Racompagnement d'une princesse dans ses quartiers... {Maywen, pas pour les petits}

Ne disant rien, je pris ses lèvres entre les miennes jouant avec sa langue et l'entrainant dans la chambre, je le vis fermer la porte d'un coup de pied, je mis fin à notre baiser et tourna les clés pour nous enfermer. Je ne pouvais pas lui dire je t'aime pas maintenant, mais je l'aimais.

Je le poussais sur le lit pour me mettre sur lui tout en enlevant mon haut, je tendis ma main pour éteindre la lampe, seuls éclairés par la pénombre, nos nuit fut magique.

Il était le premier à qui je m'offrais depuis la mort d'Henry, le premier dont les baisers me faisaient frissonner, le premier dont les caresses me faisaient frémir.

Sous ses mains j'avais été heureuse, je m'étais sentit femme. Je savais qu'on avait cinq ans d'écart, mais quand on fit l'amour cette nuit là, je l'oublia totalement.

Et puis à la manière dont il s'occupa de moi se soir là, il paraissait plus vieux que son âge, comment ne pas croire que ça faisait une centaine d'année qu'il vivait ?

Durant notre acte, je me souviens lui avoir murmurer un tendre je t'aime au creux de l'oreille, avant de me laisser emporter pas un tourbillon de plaisir... un plaisir infini qu'il me procurait à chaque baiser, chaque caresse, chaque va et vient.... plaisir que j'essayais de lui rendre... je mettais attardée sur son intimité, je jouais avec ma langue, je parcourais sa peau...

Je me souviens de notre instant de délivrance, de son corps tombant sur le mien, nos souffles haletants, se baiser d'amour qu'il me donna comme pour me dire "je t'aime" sans mots.

Il était allongé assoupi contre moi, sa tête posée dans le creux de mon coup, nos corps nus l'un contre l'autre, ma tête était posée sur la sienne, et je caressais doucement son dos en repensant à ce qu'on venait de vivre.

- Je t'aime aussi Zéro, lui murmurais je doucement tout en lui déposant un baiser léger sur son front.

Elle ne me répondit pas, tout ce qu'elle fit c'est m'entraîner dans la chambre d'une manière que je trouvais agréable : elle me tira à l'intérieur de la chambre tout en m'embrassant. Et cette fois-ci ce n'était pas que les lèvres qui jouaient mais nos langues.

Puis, elle prit soin de fermer la porte à double tour avant de me pousser sur le lit. J'aimais de plus en plus la tournure des événements. Elle se mit sur moi et enleva son haut sans prévenir. Je fus paralisé de plaisir et mon corps trembla sur le coup en voyant son soutien-gorge ainsi que son superbe nombril. Mais je ne pus voir ça longtemps car elle éteignit la lampe. Heureusement, au bout de quelques secondes mes yeux s'adaptèrent à l'obscurité et je voyais de nouveau.

Apèrs ça, tout se passa si vite. Les carresses, les baisers, les habits qui volaient au bout de la pièce... Je crus entendre un "je t'aime" mais je n'en étais pas sûr à cause de tout les bruits parasites qu'on fesait...

Tout se finit comme cela avait commencé : ça avait commencé par un baiser et ce fut un baiser qui y mit fin.

Tout ça m'avait épuisé. J'étais fatigué mais aussi très heureux. Maywen est la première femme à m'avoir procuré autant de bonheur et de plaisir. On était couché l'un contre l'autre et je l'entendis me dire qu'elle m'aimait. Maintenant j'en étais sûr. Je voulais l'embrasser pour lui montrer ma joie ou lui dire quelque chose mais j'étais à bout de force. Je n'avais pas dormi de la nuit, tout comme elle. Mes yeux se fermèrent doucement et je m'endormis à côté de la plus belle créature du monde.

Cette nuit-là était la plus belle de ma vie. J'étais resté contre Maywen tout le temps. Etre blotti contre elle était une sensation agréable.

Elle se leva avec le draps du lit et regarda par la fenêtre. Moi je restais couché sur le lit, les yeux fermés en train de me reposer.

Maywen ouvrit la fenêtre, laissant de l'air fraix entrer dans la pièce ainsi que de nombreux bruits qui me réveillèrent. J'ouvris lentement mes yeux et remarquai que j'étais dans la chambre de la surveillante. Je n'avais donc pas rêvé, j'ai bien passé la nuit avec elle.

Je me suis levé et m'avançais vers elle, j'étais derrière elle. Mes mains passèrent devant elle et se placèrent au niveau de son nombril, au-dessus du draps. Moi j'étais nu et c'était elle qui empêchaient les personnes de dehors de me voir. Je déposai un baiser donc son cou avant de la faire tourner doucement vers moi à l'aide de mes bras et de l'embrasser cette fois-ci sur ses lèvres. Mes mains étaient maintenant derrière son dos mais toujours au-dessus du draps.

Je vis Maywen rougir et je souris en la voyant ainsi. Elle était encore plus belle quand elle était rouge.

Elle enleva le draps en se dirigeant vers la douche, me laissant voir son corps sublime. C'était à mon tour de rougir légérement.

Je la suivis jusque dans la douche et la rejoignis. L'eau nous tombait dessus. Après une bonne nuit, une douche ne pouvait faire que du bien.

Je me collais à Maywen et je lui chuchotais à l'orreille.

" Je t'aime mon trésor... merci pour cette belle nuit. "


[Désolé pour le petit post mais mon estomac est vide donc je n'arrive pas à faire mieux.]

Forte de se doux moment passé avec lui, ma seule réponse fut un baiser enflammé, passionné, qui aurait pu nous relancer dans nos jeu de séduction fusionnelle, mais je me devais de rester sage et d'aller travailler.

J'en profita tout de même pour redécouvrir son corps et le couvrir de baiser et de caresse, je ne savais pas ce qui m'attirait tant en lui pourtant je l'étais et quoi qu'on en dise je tombais éperdument amoureuse de lui.

Cependant, et même si je me sentais bien dans les bras de Zéro, il y avait tout de même un soucis entre nous, mes 21 ans face à ses 16 n'étaient pas un bon signe, quoi qu'il en dise, ça allait tout de même nous compliquer la vie, et pire si le directeur l'apprenait. La peur au ventre, je mis fin à notre baiser et sortit de la douche pour me sécher, secouant ma queue dans tout les sens, je mis un draps de bain autour de ma taille, et en prit un autre pour ma crinière, j'en posa un dernier sur le lavabo pour que Zéro puisse le prendre quand il aurait finit.

Je mis une robe blanche, m'arrivant aux genoux, et des cuissardes dans les même tons, aujourd'hui, je n'avais pas envie de porter le noir endeuillé, même si mon coeur se sentait mal, je n'avais pas envie de l'inquiéter avec mes tourments, je voulais qu'il se sente bien, même si je me disais que dans peu de temps on devrait se séparer...

- Je dois aller travailler, et toi tu dois aller en cour, dis je en le regardant sortir de la douche. On ne doit rien laisser paraître, personne ne dois savoir que tu as passé la nuit ici, si tu as une petit amie... ma gorge se noua en prononçant ses mots... Si tu as une petite amie, rejoint là et fait comme si je n'avais pas existé.

Maywen m'embrassa et mit elle-même fin à ce baiser et elle sortit de la douche tout de suite après. J'avais l'impression que quelque chose tourmentait ses pensées mais je n'arrivais pas à savoir quoi.

Je finis de me doucher avant de sortir de la douche, une question me brûlant les lèvres. Je pris la serviette et je la mis autour de mon corps de façon qu'elle ne tombe pas.

Dès que j'arrivai dans la chambre, elle s'adressa à moi. Je ne lui répondis pas tout de suite et m'approchai d'abord d'elle. Je la pris dans mes bras et lui murmurra à l'orreille.

" Je n'ai pas de petite amie... c'est toi que j'aime... "

Puis, je ne pouvais plus me retenir, je devais poser cette question. Je me mis en face d'elle, regardant ses beux yeux et je lui demanda d'une voix douce.

" Qu'est-ce qui te tracasse ? Tu n'as pas l'air en forme depuis tout à l'heure. J'ai fait quelque chose de mal ? "

J'étais juste devant Maywen. Mon regard était plongé dans le sien. Mes mains étaient posées chaqu'une sur l'un de ses bras. Mon visage montrait que je voulais une réponse à ma question. Je voulais à tout prix savoir ce qui n'allait pas. Je souhaite son bonheur et je n'aimais pas la voir ainsi. Bien qu'elle tentait de le cacher, j'avais bien remarqué que son comportement changeait de temps en temps.

Me mordant les lèvres, je m'éloignais de lui, prenant mes affaires, resserrant les lanières de mes bottes, je pris mon sac et me pencha vers la fenêtre, regardant les habits de zéro sur la chaise, je regardais les internes dehors.

- Tu ferais mieux de t'habiller et de partir Zéro, il est encore tôt, personne ne te verra.

Il ne bougeait pas me regardant fixement, je pris ses affaires et les mit contre lui, sentant les larmes monter, je me repris et le fixa.

- Cette nuit... c'était super... mais c'était une erreur, j'ai 21 ans, toi 16... quand ça se saura, je serais virée, je n'ai plus de famille nul part ou aller. Notre couple est voué à l'échec alors... je pris une profonde inspiration. Alors ne rend pas tout plus difficile, habille toi, part et ne te retourne pas.