aussi plus de bouche. Après cela il ne savait pas trop quoi ajouter...

**Elle a l'air timide comme ça mais enfaîte elle prend vite la grosse tête... Oua ça fait bizarre de voir ça, venant d'elle. Je devrais peut-être faire un sourire...**

Evan se forcer à faire un sourire amical mais à la place une goutte apparut derrière sa tête.

Spoiler:

On avait l'impression que la jeune femme était en train de scanner Evan pour voir s'il avait un truc différent qui dépassait l'étonnement humain... Evan ne l'avait pas remarquait du tout, il était encore sur le choque de ce qui s'était passer tout à l'heure, Eele reprit la parole pour s'exclamer.

-Dis-moi, c'est sûrement un peu brusque comme question et tu n'es pas obligé de répondre mais... si tu es dans ce pensionnat, c'est bien parce que tu as un pouvoir ou quelque chose dans le genre, non ?

Evan reprit son sérieux et mit sa main devant la bouche et toussa quelques fois à la suite et regarda de l'autre côté en faisant une grimace, un peu comme tout à l'heure mais avec un soupçon de colère et dit sur la défensive.




""eeee... Bhe mon pouvoir, il n'est pas très bien franchement, j'ai l'impression de me vanter quand je le dis donc... Toi d'abord, c'est quoi ton pouvoir? Nina""

**C'est pas que je le prends mal, mais dire mon pouvoir après qu'elle mes vu dans la forêt... Elle va me prendre pour un macho qui pense cas ces muscles surement! J'ai l'impression de faire l'homme qui fait voir sa supériorité de mâle. ça ma déjà coûté beaucoup ces paroles-là!!**

Evan posa cette question sans la regarder, il regardait autour d'elle sans osait la fixer.

-eeee... Bhe mon pouvoir, il n'est pas très bien franchement, j'ai l'impression de me vanter quand je le dis donc... Toi d'abord, c'est quoi ton pouvoir? Nina

Et voilà. Je m'étais encore mise dans de beaux draps. Évidemment qu'il allait me demander quel était mon pouvoir... Pourquoi je n'y ai pas pensé tout de suite ? Je réfléchissais un instant avant de dire quoi que ce soit. D'abord, quel pouvait être l'ampleur des choses si je lui disais ? Peut-être que ça ne ferait rien... je suis arrivée seulement hier et je commence déjà à faire des confidences, voilà mon problème.
De son côté, Evan avait l'air gêné de m'avoir posé cette question. Il fuyait mon regard... Étrange. Bon, après tout qu'est-ce que je risque ? On est dans un pensionnat pour « mutants » alors je pense qu'il y a des gens bien plus spéciaux que moi... Et puis, je n'suis pas obligée de lui raconté tous les détails de ce qu'il m'est arrivé. Juste le résultat. Alors je déclarai :

-J'ai une force destructrice et de ce fait mes os sont solides comme l'acier. Je ne maîtrise pas encore cette force, alors je dois faire attention. Ce … « pouvoir » m'a été donné il y a peu de temps, c'est pour ça. Et donc, quel est le tient ?

Je plongeait mon regard dans le sien pour essayer d'y décerner une peur quelconque ou un sentiment, mais je n'y arrivai pas.
Je levai les yeux au ciel un instant pour regarder les étoiles et me demandai ce que faisaient mon salaud de père et ma mère... Ça ne faisait que deux jours que j'avais quitté mon pays et il me manquait déjà... Il va pourtant falloir que je t'oublie, car je ne te reverrai plus jamais Russie.

thème rp:



Evan et Nina reprirent la route vers le pensionnat. Ils n'étaient plus très loin du pensionnat Kageshiro. Quand Degrandsart retourna la question à Nina, l'atmosphère devenait plus intense. La terreur était apparu dans les yeux de la jeune mademoiselle... Une minute de silence était apparu, Evan comprit tout de suite qu'il avait touché un point sensible de son coeur. Il comprit tout de suite pourquoi, Evan commençait à l'écouter sérieusement.

**Même si elle ne dit rien, je comprends ce qu'elle ressens. Je suis déjà passé par là, mais moi mon pouvoir était totalement contrôlé ou presque... J'avais des amis à qui en parler. Je devrais faire plus attention avant de poser des questions aussi délicate**

-J'ai une force destructrice et de ce fait mes os sont solides comme l'acier. Je ne maîtrise pas encore cette force, alors je dois faire attention. Ce ... « pouvoir » m'a été donné il y a peu de temps, c'est pour ça. Et donc, quel est le tient ?

Evan avait vu que le regard de Nina était plongé dans le sien. Elle attendait une réaction de ça par, il se santait honoré qu'elle lui offre un aussi grand secret. Il était heure qu'une personne avait possédé le même pouvoir que lui ou presque le même. On pouvait voir aux fonds de ces yeux à Nina, il se santait chez lui dans son regard à Nina. Le temps commençait à se figer pour Evan, il ne voyait que Bogdanov. D'un seul coup un visage chaleureux apparut sur son visage du jeune homme. Son regard se fondé dans celle de Nina, Son coeur ralentissait , on pouvait voir la brûlure de l'éclat de ces yeux. Sa respiration devenait lente, on pouvait juste entendre les portes du coeur d'Eve s'ouvrir pour ça bien aimé. Il prit la parole avec une voix douce.

Spoiler:

""Merci de m'avoir fait confiance. j'ai a peu prêt la même nature de pouvoir que toi, je peu augmenté mes capacité physique à n'importe quelle niveaux, jusqu'à la limite de mon corps, c'est pour ça que je m'entraîne toutes les soirées. Pour apprendre à mieux le maîtriser. Je sais pas, si elle est aussi destructive que ton pouvoir, mais je vais t'en faire la démonstration. Prend ma main""

Evan tendit la main à Nina.

Il avait toujours le regard plongé dans celui de Nina.

Quand je sortis de mes pensées, je me rendis compte que ça faisait un moment qu'Evan m'observait... Je fus surprise car il avait un air assez doux. Peut-être que je n'avais pas besoin de me méfier, finalement. Sans vraiment savoir pourquoi, son regard me mis mal-à-l'aise. Pourtant, je ne détournai pas le mien. Je continuai de le fixer. Il dit alors :

-Merci de m'avoir fait confiance. j'ai a peu prêt la même nature de pouvoir que toi, je peu augmenté mes capacité physique à n'importe quelle niveaux, jusqu'à la limite de mon corps, c'est pour ça que je m'entraîne toutes les soirées. Pour apprendre à mieux le maîtriser. Je sais pas, si elle est aussi destructive que ton pouvoir, mais je vais t'en faire la démonstration. Prend ma main.

À peu près le même pouvoir que le mien ? Mais est-il passé par les mêmes épreuves que les miennes... ? La trahison d'un père que j'aimais, l'abandon de ma mère et des gens qui m'étaient proche. Deux semaines enfermée dans une cage à subir des tests et des injections en tous genres... L'opération. L'horrible découverte de ce qu'ils m'avaient fait. Le métal froid dans mon dos. Ma fuite. Tout quitter pour l'inconnu. La douleur psychologique, la souffrance physique. Souffrance qui est là, et qui le restera. Pour toujours. Comment pourrais-je un jour oublier tout cela... ? Les larmes me montaient aux yeux. Depuis que je m'étais enfuie, c'était le seul moment où j'avais repensé à toute cette histoire. Je me retins comme je pus. Je me sentais désespérée et pris alors la main qu'Evan me tendait. Je le regardai dans les yeux et lui souris. Pourquoi ? Je ne le connais pas. Je ne sais pas. Je me sens perdue... Je lui dis :

-D'accord. Montre moi.

thème 1 rp:



Un moment magique était en train de se créer entre Nina et Evan. Les lignes de leur destin était en train de se souder pour former plus qu'un. Le destin d'Evan était entre la main de Nina au moment qu'elle lui posa sa main sur la sienne. Une connexion apparut au moment du toucher entre Eve et Nina. Le jeune homme ressenti le courant de l'histoire de Nina L'envahir, il ressentait sa tristesse, ces peines et ces douleurs au plus profond de lui. En ressentant les émotions de Nina une fusion se gravé dans les lignes de la main de Eve et Nina Pour être marqué ""Dès que je t'ai vu, j'ai su, que tu étais mon élus"". Quand Evan vu qu'elle pleurait un peu, il lui essuya ces larmes avec son doigt délicatement. Eve mit un peu de ses forces dans ses jambes pour se propulser dans l'air avec Nina, il la mit sur son dos. Au moment qu'ils avait dépassé les immeubles on avait l'impression qu'on pouvait attraper la lune . Il se jeta d'immeubles en immeubles en sentant la peau de la jeune fille sur la sienne, sa respiration était douce sur sa nuque. Il ferma les yeux et prit une grande bouffée d'air frais qui rentrait dans ces poumons. Arrivé il sauta aussi le portail qui était fermé à cause de l'heure tardive qu'ils sont rentrés. Ils attirèrent sur le sol du pensionnat pour déposer Nina délicatement.

thème 2 rp:



""Tu as aimé notre petite balade au clair de lune ? Je sais que je ne devrais pas mais""

Evan attrapa Nina dans ces bras et se rapprocher de plus en plus prêt d'elle pour l'embrasser tendrement. Il commençait à devenir rouge, il ferma les yeux. Son rythme cardiaque monté de secondes en secondes. Sa respiration devenu de plus en plus difficile. Il commençait à avoir chaud, il n'osait pas ouvrir les yeux tellement qu'il était gêné par la situation qu'il était. Il attendait une réaction de Nina, mais il n'osait pas ouvrir les popières.

Spoiler:

Apparemment, il avait remarqué que je pleurais et essuya une larme que j'avais laisser échapper de ma paupière. Soudain, il bondit du sol et m'emmena avec lui dans son élan. Je grimpai sur son dos et agrippai comme je pouvais. Avant le bonds, j’eus le réflexe d'attraper mes sacs de course. Heureusement qu'ils n'étaient pas lourds...
à peine avait-il atterrit sur le toit d'un immeuble qu'il fit un autre bond à l'aide de ses jambes puissantes pour nous propulser dans les airs. Un mot. Wouaouh. Le ciel découvert pouvait nous laisser admirer les étoiles. Le vent caressait nos visages et mes cheveux se laissaient emporter dans les airs. Quelle agréable sensation... Je ne me sentais pas très à l'aise sur le dos d'Evan, mais la beauté du paysage me le faisait oublier. Une seconde nous étions sur un toit. Une seconde la hauteur nous offrait une vue magnifique sur la ville. Les lumières. Les étoiles. Je me senti presque libre. Est-ce que moi aussi je pourrai faire ça ? Je promis à moi-même de m'entraîner, car c'était une sensation que je voulais ressentir encore.
Au bout de quelques minutes, nous rejoignîmes les portes du pensionnat. Fermées, évidemment. Mais ce ne fut pas un problème. Evan me posa par terre et me dit :

-Tu as aimé notre petite balade au clair de lune ? Je sais que je ne devrais pas mais

Sans transition, il me prit dans ses bras et approcha son visage du mien. Sur le coup, je ne le repoussai pas, mais je me rendis compte de la situation juste avant qu'il ne pose ses lèvres sur les miennes et le poussa violemment loin de moi. Un peu trop violemment. L'espace d'un instant, j'avais complètement oublié ma force, ainsi je le propulsai à vingt mètre plus loin, où il percuta lourdement un tronc d'arbre. Mais quelle idiote ! Complètement paniquée, je lâchai mes sacs et courus vers lui. Et si je l'avais tué ? Pourquoi est-ce qu'il a fallut qu'on me donne des pouvoirs aussi inutiles ?!
Arrivée vers lui, je m'agenouillai. Sans le toucher. Ses yeux étaient fermés. Impossible. Terreur. Une terreur grandissait en moi. Mes yeux étaient écarquillés. J'attendais qu'il bouge mais il ne bougea pas. En réalité, seulement quelques secondes s'étaient écoulées, mais j'étais tellement effrayée à l'idée qu'il puisse être mort que le temps me paraissait terriblement long. Alors j’attendais...

-S'il-te-plait... Ouvre les yeux...