Vive l'été et la chaleur [PV : Yuno]

Invité

Ah...Cette chaleur lors de l'été est vraiment magnifique, on peut ce promener et faire plein de chose comme ce rendre à la plage, ce promener entre amis... Ouais tu parle c'est qu'une saison de merde où on étouffe sous la chaleur et la seule chose qu'on a envie de faire c'est rester vivre dans un congélateur. Comme à son habitude Accelerator était en train de ce plaindre de tout et de rien, sauf que pour une fois c'était pour une bonne raison... En effet il faisais une chaleur a en crevé c'est temps-ci et même dans sa chambre il n'était pas en forme, d'ailleurs c'est vrai qu'il y avais de nouvelle personne dans son dortoir soi-disant parce que les autres qui était avec lui avant n'était jamais la mais pourtant lui ça lui plaisais bien à lui d'être seul. Enfin bref ça le faisais chier de partager sa chambre mais bon c'est pas sa qui allais changer quoi que ce soit au temps donc inutile de penser à des truc encore plus chiant qu'actuellement. Accelerator n'avais pas vraiment envie de sortir mais il y était contraint, non pas qu'il avais du boulot à faire actuellement mais la il faisais tellement chaud que c'était une question de survie pour lui d'acheter quelque chose de frais. Il pris donc son courage à deux mains et sortit en vitesse de sa chambre puis du pensionnat, à peine sortit les rayon du soleil commencer déjà à le faire chier surtout qu'il n'y avais aucun nuage à l'horizon. Notre jeune surveillant était donc partit pour ce taper le soleil dans la tronche pendant tout le trajet. Pendant qu'il avançais il observer de temps en à autre des groupe de personnes qui semblais eux plutôt content du temps qu'il faisais, eux était en train de sourire comme par permis alors que notre chère surveillant avais une gueule d'enterrement, d'ailleurs eux avais eut la bonne idée d'amener des lunettes de soleil, chose que Accelerator n'avais pas malheureusement, de toute manière il n'aimais pas en porter et surtout sa ne lui allais vraiment pas....Mais au moins on fermais pas les yeux à chaque regard dirigé vers ce foutu ciel. Il arriva enfin près de la ville la plus proche du pensionnat mais ce n'était pas terminer pour autant, il fallait qu'il retrouve ce magasin et il ne savais plus vraiment où il était...Et puis Accelerator n'avais vraiment pas envie de demander à quelqu'un juste par fierté mais bon, si il ne trouvais toujours pas il ce résignerais à le faire. Pour le moment il allait déjà ce diriger vers des rues qu'il connaissait déjà et puis comme sa les batiment au alentour pourrait lui faire de l'ombre.

Invité

Do you want a coke ?

Les cliquetis de ta montre résonnent dans cette chambre confinée, où la chaleur t’étouffes et te donnes la nausée. L’été. La saison qui te fait grimacer rien qu’à entendre son nom. La chaleur insupportable de la journée qui te fait suer et te rends malade, ou celle du soir, qui te plonges dans des nuits d’insomnies et prend ses marques violacés sous tes yeux. Ton profond dégoût de cette sauvage lumière qui t’obliges à plisser des yeux et te brûle la peau sans pitié. Elle te fait pâlir, contrairement aux autres, qui prennent des couleurs et sont en joie à la vue de ces rayons.
Toi, qui t’enfermes entre ces quatre murs et qui perds ton temps, allongé sur ton lit en priant que la fraîcheur de ton ventilateur revienne dès qu’il te perd de vue l’espace d’une seconde. Toi, qui profites de ce temps libre en te plongeant dans l’ennui que les jeux de ton portable n’arrivent pas à combler, trop chaud pour réfléchir, trop chaud pour sortir, trop chaud pour avoir la force d’ouvrir les volets et de contempler un peu le ciel, les nuages, et leurs attribuer des formes comme tu le faisais étant petite. Tu te forces à tourner la tête et remarque un bon nombre de canettes qui traînent au sol, elles qui représentaient ton stock de survie contre le soleil. Tu soupires, ce soupir même te donne l’impression d’y laisser tes dernières forces, rien que pour expirer de l’air. Tu te lèves, lasse, comme si tu effectuais un effort surhumain, comme si cette lourde atmosphère te drainait ton énergie. Tu attrapes tes fringues négligemment étalés sur le sol, tu les enfiles rapidement et t’ébouriffes les cheveux pour paraître moins zombifique.
C’est avec une faible réjouissance que tu passes la porte de ta chambre et sors du pensionnat. Il faut croire que tu es un tantinet maso’ , les mains dans les poches de ton gilet, tu ne prends même pas la peine d’en remonter les manches. Un faible regret te traverse l’esprit en pensant à ton slim qui te colle désagréablement aux jambes, mais c’est ainsi, car tu détestes porter des vêtements courts. Tout en valsant entre les passants, tu continues de jouer à ces jeux ridicules sur ton petit bijou technologique, les rires perçants des filles de ton âge semblent loin, autant que leurs conversations inintéressantes et leurs manières de je-me-la-pète, exactement le genre à te faire grincer des dents et c’est bien pour ça que tu les évites.
Absorbé par ton jeu, tu ne sais plus vraiment où tu vas ou si tu te trouves sur le bon chemin, les pièces se trouvant dans ta poche s’entrechoquèrent, et sans faire attention, tu as le sentiment d’avoir bousculé quelqu’un, ou de t’être fais bousculé, au choix. Agacée d’avoir perdu ta partie, tu lèves la tête pour agresser le civil en question d’insultes. Tu ouvres la bouche, mais aucun son n’en sort, qu’est-ce qui te retiens déjà ? Ah oui. Ce mec aux cheveux blancs, c’est un de tes surveillants. Tu te contentes de serrer le poing, mais au final, il n’y est pour rien. D’ailleurs, le voir ici te surprends un peu, mais ce n’est pas pour autant que tu lui demanderais ce qu’il fait ici ou quelque chose comme ça. A la place, tu te dis que l’emporter avec toi pour ne pas avoir à supporter cette chaleur étouffante en solitaire serait une bonne idée. Tu appliques donc cette idée en lançant ;
-Oh, et si Mr. Le-surveillant m’accompagnait jusqu’au magasin pour acheter quelques canettes ?
On va dire que c’est t’as façon de saluer les gens.

Invité

En plus d'avoir ce foutu monde qui ce promenais un peu partout Accelerator devais aussi faire face à cette étouffante chaleur. Et ouais malgré l'ombre que les bâtiments pouvais lui faire la chaleur ne disparaissais pas pour autant, au moins le soleil ne lui taper plus à la gueule. Mais le pire dans tout cela c'est qu'il n'y avais pas la moindre brise de vent. En plus d'être d'une chaleur criminelle, cet été était humide et ça, ça rendait le tout invivable. Pourtant il y avais un paquet de personnes qui était dehors, Accelerator pensais qu'il n'y aurais pas la moindre parcelle de vie au alentour à cause de cet chaleur mais étrangement non...Ou peut-être qu'il avait eu la même idée que lui à savoir ce ravitaillé pour espérer supporter ce temps qui avais le don de l'agacer. Heureusement pour lui, Accelerator n'est as quelqu'un qui transpire beaucoup et d'un coté c'est tant mieux parce que c'est vraiment une sensation désagréable que d'avoir nos habits qui nous collent à la peau. Mais d'un autre coté c'est aussi un bête qu'il ne transpira pas car la sueur permettait de refroidir le corps humain pour éviter que la température du corps ne dépasse un certain seuil, enfin bref il continuait toujours son chemin qui il faut le dire était assez étroit. Sur le chemin ce dressaient parfois quelques maisons et logements et donc parfois on pouvais voir des outils, des mobylette, des vélo et encore plein d'autre choses qui trainaient, cela rendait donc la rue encore plus serré et la chaleur ce faisais encore plus écrasante. Accelerator ne ce gêné pas vraiment, si quelque chose ce trouvais en face de lui au lieu de contourner comme le ferais surement une personne normal lui le repoussait violemment et ceux quelque que soit l'objet, enfin il éviter quand même de repousser les personnes parce qu'il les aurait blesser inutilement...C'était d'ailleurs assez étrange comme façon de faire mais c'était comme sa que marchait Accelerator. En plus d'être assez grincheux il a une humeur très variable et donc si aujourd'hui il ne blesse personne sa aurais très bien pu ne pas être le cas hier ou lun autre jour. Au moins c'était pas des gens du pensionnat parce qu'il n'en pouvais plus d'en voir ceux la, c'est fout ce qu'il sont emmerdant à vouloir jouer au plus fort alors qu'ils ne sont même pas capable de maîtriser leur foutu pouvoir correctement... Sa avais été le cas pour Accelerator, mais lui c'était vraiment plus jeune et au pire c'était pas très grave puisque maitrisé sont pouvoir lui permettait seulement de pouvoir l'annuler quand bon lui sembler et sa c'est pas quelque chose qu'il fait souvent, généralement il le fais quand une putain de personne qui a les yeux fixé sur sa console de jeu ne regarde pas devant elle ! Parce que c'était exactement ce qui venais de se passer, il ne l'avais remarquais que très tardivement alors la seule chose qu'il pu au moins faire c'est annuler son pouvoir. Dans le pire des cas c'est os se serais plié en deux et dans le meilleur elle se serais fais repousser violemment mais la il avais réussi à l'annuler à temps et il c'était un peu décalé pour ne pas percuter cette foutu personne de plein fouet, chose qu'il n'aurait pas vraiment appréciais. Et d'un coup il reconnu cette personne, oh non pas une personne du pensionnat...C'était vraiment la seule chose qu'il n'avait pas envie de croiser aujourd'hui, faut croire que la chance n'était pas de son coté pour aujourd'hui. C'était une élève qu'il avais rencontré par hasard alors qu'elle venais d'arriver au pensionnat, Yu...Ah voila ! Gasai Yuno ou une connerie du genre elle l'avais reconnu d'ailleurs mais ne semblais pas vraiment s'être souvenu du nom de notre surveillant.

-Oh, et si Mr. Le-surveillant m’accompagnait jusqu’au magasin pour acheter quelques canettes ?

C'était vraiment une demande très étrange, quand on percute quelqu'un généralement on s'excuse, ajoutons à cela qu'il est surveillant et qu'elle la reconnu, lui proposer en à peine une phrase de l'accompagner dans un magasin était pour le moins bizarre. Enfin c'est pas grave puisque c'était sa destination et qu'il ne savait pas vraiment où était le magasin à cause du monde et de la rue qu'il avais empruntait, donc il décida de lui répondre un peu près de la même façon qu'elle, excepté que lui savais encore comment elle s'appeller.

-Hm... Ouais si tu veut Yuno

C'était encore une fois au goût d'Accelerator une conversation très étrange parce sa donnais l'impression qu'il ce connaissais depuis un long moment et qu'il ce voyait tout les jours alors que pas du tout.

Invité

Let's go shopping ♫

Ici, tu n’as pas à être la douce et attentionnée Yuno. Ici, tu n’as pas à afficher constamment un rayonnant sourire, ni besoin de servir les autres ou d’accepter volontiers d’aller quelque part avec eux, surtout si les seuls endroits où on t’emmène sont les karaokés ou les petits magasins de sucreries et de glaces. Des endroits ennuyants quoi. Lorsque que tu t’échappes du pensionnat, une toute autre personnalité fait surface, on te découvre comme étant nonchalante, peu abordable et quelque peu négligé. Il suffit de jeter un coup d’œil sur ta crinière rose et tes vêtements froissés pour s’en apercevoir. La façon dont tu fronces les sourcils montre que tu t’irrites facilement, mais ça, c’est de la faute du soleil. Ce foutu soleil qui te tue sans que tu crèves, une sensation plus que désagréable. Tu tournes rapidement la tête à droite et à gauche, mais les seuls coins d’ombres que tu remarques sont déjà pris. Le cracha des moteurs mélangés aux pas lourds des gens t’irrite, voilà pourquoi tu n’aimes pas sortir, tout simplement parce que tu n’aimes pas les gens. Tu leur trouves toujours un défaut en sachant parfaitement que tu n’es pas un exemple non plus, tu ne peux pas t’empêcher d’avoir une boule invisible qui te reste dans la gorge quand tu sors. Tu avais pressé le pas en espérant venir chercher ce que tu veux et repartir aussitôt, mais il faut croire que la chance n’est jamais de ton côté puisque tu es tombé nez à nez avec ce gars. D’un côté te parvenait un bruit sourd, comme si quelque chose était tombé, puis un grognement typique du boucher à la grosse bedaine et aux joues rosées, chassant un pauvre animal venu chercher de quoi se ravitailler dans ses poubelles. De l’autre, des adolescents comme des adultes parlant chacun de leurs intérêts respectifs. Tu caches ta grimace en baissant la tête et marmonnent quelques injures. Oui vraiment, tu détestes la rue et son aspect, mais au moins tu sais qu’il y a peu d’élèves du pensionnat qui vienne perdre leur temps ici, dans les rues, simplement parce qu’ils préfèrent le centre-ville, les grandes boutiques et les salles d’arcades, tout ce qui est sensible d’intéresser les jeunes, en fait. Tu te pinces, parce que tu trouves que tu radotes comme une vieille qui a tout vécue et tout vue de la vie. Ta haine envers les autres est peut-être dû au fait que toi, il t’es strictement impossible de rire et de traîner en ville avec tes camarades aussi facilement, pas parce que les passe-temps des gens de ton âge ne t’intéresses pas, mais parce que quoi que tu fasses, tu t’en lasses et ne trouve pas une grande utilité à tout ça. Tu sors de tes pensées et te souviens enfin qu’une personne se trouve en face de toi, l’ayant complètement oublié, même si tu lui avais proposé de t’accompagner au magasin. Peut-être qu’il te prenait pour une attardée avec les mimiques bizarres que tu as pu faire, mais tu t’en fiches pas mal.
-Hm... Ouais si tu veut Yuno
En réalité, tu l’écoutais à moitié, mais il te semblait avoir entendu qu’il était d’accord. D’ailleurs, il se souvenait encore de ton prénom, chose pour laquelle tu n’es pas très douée. Tu le regarde un long moment. Pas pour l’admirer, hn. Tu le fixes simplement parce que l’espace de quelques secondes, tu avais oublié ta question. Et puis tu souris, tu fermes ton portable et ouvre la marche d’un pas calme et moins speed. Un sourire en coin se dessine sur ton visage avant de disparaître aussitôt.
-C’est la réponse que j’attendais.
Oui, tu es pathétique, Yuno.

Invité

Elle est bizarre cette fille n'empêche... Est-ce qu'elle se teint les cheveux où elle a trébuché dans un pot de peinture ? Il l'avait déjà remarqué la dernière fois mais n'y avais pas prêter vraiment attention plus que ça, tout simplement parce qu'il n'en avait rien à foutre. Accelerator n'était pas quelqu'un qui faisait attention au physique comme certain, en même temps personne ne l'intéressait et il n'étais proche de personne ici donc pas besoin de faire attention à quelqu'un ici. Cette-fois il avait fait l'effort de le faire c'était seulement parce qu'elle avait fait exactement pareil, à savoir le fixer longuement pour une raison qui lui était encore obscure et d'ailleurs c'était quelque chose qu'il détestait que les gens fassent que sa soit pour le dévisager ou quoi que ce soit d'autre, enfin bon c'était certes une couleur de cheveux bizarres mais étrangement ça lui allait plutôt bien à cette fille, tant mieux pour elle. De plus elle ne devait pas connaitre notre chère surveillant pour oser lui parler comme si de rien n'était, normalement quelqu'un qui le connait un minimum fuirait sans même lui adresser la parole , mais elle était encore nouvelle ici alors ça pouvait encore se comprendre. Par contre qu'elle oublie si vite son prénom ou plutôt son surnom c'était quelque chose qu'il n'appréciait pas trop, surtout que c'était pas commun alors bon... En tout cas il ne fallait pas comptait sur lui pour lui redire, elle n'avait qu'a s'en souvenir comme une grande et il avait espérait qu'elle s'en souvienne une fois qu'il lui aurais montré que lui s'en souvient du sien, mais visiblement non, a la place elle lui répondit quelque chose d'étrange.

-C’est la réponse que j’attendais.

Alors, soit elle se cherchais seulement un pigeon pour l'accompagner, soit elle voulait vraiment qu'Accelerator l'accompagne ou soit elle ne savait même pas ce qu'elle disait, au choix Accelerator aurait pris la 3ème réponse. Et puis elle foutait quoi au juste avec son téléphone? Si c'est juste pour lui servir de bouche-trou il pouvait se casser aussitôt, mais par contre elle en payerais le prix fort pfff... Déjà qu'il était très bien tout seul. Et même s'il n'était pas très bon pour connaitre ce que les gens pensent une chose l'avait dérangé auparavant, il s'arrêta un instant le temps de parler et ce remit aussitôt à marcher ensuite.

-Hum tu sais, pas la peine de sourire si t'en a pas envie, j'ai l'impression que tu te force alors au lieu de te forcer fais le quand t'en a vraiment envie, d'ailleurs te force pas à rester avec moi si ta pas vraiment envie que je vienne honnêtement moi c'est rapide, je me casse de mon côté et toi du tiens mais je peut me tromper, enfin bon j'en est rien à foutre hein tu fais absolument ce que tu veut.

La dernière partie de la phrase était complètement dispensable mais à l'oreille de notre surveillant cela aurait sonné un peu trop gentil, parce qu'en toute honnêteté il n'avais pas dis sa par méchanceté ou quoi que ce soit d'autre qui pourrais paraitre négatif, il avais dis sa pour elle, après libre à elle de penser ce qu'elle veut. Puis sa ce trouve il était complètement dans l'erreur surtout qu'il ne la connaissait pas encore. En tout cas lui depuis le début de la conversation, depuis le début de sa rencontre avec elle et même bien avant son regard ainsi que son expression n'avait pas changer d'un poil, il avait toujours un visage neutre mais même avec sa on avais parfois l'impression qu'il tirait la gueule, c'était pas quelqu'un de très expressif en temps normal mais lorsqu'il était engagé dans un combat la c'était complètement différent, si sa ce trouve elle le prenait pour un dépressif ou quelqu'un de blasé de la vie mais pas vraiment non et puis il s'en fichait pas mal de ce que les autres pensaient donc bon.

Invité

Just another girl that wants to rule the world

Lève la tête, et demandes-toi ce que tu fiches ici, pourquoi est-ce que tu marches, pourquoi est-ce que tu veux étancher ta soif, pourquoi tu respires, ou pourquoi tu vis tout simplement. Tu ne sais pas, tu agis comme un robot, parce que c’est normal que tu veuilles boire quand tu as soif, normal. Mais pourquoi l’as-tu emmené avec toi d’abord ? Toi qui d’habitude déteste ce sentiment d’être à côté de quelqu’un, de lui parler de tout et de rien, comme n’importe qui. Merde, la chaleur tapes vraiment fort sur ta pauvre cervelle. T’as toujours besoin de te sentir plus supérieur à autrui, toujours besoin d’avoir raison et tout ce qui sort de ta bouche sont les sales mots enfermés dans le venin que tu craches. On te déteste et tu déteste le monde. Que rêver de mieux ?
Malgré ça, tu as voulus qu’il t’accompagne. Tu aurais pu demander à n’importe qui d’autres, une personne sans importance et ensuite, tu l’aurais obligé à payer en le laissant à la caisse, sûrement. Mais lui, il n’était pas ‘sans importance’, tu ne sais pas pourquoi, mais d’habituel tu aurais tracé ta route après l’avoir insulté pour t’avoir bousculé. Mais tu ne l’as pas fait.
-Hum tu sais, pas la peine de sourire si t'en a pas envie, j'ai l'impression que tu te force alors au lieu de te forcer fais le quand t'en a vraiment envie, d'ailleurs te force pas à rester avec moi si ta pas vraiment envie que je vienne honnêtement moi c'est rapide, je me casse de mon côté et toi du tiens mais je peut me tromper, enfin bon j'en est rien à foutre hein tu fais absolument ce que tu veut.
Tu caches maladroitement un rire qui ressemble plus à un gloussement. Non, tu ne te moques pas de lui, mais tu le trouves amusant. Tu as plutôt l’impression qu’il s’embrouille tout seul dans ses mots, peut-être qu’il croit que tu cherches les embrouilles, ou quelque chose dans le genre. En fait, tu sais pas trop, puisque qu’il ne montre pas plus que ça son ressenti.
-Doucement. Tu trouves pas qu’il y a un peu trop de ‘forcer’ dans ta phrase ?
Tu ignores complètement le reste de son petit dialogue, parce qu’il ne faut pas parler de chose dont on a pas envie de parler, tout de même, tu tournes vaguement la tête pour l’avoir dans ton champ de vision.
-Si je ne dis pas que ta présence me dérange, ça veut dire que tu peux m’accompagner,’ right ?
Tu t’enfonces et t’enchaîne toi-même à la pourriture que tu es. Tu ne cherches pas les ennuis, tu dis simplement ce que tu penses. Est-ce mal ? Faudrait-il qu'on te compte la langue et qu'on te réduise au silence à jamais ? Est-ce ta faute si tu ne peux pas t'empêcher de faire pleurer des pauvres gamins qui se voilent eux-même d'une personne qu'ils ne sont pas ? Les fous possèdent la raison, et ça tombe bien, tu es folle.
Ah, au fait, son nom, tu le sais depuis le début, tu le sais mais tu ne veux pas admettre le savoir.
Accelerator.

» Roses rouges [Pv Yuno]
» Un peu de chaleur
» Vive le soleil!!!!!
» Vive les Vacs'
» Vive la rentrée