Un endroit étrange (Pv Kaito)

C'était le soir et Yakiza avait fini sa journée de travaille, mais quel journée ! Pour commencer, elle c'était lever en colère, car des étudiants s'amusait à lancer des roches sur les fenêtres des dortoirs des enseignant et des surveillants, mais ils avaient vite arrêter après avoir reçus une grosse rafale de vent. Un peu avant de déjeuner, elle avait glisser sur une flaque d'eau, car un élève s'exerçait à faire des statue de glace avec son pouvoir, mais il faisait tellement chaud qu'elle fondait à vu d'oeil.

L'après midi n'avait guère été mieux mal heureusement. Des gens se battaient, une autre qui a manquer de se noyer et certain qui séchait les cours. Yakiza se demandait vraiment pourquoi elle avait accepter ce job. En regardant en direction de la clôture, elle vit la ville et décida d'aller y faire un tour pour se changer les idées.

Le soleil était coucher et la nuit commençait à tomber lentement et doucement. Les lumières de la ville commençais à se réveiller et briller de toutes leurs éclats. En regardant les boutique et les restaurent, rien ne l'intéressait vraiment. Elle a vécus dans un village et ne connaissait pas vraiment les choses superflus, sauf peut être la musique qui était l'exception à la règle.

Toujours en marchant, elle sortit de la ville pour entrer dans un petit sous bois qui n'était pas vraiment boiser et vit à travers les arbres quelque petites lumière qui illuminait faiblement. Intriguer Yakiza prit le petit sentier qui semblait donner sur cette destination.

Elle avança lentement pas trop presser de découvrir ce qui se cachait dans ce bois, mais quand elle vit des piliers, elle arrête net. Elle regarda entre les arbres pour être bien sur de ce qu'elle voyait. Ses pied bougeait tout seul et se rendit devant le temple. Il y avait plusieurs bougie d’allumer, mais personne ne semblait être présent.

Il y avait un temple dans son village, elle n'y avait jamais été, jusqu’à ce que ses parent la renie. Elle y était presque tout les jours, pas pour prier, mais seulement pour se retrouver seul. C'était un endroit paisible et personne n'y allait jamais. Le fait de voir un temple ici la rassurait un peu. Il avait les même pilier blanc, mais il était un peu plus grand et prestigieux.

Elle se plaça son mp3 au centre de la pièce et mit le son au bout pour qu'elle résonne sur les murs. Elle se plaça ensuite assise contre un mur et ferma les yeux en écoutant la musique rebondir sur les murs. Il n'y avait pas de loi qui exigeait qu'on prit dans cette établissement et rien ne parlait du non droit à la musique. C'était comme si elle se retrouvait pendant un petit moment.

Cette nuit là la lune fut rayonnante ce qui me poussas à déserter le pensionnat une fois de plus. Aucun son ne provenait de la ville. Les faibles lumières de la ville lui rappelaient quelque souvenir liée à son enfance. Rien de très important juste un souvenir infantile. Je pensa à un lieu que je n'avait pas visité, la forêt. Je prit donc direction jusqu'à entendre un faible son. S'approchant du son, Je découvris un temple qui ne devait être que peu visité. Je me collas à la paroi d'un mur pour écouter le son qui s'intensifie. je penche une oreille et comprends qu'une personne s'y trouvait. Je songeas à deux situations. Soit être curieux et me pencher vers cette personne pour voir si elle était une de mes connaissances ou tracer ma route. Après tout, rien ne m'obliger de rester par ici. Mais je suis assez curieux... Finalement, je m'en fichais, je lâche donc un soupire trouvant cette situation ennuyante et commença à foutre le camp..

Malgrer la musique qui résonait sur les mur, Yakiza entendit des branches craquer sous le pour de quelque chose qui était en déplacement. Sans plus attendre, elle arrêta sa musique et alla voir à l'extérieur. Elle vit une silhouette qui commença à partir dans la direction opposer. Quelqu'un l'avait suivi et l'observait. Une des chose qu'elle détestait le plus c'était de se faire observer, alors sans réfléchir, elle envoya une rafale de vent qui cloua l’individu en question au sol. Elle s'approcha lentement pour voir de qui il s'agissait en se mettent devant lui.

- Hey, toi. Pourquoi tu te cache comme ça.

Les chandelles illuminait toujours et reflétait sur le garçon immobiliser sur le sol. Yaki pouvait voir les détails de son visage. Elle l'avait vu dans le dossier qu'on lui avait remis à son arriver, mais son nom lui échappait. Elle réfléchit un petit moment et le retrouva.

- Tu es monsieur Isamine si je ne me trompe pas.

Elle lève sont sort pour qu'il puisse se relever. Le fait qu'il était sortir en dehors des heures de fermeture du pensionnat ne la dérangeait vraiment pas, mais qu'il puisse l'observer sans rien dire l'agaçait beaucoup. Elle se fessait peut être des idées en disant qu'il la suivait, mais depuis la mort de son frère et ne prenait rien à la légère.

Fut soudainement projeté au sol par une bourrasque de vent. Quand je vit la personne que j'espionnais quelque minutes je changeas de comportement. Je la regarde du coin de l'oeil avec un air arrogant. Je vus juste avec le peu de lumière présente son visage et ses cheveux. Rien à en dire. Quand elle me relevas je fut un peu vexé d'avoir été propulsé aussi aisément. Je lâche un juron discrètement puis tournas vers la sortie.

"Désolé pour le dérangement madame. Et oui je suis Kaito Isamine, pas de monsieur avec moi."

Je basculas ma tête sur le côté droit puis soupire. Je me retournas vers la femme et lui demandas son nom. J'étais toujours énervé qu'elle met fait ça mais...je l'ai mérité.

"Je vous est rencontré par pure hasard, ne vous faite pas d'idées."

Yakiza n'aimait pas parler d'elle, mais elle devait bien se présenter à son tour. En le regardant se lever sans lui offrir son aide, car il n'en avait pas besoin et même si ça l'avait été le contraire, elle n'aurais pas lever le petit doigt. Le fait qu'il lui demande de l'appeller simplement par son nom lui rendait sa tâche plus simple. Elle n'aimait pas toute ses formalité.

- Je m'appelle Yakiza Atsu et je suis la nouvelle surveillante du pentionnat, voilà d'où je connais ton nom.
Elle croisa les bras, pas pour se montrer autoritaire, mais seulement car cette position était confortable. Il lui assura qu'il ne la suivait pas et que c'était par pure hasar qu'il se trouvait à la même place qu'elle. Il n'empèche rien au fait qu'il l'espionnait pareil.

- Si tu m'a rencontrer par pure hasard, tu peux me dire pourquoi tu m'espionnait ?

Même en posant la question, elle croyait déjà connaître la réponse. Ce n'était pas spécialement elle qu'il espionnait, mais plutôt, il voulait surement savoir ce qui se passait dans se templa avec toute cette musique qui résonnait. Mais ce n'était pas une raison pour ce cacher et c'est ça qui la mettait en colère, même si elle gardait son calme devant lui.

Je lâche un juron puis la regarde du coin de l'oeil la voyant ayant changer de position, je ne sait pour qu'elle raison. Je baille puis lui répond.

"Je m'emmerdais et en cherchant un moyen de me distraire je suis tombé ici. J'ai entendu ta musique puis je suis venu dans le temple et ne voulant pas te déranger, je t'ai espionnait. Mais ne t'inquiète pas, j'allait pas tarder à partir avant que tu me fout au sol. Enfin...J'ai plus rien à dire..."

Je tournas mon regard vers le mur puis glissas mon regard vers la sortit.

"Si tu veut je te laisse ici et je me casse..."

J'attendit donc sa réponse en roulant mon regard sur elle.

Yakiza le regarda sans vraiment savoir quoi penser. Elle n'avait pas rencontrer beaucoup de gens ici encore et après ses explication plutôt superflu et secoua la tête. C'était une surveillante et elle ne devait pas avoir tout les étudiants à dos. Elle soupira un instant et le regarda dans les yeux. Elle parla d'une voix neutre pour ne pas influencer sa décision.

- Tu peux rester si tu veux. De toute façon je m’emmerdait.

Elle s'assit par tête puis s'adossa aux mur. Elle chercha un moment dans ses poche pour enfin sortir des pocky qu'elle s'empressa de manger, car elle commença à avoir faim. Lui était toujours debout devant elle à la regarder. Le fait que quelqu'un l'observait la mettait mal alaise. Elle détestait vraiment cette sensation. Elle soupira en secouant la tête et le regarda de nouveau.

- Alors ? Tu vas quand même pas rester planter là.

Sa patience avait des limites, mais sa voix était toujours aussi neutre.