-L'aura rose au parfum de cerisier: La nouvelle du pensionnat- (PV n'importe quel prof ou élève)

Depuis mon arrivé en ville, les souvenirs s'effacent au fils de mes pas qui ne semble me conduire nulle part. Comment suis-je arrivée ici ? Je ne m'en rappel pas, tout à l'impression de devenir flou, transparent puis qui s'envole au loin s'en que je ne puisse le rattraper. À l'habitude, à force de vouloir me rappeler quelque chose, un mal de tête me pioche à l'intérieur. C'est si horrible, que parfois je me dit qu'oublier définitivement est la meilleure solution. Puis, mes pieds continues de marcher dans un but que je n'arrive pas à déterminer. Je regarde le sol, le trottoirs sale typique des villes. Mes pieds semble marcher seuls comme si je n'avais plus de contrôle sur eux, comme si je ne sentait pas la douleur de ceux-ci à force de marcher et de marcher. On aurait dit qu'ils savaient ou aller ou du moin, ou ils allaient. Puis je lève les yeux, me retrouve face à face avec une porte. De quel établissement, aucune idée, mais l'on ne m'avait pas conduit ici pour rien j'imagine. J'ai à peine vue le paysage changer au fur et à mesure que j'avançais vers cette porte. Ah ! Mais bien sûr ! Voilà pourquoi je m'était rendue ici. Je venais d'être inscrit dans un pensionnat, pour les personnes...un peu spéciales ! Je cogna à la porte. Aucune réponse. Ahh mais quel stupide que je fais, je peux entré sans cogner c'est un établissement publique...

Je passa la porte et entra dans ce qui semblait être le hall du pensionnat, là je pourrais recevoir un peu plus d'information d'où je me trouve et où dois-je aller. L'endroit est assez grand, des lumière accrochées aux murs aux couleurs rustiques qui donnait un air d'ancienneté au lieu. Il y avait un bureau de réceptionniste, en bois, au fond de la pièce, mais il n'y avait personne en arrière. Je marcha lentement vers le bureau d'un pas las et lourd. Une petite sonnette en argent avait été déposée sur le comptoir, je me pencha par-dessus le comptoir pour vérifier qu'il n'y avait définitivement personne, puis appuya sur la petite sonnette. Je regarde à droite et à gauche. Aucune réponse. Je ré-appuya dessus. Toujours rien. Je resta la, planter devant le bureau à attendre une quelconque réponse de la part d'un professeur ou peut-être bien d'un élève. Je regarda de temps en temps à droite puis à gauche, en arrière de moi.

Puis un bruit sourd, comme un claquement de porte puis des pas, attira mon attention. Je fixais dans la direction d'où cela provenait mais sans savoir pour autant ce qu'il s'agissait. Un professeur, un élève peut-être, ou la réceptionniste qui revenait sans doute. Où encore un simple visiteur perdu en ces lieux étrange. Je m'approcha de plus près de la source de se bruit de pas. Il y avait une porte, plus petite cependant que celle de l'entré et faite de bois apparemment. Je mis mon oreille droite sur celle-ci pour mieux entendre...

"AAAAH !!! Cet endroit,c'est rien qu'un labyrinthe ! Ça m'énerve !"

Je me poussa brusquement de la porte en poussant aussi celle-ci afin de me donner de l'élan. Maladroite comme je suis, enfin, façon de parler, pour une mi-elfe, je trébucha et alla m'écraser sur mon derrière en laissant s'échapper un petit cri. Au moment ou je me releva la tête après ma chute, je pu constater que, grâce à la pousser que je m'était donnée, la porte s'était ouverte complètement ! Je me senti très gêner et vraiment stupide... Mais qui avait bien pu lancer un cri pareil au point de me faire sursauter ainsi ? Quoique, c'était assez clair le message, s'était une voix plutôt aiguë donc une fille, qui avait dit, et dur de ne pas avoir entendu, qu'elle ne trouvait pas non plus son chemin à travers se ''labyrinthe'' dit le pensionnat sans doute. La porte restait toujours ouverte tandis que je me leva avec misère. La fille qui avait émit le cri m'avais surement entendu trébucher et tomber lâchement au sol dur et froid du pensionnat. Je ne pouvais pas m'enfuir devant se genre de situation, j'aurais l'air encore plus ignorante ! Je n'aurais qu'à faire un sourire embêté à la fille qui se présenterait dans l'encadrement de la porte pour savoir quel était ce bruit que ma chute avait causée et lui demander des informations de où je doit me rendre pour aller parler à l'administration de l'établissement pour plus amples détails au sujet de mon arrivé... enfin, si elle pouvait m'aider bien sûr. Elle était sans doute aussi perdu que moi j'imagine vu sa réaction de toute à l'heure...

"Euh...salut" dit l'autre fille en fasse de moi, "Tu as entendu comme moi ? Faut être complètement défoncé pour osé crier comme ça dans un établissement publique"

Oui bien sûr...sauf si l'on était un habitué des passages et des couloirs sans-fin qu'était le pensionnat, un simple ramassis de cul-de-sacs, de chemins aussi semblables que celui que l'on à emprunté quelques minutes au par-avant, ce dernier aussi, pareil comme les autres ! Oh et pendant que j'y pense...note à moi-même: quand je parlerais à un membre du personnel, lui demander une carte, un plan, un simple schéma des bons couloir à emprunter et pas un de plus ! ...Sauf les autres un peu plus importants pour bien m'orienter bien entendu. M'enfin, peu-être que la jeune fille en a un sur elle et que je pourrais lui emprunter le temps de rencontrer le personnel... Puis, avec une voix toujours un peu nerveuse et embêter...

'' Oui ! Bonjour, ...dit, tu dois surement être aussi confuse que moi mais... tu ne saurais pas, à peu près, où se trouve le bureau du personnel pas hasard ? '' , dis-je avec un air un peu plus direct.

Discrètement, je regarda vers l'embrasure du cadre de porte pour vérifier si une autre personne ne se trouvait pas dans l'autre pièce. Ceci s'avéra inutile, apparemment, il n'y avait que moi et la fille dont je ne connaissais pas encore le nom. Elle m'était encore inconnue alors, pas besoin de raconter se qui m'avait mené ici dans se cas. D'autant plus que cela ne servirait à rien... sauf si elle pourrait me dire vaguement comment me diriger dans le pensionnat, du moin, à peu près. M'enfin à en conclure qu'il n'y avait personne d'autre se trouvant dans chacune des deux pièces où nous nous trouvions, cela devait probablement être elle qui avait crier cette phrase qui m'avait conduit bêtement au sol, cela dit, nous risquions d'essayer de nous aider mutuellement...j'ai bien dit d'essayer ! Et pour bien le souligner dans mon cas, essayer n'est pas mon fort... mais cependant je trouve toujours le moyen de me sortir des situations ambiguës !