Une jeune femme un peu perdue

J'étais un jeune surveillant dynamique est sans trop de problèmes. Un modèle parfais pour tout les élèves qui m'admiraient aux quatre coins du pensionnat. J'avais aussi des tonnes et des tonnes de groupies qui me poursuivaient avec joie tout en clamant mon nom. Tout le monde voulais juste me toucher, entendre le son de ma voie et et et....

-AU SECOURS!!!!!!

Je me mit à pousser ce grand cri avant de reprendre mes esprits. C'étais juste un simple cauchemar et non pas autre chose. Je regardais par la fenêtre et je vis que c'étais le jour. Bon sang cela m'avais pas réussit de ne pas avoir dormis de la nuit, les traques nocturnes n'était pas vraiment une bonne chose dans ma profession de surveillant mais bon le pensionnat étais infester que de cela, tels des fourmis répondant aux ordre d'une grande reine. Bon sang je ne supportais vraiment pas cet image de ce métier que j'effectuer seulement pour pouvoir tuer un ou deux pensionnaires sur le chemin. Je me mis donc à me préparer, enfilant les mêmes vêtements habituels pour aller me promener. J'étais en réalité reconnus certes, mais uniquement par peur. J'étais "le méchant bel" la méchante personne à qui il ne fallait pas parler. Il fallait juste tracer sa route, baisser la tête et ne rien tenter sous peine de se prendre un couteau dans le corps et se retrouver direction infirmerie ou morgue.

Enfin bon pour l'instant je ne me pensais pas du tout aux conséquences que cela pouvais apporter puisque jusque la personne ne causais des ennuis à la Varia et c'étais après tout normal vu que l'on effectuais le sale boulot à la place des autres. Après m'être habiller je me dirigeas tranquillement vers le hall et je demandais au concierge si il y avais du neuf. Il me répondit gentiment en me disant qu'une petite nouvelle attendais au hall mais que personne ne l'avais accueilli car elle étais arrivé avec une heure trente de retard. C'étais donc clairement compréhensible mais je savais qu'il n'y avais personne actuellement pour effectuer le sale boulot à ma place. Je pris donc les clefs de sa chambre et je partis l'accueillir comme il se doit enfin...comme je devais le faire. Je consulta d'abord le dossier sur cette jeune fille pour un peu savoir qui elle étais. Il semblerais que se soit une jeune démone: Chôko Haségawa. Et ben dis donc les parents s'étaient un petit peu compliquer leur misérable cerveau pour lui donner un nom à cette gamine. Enfin bon je n'avais pas de temps à perdre j'avais prit un petit esclave avec moi. Je me mit devant cette jeune fille:

-Yo. Tu poses pas de question, ce déchet va porter tes baguages et je vais te conduire à ta chambre. Et ne dis rien de désagréable sinon je te tue sur le champ et crois moi j'en suis bel et bien capable.

Elle ne pouvais pas voir mes yeux qui étaient masquer par leur coupe habituelle mais sinon elle aurais juste vu un regard meurtrier et donc il fallait mieux pour elle qu'elle ne m'énervais pas car j'étais en manque de meurtre en ce moment....

Je sentais que quelque chose n'allais pas bien du tout dans cet affaire, non vraiment ce n'étais pas du tout ce qui étais convenue dans le contrat que j'avais signer lors de mon arrivée ici. C'étais juste du foutage de geule que j'étais en train de subir. Non mais j'avais fait venir une victime pour sa pomme, je lui avais montrer ne serait ce qu'une once de gentillesse et comment elle me remerciait? En l'empêchant de lui prendre son violon. Mais on s'en fout de ton violon de merde, on va pas te le voler il sers à rien!!! C'est nul, infect, un petit truc en bois avec des cordes que n'importe qui ayant une intelligence pourrais le faire. Bien sur moi qui suis un génie cela ne me poserais pas de problèmes pour le refaire mais la n'étais pas la question puisqu'elle étais en train de me prendre la tête la. Enfin bon en plus il fallait qu'elle parle. Elle ne pouvais pas juste rester en silence comme je lui avais dit. Cela semblait cool au début, elle avais peur et je pouvais profiter pleinement de ma petite promenade silencieuse dans ce pensionnat mais NON!!! Ce n'étais surement pas assez "original" pour elle putain je hait les gens!!! Ils servent à rien ils sont nuls, infects, inutiles, des morceaux de viande, rien!!!!!!!! è_é. Nan mais franchement c'est quoi ce délire de faire ça. Expliquez moi, pourquoi vous ne pouvez pas vous taire hein? C'est trop difficile de vous la fermez quand on vous le demande c'est sa? Vous voulez jouer au rebelle? Et elle me demanda mon prénom. Tss N'importe quoi ça, elle me gonflais tellement que je lui répondis d'un air froid.

-Celui qui vas te tuer.

Et bim!!!! (ps-->vive le rewind ) Voila j'allais penser pouvoir être enfin tranquille et continuer à essayer de supporter rien que le fait de savoir qu'elle étais près de moi me rendais malade. J'avais la gerbe et l'envie de tuer qui étais en train de me monter au cerveau. Et elle me demanda en plus si j'étais prof....Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Grâce à mes pouvoirs je fit apparaître mes fils "invisibles" et je la ligota. Puis d'un geste rapide je la plaqua contre le mur, ma main sur sa gorge et je ne put m'empêcher de sourire.

-Shishishi...tu as gagné.... je vais te donner un indice pour que tu essayes de trouver mon ancienne profession.

Je fit apparaître un couteau sur ma main et je l'approcha près sa joue. J'usas de l'extrémité du couteau pour faire apparaître une jolie marque avec du sang. Je fit descendre le couteau jusqu'au bout de sa joue. Je retira le couteau et lécha le sang qui se trouvais dessus. Puis ensuite je poursuivais ma marche tout en la traînant grâce à un autre fil jusqu'en direction de ma chambre et je dis d'une voix comique.

-C'est l'heure de la friandise.

Je souhaitais à tout prix qu'elle ressente de la peur, une peur comme si sa vie allais s'arrêter dans quelques instants bien entendue je me retenais pour le moment mais ne sais on jamais... :O

Elle avais l'air assez innocente et ne savais pas du tout ou est ce que je pouvais bien l'embarquer ainsi. Elle ne savais rien du pensionnat, sa structure, les pièces etc... Elle ne pouvais donc même pas imaginer ce que je voulais lui infliger comme terrible châtiment. Enfin il fallait bien que je me défoule sur une personne et ce fut elle car elle étais la au mauvais moment et m'avais désobéit. Tant pis elle allais goûter à mon châtiment, celui d'un grand tueur professionnel faisant partie d'une unité d'élite, personne qui avais hériter du trône en tuant tout ceux qui étaient contre lui à l'âge de 8 ans. Je n'ai que mentionner ma personne, Prince the Ripper: Belphegor. J'eut une idée de génie dans ma tête comme toujours mais bon cela je ne le mentionne que trop peu pour que vous puissiez le comprendre, misérables personnes que vous êtes tapis derrière votre ordinateur à me surveiller dans mes "aventures" mais bon ce n'est pas grave, je vous pardonne car après tout je ne peut rien y faire si vous m'aimez . Je décida de descendre au sous-sol, en plus elle avais ouvert la bouche au début du trajet donc elle ne faisais que confirmer mes intentions de départ, un petit châtiment dans l'ombre. La dedans se trouvais une pièce, sombre, composé uniquement de 4 petits murs laissant un espace assez étroit pour une personne habitant la dedans. On pouvais sentir une odeur horrible d'humidité et de mélange de sang car en effet ce n'étais pas la première personne que j'embarquais la dedans. Il fallait que je trouve un endroit approprier pour torturer et tuer mes quelques victimes de ce pensionnat. Personne ne venais ici, j'avais dérober la clef au concierge et personne ne pouvais suspecter mes petites pratiques, mon petit plaisir, mon fantasme??? Je n'en savais même pas moi même la réponse, moi le génie avec une intelligence hors norme, pratiquant dans l'excellence. Je l'avais poser sur le lit et ne put m'empêcher de rire, tout en me crispant dans tout les sens ayant du mal à contrôler mes pulsions meurtrières mais c'étais beaucoup plus intéressant que la personne souffre. Je la laisser avec son pseudo doudou qu'étais son violon juste pour qu'elle garde une faible once d'espoir, de protection. J'adorais voire quand les personnes se demandaient si ils allaient mourir ou non, c'était si...excitant. Je la plaqua contre le mur et lui dit dans l'oreille

-Shishishi....Personne ne peut t'entendre ici...tu vas pouvoir hurler de douleur durant longtemps...

Je ressortis encore une fois un couteau pour effectuer une....puis deux...puis trois petites plaies au niveau de sa joue.

-Shishishi...Regarde toi, tu ne peut rien faire non? Tu as besoin d'aide? Peut être que ce stupide violon pourrais t'aider non?

Je me mit à mettre un couteau juste devant sa gorge, vu qu'elle était immobile elle ne pouvais faire grand chose.

-Et maintenant? Ce violon vas te protéger? Montre moi pourquoi tu y tiens tant... pourquoi les êtres inférieurs peuvent accorder tant d'importance à de modestes objets sans valeur!!!

Je me mis à rigoler et je dégageais une aura vraiment maléfique.... Je me léchais les lèvres pour voir sa réaction et je me délectait de se spectacle libérant la bête qui étais en moi....

Mais qu'est ce que je suis fort quand même... Qu'est ce que je suis puissant, je suis un dieu?!!! Shishishi... Je maîtrisais très bien l'art de la torture et mon petit stratagème avais l'air de fonctionner à merveille. Elle venait de subir un choc psychologique assez profond, un traumatisme sans doute dans lequel elle avais se souvenir de cette expérience durant longtemps voir...toute sa vie? J'adore attirer l'attention sur moi, la focalisation de tout ces faibles qui me dévisages de peur ou qui me glorifie qui sait? J'étais tomber sur pas mal d'admiratrices mais les pauvres... si elles avaient sut... leurs familles ne seraient surement pas en train de pleurer sur leur tombe au cimetière =°. Et donc on pouvais affirmer en toute certitude que j'étais le maître du jeu. J'étais le bourreau, l'exécuteur, celui qui commets ses actes maléfiques et horribles aux yeux d'un grand nombre de personne. Pour certains, que l'on nomme plus communément "psychopathe", c'étais plutôt du spectacle, un grand art. Pour noter la définition de mes meurtres, je devais appartenir d'après eux à la troisième catégorie. Je n'avais pas peur d'assumer qui je suis, je n'avais pas peur de la mort et de toute ses conneries.

Car après tout, ce n'étais pas moi qui jouais à la mort? Oui, j'étais vraiment un bourreau, je jouais avec des personnes comme si c'étaient des simples pantins, des marionnettes que je manipulais à ma guise grâce à mon cerveau et mes pulsions. Je me contentais juste de tuer par plaisir et rien de plus. Mais il fallait que se soi divertissent, je suis comme ces légendes de la guerre, ces empereurs rois et autres qui mélanger cruauté et spectacle. Je retombais dans cette même période est ma victime étais en état de choc, elle ne devais surement plus rien sentir sur une durée d'une trentaine de secondes approximatives. C'étais l'occasion pour lui faire un peu plus peur. Je pouvais très bien l'éventrer et sortir ses organes pour les lui montrer quelques instants avant sa mort. Je pouvais lui faire avaler je ne sais quel substance pour qu'elle soit absolument sans défense mais, cela faisait un petit peu violeur et je n'étais pas cela. Alors, je me mit à lui enfoncer quelques couteaux sur des parties du corps mais tout en évitant les points vitaux, il ne fallait pas qu'elle meurt, il fallait qu'elle vive, il fallait que je la plonge dans le désespoir tout en lui laissant une faible lueur d'espoir: c'est cela la base du sadisme et je le savais bien. Alors je pris ce gentil petit violon et je mit un couteau juste devant ses cordes, droit devant ses yeux pour qu'elle puisse bien le voir.

Je savais qu'elle y tenais plus que tout au monde, et j'hésitais à le détruire. Je ne savais pas encore ce que j'allais bien pouvoir faire par la suite, j'allais pouvoir le voir en fonction de ses larmes ou autres signes montrant ma supériorité face à cette....chose....

-Shishishi....Hey...petite.....Ce jouet que cette personne t'as offerte... cela te déranges si je le détruit devant tes petits yeux?

J'affichais un grand sourire, comme à mon habitude dans ce genre de situation. J'avais le contrôle et je voulais voir comment mon nouveau pantin allais bien pouvoir agir.

Hey mais attends!!! Je me sentais étrange, je n'avais pas calculer un détail. Ouais, je n'étais au final pas si violent que ça, étais je en train de m'attendrir? On dirait que je me suis un petit peu empresser sur cette situation et qu'au final, je ne devais pas passer pour un mec effrayant. Il en faut encore et toujours plus.... Oui. C'est ce qui arrive quand on rentre dans une addiction. On en veut encore et toujours plus. Car il en faut toujours plus pour notre corps, pour notre cerveau, pour notre plaisir. Vous ne vous en rendez surement pas compte dans votre vie quotidienne mais on est tous accro à quelque chose. Que ce soit des cigarettes, des substances illicites, un plat, les jeux vidéos etc... Toutes ces choses nous provoque un plaisir, et c'est en recherchant ce plaisir que nous continuons à effectuer cette chose. Et puis un jour, plus rien. Il nous en faut encore et toujours plus, pour que nous retrouvions ce petit plaisir que l'on s'offre rien que pour notre personne. C'est un égoisme pousser au final. Vous vous demander surement pourquoi je vous parle de tout cela dans mon histoire? Et bien c'est simple, c'est juste pour essayer de vous faire comprendre ce que je ressens en ce moment même. Je suis un droguer qui est accro à la violence et au meurtre. Et puis j'aimerais vous poser une question en général à vous tous.

Tu ne penses pas que tu n'est pas différent que ces personnes que tu insultes de "geek" ou de "toxico" alors que toi même tu est accro à quelque chose? Si tu est conscient de ce que tu est alors c'est très bien. Si tu ne l'est pas, j'espère que d'avoir lu ce petit passage te fera réfléchir.


Et donc si je continuais à parler, à débiter la suite de mon histoire que vous devez surement attendre et peut être vous être ennuyer ses mes pensées précédentes? Hé bien je m'en fiche. C'est moi l'écrivain et vous le lecteur, vous devez me supporter et qui sait apprécier? Il faut un peu se forcer parfois pour apprécier une oeuvre. Je devais lui apporter plus de douleur, donc après avoir fait mon petit speech et sans plus attendre je lui mit une claque un peu forte histoire qu'elle est une légère marque sur sa petite joue qui, au passage, étais remarquablement douce. Petit détail féminin sans aucun doute mais qui rend toujours la chose un petit peu plus agréable. Caresser un mouchoir en soie est une délicate sensation vous ne trouvez pas? Et donc il fallait bien que je réponde à son petit speech de femme qui se débattait pour sa vie, espérant qu'un prince vienne la tirer de cette endroit humide et sombre. Sauf qu'ici, le seul prince c'étais moi. Shishishi....dommage pour elle....

-Hey! Tu vois bien que ce violon ne te protégeras pas de tout, ce n'est qu'un objet au final et rien d'autre. Accepte la réalité et prépare toi à te morfondre en larme sans que personne ne vienne te secourir...