Une dernier instant de nostalgie... avant que le futur n'enterre le passé...

Le voyage en avion fût long et éprouvant, la récupération des bagages, une simple valise et un sac à dos, ce passa sans problème, à la sortie de l'aéroport Maverik sortit le plan de la ville qu'il avait imprimé auparavant, il chercha longuement la route à prendre à cause de son mauvais sens de l'orientation.
N'ayant par ailleurs une guère meilleur notion de la distance il parti à pied plutôt que d'appeler un taxi, cela lui aura au moins permis d'apprécier le paysage tout au long de sa marche.
Environ à mi-chemin Il reçu un message sur son portable .

"Bonjour,
si je ne me suis pas trompé dans le décalage horaire le soleil vient à peine de se lever là où tu es, je me trompe?
Je tenais à te dire que j'aurais aimer te voir devenir un homme de mes propres yeux, mais je t'ai déjà vu grandir, c'est déjà beaucoup. Ton propre père, mais surtout ta défunte mère, n'ont pas eu cette chance. Et cet... incident regrettable qui te force à nous quitter... j'espère sincèrement que tu n'en souffre pas trop et que tu pourra mètre ça de coté et continuer à vivre normalement au japon.
votre ancien majordome et ami. Arthur."

Il fût bien difficile, même pour Maverik, de retenir ses larmes,il s'assit sur un banc pour répondre.

"Arthur, le levé de soleil est magnifique, je ne vous oublie pas, je ne pourrais jamais même si j'en avait l'envie!
Mais dîtes-moi... douteriez vous du fait que je soit déjà un homme? sans doute me direz vous que je suis encore jeune et que je ne doit pas m'emballer, mais je me sens prêt pour cette nouvelle vie, et de toute façon, je n'ai pas le choix.
sur ce, je vous souhaite une bel vie en Allemagne avec votre famille, espérant peut-être vous revoir un jour. Portez-vous bien. "

un réponse courte, presque classique, mais qu'il tenais à faire, c'était le moins qu'il pouvait faire, pour l'homme qui lui avait tout appris. Celui qui écoutais ses pleures et partageait ses joies.

Puis il repris la route pour le pensionnat, après une bonne heure de marche encore, bien entendu en ayant réaliser que la distance entre l'aéroport et le pensionnat était plus conséquente qu'il le ne pensait.
Enfin arrivé devant le pensionnat il sortit son portable et envoya un dernier message avant de l'éteindre et de traversé la cours.
"Salut Aleska, je suis arrivé, c'est plutôt grand mais je pense que je ne me perdrais pas, efin pas trop souvent, j'espère que tu t'en sort dans ton nouveau lycée.à une prochaine fois j'espère
Mav."

Il entra donc dans le hall, retira son chapeau, avança jusqu'à un banc, posa sa valise et son sac à doc avant de s'assoir pour chercher dans son sac une bouteille d'eau et les quelques divers papiers administratif. Puis il pensa:
"donc là, si j'ai tout compris j'attends qu'on vienne me chercher... super..."
Il donc sortit un livre en attendant