A Raining Day like Painful Sorrow, Farewell Dear Teacher/ PV Erza-Sensei

Epilogue I : Une Dure Décision

Le ciel... Cette énorme étendue bleuâtre était-elle heureuse de ne jamais pouvoir converser avec la terre ? Et elle-même, cette terre sur laquelle nous marchions chaque jour à longueur de journée... Ne voudrait-elle pas rejoindre le ciel et cohabiter avec celui-ci ? Je me rendais compte nous autres, humains ou encore créatures surnaturelles qui part la grâce d'un être supérieur avions pu exister sur cette planète, avions drôlement de la chance. Nous n'étions pratiquement jamais seul, et même pour ceux qu'il l'était au debout, il ne le restais jamais très longtemps. Enfin tout cela c'était vraisemblablement assez véridique en ce qui concernait les autres races mais nous, les Hybrides ou même les Nekos, nous étions et nous serons toujours des poids à cette avancée. Nous ne sommes tous deux que les fruits d'une Pseudo-Expérience ratée, nous avons toujours été maltraitées par les autres races dites supérieures. D'après eux nous n'étions que des déchets humains... Mêmes les races dés quelle nous provenions ne traitaient pas comme leur égaux, nous étions les déchus.. des expériences raté, imparfaite à la limite d'être qualifier de défectueux. Depuis le début de ma pénible existence, les gens ne désiraient finalement que ma propre mort, que je disparaisse de leur souvenirs. La seule personne que je pourrai daigner pardonner et bien c'est ma défunte mère... Après tout, celle-ci avait sacrifier la précieuse existence en ce monde pour m'offrir la chance de moi aussi vivre en ce monde qu'elle avait tant chéri. Quant à ce beau père que j'avais reçu à la naissance, je ne nourrissais seulement que de la haine pour celui-ci. Il avait tenté de m'éliminer sans même me laisser une chance de pouvoir expier ma faute et de pouvoir me racheter envers lui... Certes j'avais tuer la femme de ses rêves et la seule qu'il avait véritablement aimé en sa pitoyable vie mais ce n'était surement pas ce qu'elle aurait voulu qu'il fasse. Maudit comme je suis, il fallut qu'alors que je venais de retrouver mon père et que bien évidemment je m'attache à lui, celui-ci ne meure la veille de mes 9 ans. J'ai alors été élevé par une infirmière que je ne connaissais à peine, elle m'envoya à l'école mais j'y étais aussi considéré comme un monstre. A cette époque, j'y étais craint pour une seule et unique raison : Mes pouvoirs. C'était mon père qui m'en avait appris l'existence, il disait que c'était une chose qui me servirait dans la vie, une chose qui me protégerait tout au long de ma vie... Pourtant elle ne faisait que me rendre triste et me changeait peu à peu en un solitaire sans le moindre ami. Mes pouvoirs rendait mes yeux rougeâtres quand je l'utilisais et vu que je ne les maitrisais pas, ces yeux qui étaient les miens étaient sans cesse de deux couleurs différentes. Je ne songeais plus qu'à une chose... M'éloigner de ces gens qui me détestaient tant et devenir quelqu'un d'insociable et c'est ce qui arriva durant les onze dernières années de ma vie. J'avais utiliser mes pouvoirs pour ma propre utilisation, afin d'améliorer ma vison des choses, mon intelligence ou autre choses en tout genre quand un autre incident arriva.

Cette femme qui détenait mon destin dans ces main, cette femme qui aurait très bien pu décider de mettre fin à mes jours mourut. Peut-être qu'elle aurait du écouter les dires des habitants et me fuir. Peut-être qu'elle aurait du me tuer étant jeune; seulement l'heure n'était plus au supposition... Elle n'en avait juste pas eu l'occasion. J'écoutais ces dernières paroles avant que la lueur dans ses yeux ne s'éteigne :

-« Au cas ou nous ne serions plus là pour toi, ton père voulait que tu te rendes à cet endroit... Tiens c'est ton inscription. Et n'oublies pas, peu importe ou tu vas... Ne change jamais Kou-chan ~ »

Tout ça avant que je n'arrive ici à Kageshiro... Cet endroit c'est devenu ma nouvelle maison, j'y ai rencontré plein de personnes avec qui j'ai tissé des liens plus ou moins étroits et c'est véritablement quelque chose. C'est la première fois que je me sens autant apprécié d'une communauté, ils m'ont accepté comme j'étais avec et sans mes pouvoirs. Ils m'ont offert l'amitié, l'amour et même la confiance en autrui toutes ces choses en lesquelles j'avais totalement cessé de croitre... Mais la encore ma malchance intervient... Tout à d'abord commencé avec cette fille Yui, je l'avais rencontré un soir en sortant par pur hasard du pensionnat histoire de prendre l'air. Je l'ai renversé et nous avons eu une légère altercation car celle-ci refusait que je l'aide alors que j'étais la personne qui avait renversé ses courses. Elle partie alors en courant laissant subitement tombé son portefeuille à même le sol. En bon gentlemen que j'étais, je me devais de lui rapporter son bien et c'est ce que je mis à faire mais soudain... Un cri et une odeur de sang flottant dans l'atmosphère, étant quelque peu vampire ce fut un détail qui ne m'échappa pas complètement et me poussa aller voir ce qui se tramait. Je constatais alors avec horreur que ce sang appartenait à Yui, je l'a savais alors de ses deux mystérieux vampires, devenant par la suite l'un de ses amis. Cependant quelque temps après ces évènements, elle disparu du pensionnat.

Puis ce fut tour de Ashe... Elle, c'était la sœur de Xanxus-Sempai et l'infirmière du pensionnat par la même occasion. C'était Erza-Sensei et Xanxus-Sempai qui me l'avait présenté, et dés la première fois j'ai craqué. Juste pour elle, j'aurais bien aimé posséder cinq vies bien distinctes... Je serai né et aurait vécu dans cinq endroits différents... J'aurais connu cinq fois plus de gens, j'aurais eu cinq cultures culinaires différentes, Et, ..... cinq fois...... Je serais tombé amoureux... De cette même personne. Elle était comme moi, gentille mais avaient peur de ses actes. Elle était ravissante et avait pour plaire enfin pour me plaire. De ces long cheveux violets, à sa drôle de coiffure en forme d'ananas. De son magnifique visage à ses splendide et étincelantes prunelles dont mes yeux ne pouvaient se détourner. De plus comme mon sensei que j'ai toujours idolâtré, elle était forte et c'était un ange resplendissant de bonté. Regarder les étoiles avec elle, c'était apaisant et puis avec elle je me sentais enfin aimé de quelqu'un comme Xanxus avec Erza. C'était notre rêve de devenir un couple comme ces deux là, même que l'on avait décidé de se fiancer le jour de leur mariage ou nous étions les témoins. Et puis ce premier bal ou j'ai étais avec elle, c'était exceptionnelle ! J'avais peut-être maudit par une chose qui ne m'appréciait guère mais tant qu'elle était la lumière qui veillait sur moi, rien ne pouvait m'atteindre. Enfin c'était encore une fois ce que je pensais mais je m'étais seulement bercé de stupides illusions... Tout ce bonheur ne fut que de courte durée. Je crois que le jour où Ashe, à disparut de ma vie, j'en ai moi même perdu le goût de vivre, j'avais perdu une majeur partie de moi-même qui laissait un énorme vide que rien sauf elle ne pourra combler à l'intérieur de ce cœur. Je serais sans doute encore dans cet état là si Erza-Sama n'avait pas été là pour moi, il me reste certainement de grave séquelle mais je sais que je pourrais compter sur mon Sensei pour me soutenir. Mais si j'avais un seul et unique vœu à formuler aux yeux du monde, et bien... Comme Orihime le dit dans bleach «Si j'étais la pluie.. Pourrais-je toucher le cœur de quelqu'un ? A l'image de la pluie qui réussit à réunir le Ciel et la Terre éternellement Distant ?...»

-« Et bien moi "Si j'étais la pluie, il n'y aurait que ton coeur que je voudrais pouvoir toucher... Afin que nous puissions rester ne fit-ce qu'une journée tous les deux éternellement réunis... Ashe-Chan ~" »

Moi qui croyais qu'elle résisterait, j'allais finalement devoir la perdre à son tour... J'allais finalement devoir Erza-Sensei, celle qui m'a pratiquement tout appris comme l'aurais fait une mère aimante et dévouée. Elle m'appris à faire confiance aux autres, me défendre voir répliquer aux coups adverses. Elle m'a montré que ma vie pouvait être joyeuse comme celle des autres et que ce n'était seulement de me décider de me faire confiance et à avancer vers eux. Elle était un maître, une confidente, une amie, une sœur et même une mère pour moi c'est tout ce qu'elle représentait à mes yeux. Elle mon indispensable rayon de soleil quotidien, cette agréable stupide femme. Je cessais alors ressasser les souvenirs de mon passée et cessais d'observer attentivement les douce perles de pluie ruisseler sur le rebord ma fenêtre comme les larmes que je souhaitais du fond de mon cœur pouvoir verser. J'avançais vers la porte de ma chambre inhabituellement froid envers les autres, ne ressentant que du mépris pour ce monde qui me méprisait lui aussi. N'ayant même l'envie de m'amuser, d'un coup de pied sous la gorge, je collais l’énorme type qui était situé devant le mur de ma chambre avant de lui dire d'un air froid :

-« Que je te revoies plus dans ce couloir... " » Dis-je avant de ne littéralement le jeter au sol et poursuivre mon chemin

Mains dans les poches je faisais apparaître mon Katana avant de ne disparaître subitement de la vue de l'autre abruti de ma précédente altercation. J'avançais toujours la tête baissée sans regarder ou même je m'étais les pied et qui je pouvais bel et bien bousculer. Je ne faisais qu'entendre toujours ces voix, ces murmures qu'ils se disaient tout bas... Ces murmures où ils se demandaient tous si j'étais devenu fou. A bout de nerf, je shootais dans un des casiers du hall, déformant quelque peu la porte de celui-ci sur le coup avant de ne continuer ma route vers elle. Vers mes explications.. Vers Erza-Sama. Je sortais alors en dehors du pensionnat malgré cette pluie incessante et battante qui m'empêchait de voir clairement la où je me dirigeais. Il me fallait ces réponses, elle étaient essentielles car même si on avait déjà trouver une prof de remplacement il n'y avait certainement aucun doutes qu'Erza-Sensei savait que j'allais agir de cette façon et me rebeller. Je courais toujours tout droit sans dévier ma direction initiale quand un homme assez grand et assez musclé vint se mettre en travers de ma route. Il criait à tue-tête qu'il était venu pour affronter quelqu'un de fort, quelqu'un qui se nommait Erza Scarlett... Il n'était pas digne de l'affronter et sa bouche ne l'était pas assez pour prononcer son nom. Il me fonça dessus avec une rapidité ennuyante, et frappait tel une personne à la limite de l'ivresse. Je me contentais seulement de l'esquiver avec de l'enchainer d'une ribambelle de coup de pied au visage après quoi d'un coup de pied circulaire, je l'envoyais au tapis. J'étais déjà suffisamment en rogne avant qu'il ne vienne à ma rencontre mais à présent c'était bien pire. Je m'élançais vers celui-ci sans même m'arrêter alors qu'il se relevait certes lentement, je poursuivais ma course effrénée au même rythme voir même à un rythme plus rapide avant de ne m'élever dans les airs d'un saut et de lui retomber sur la tête pied en avant afin de lui écraser la tête contre le sol par la même occasion.




- « Que tu vives ou que tu meures... Ce n'est pas un problème. Mais que tu te pointes lorsque mon cœur fulmine de rage est passible de mort. Toi et pitoyable destin n'oser plus jamais me faire face... Que je sois heureux ou furieux... Ton châtiment sera le même. »Je l'observais alors avant de libérer un rire assez sadique puis reprit de plus belle. «Je n'autoriserai pas qu'un imbécile comme toi l'a défie... Ce serai de toute façon peine perdue." » Dis-je avant d'essuyer les traces de son sang jonchant ma chaussure sur son front et de poursuivre mon chemin

J'y étais bientôt arrivé et j'appréhendais déjà la discussion que j'allais entretenir avec Erza-Sensei qui avait surement été prévenu de mes ravages au pensionnat. Mais bon après tout, c'était aussi un peu de sa faute à elle aussi donc, elle n'allait pas trop crier enfin je l’espérais... Ce fut donc après une bonne dizaine minutes, que j'arrivais finalement à mes fins... Elle était là s'entraînant dans le parc, au moins qu'elle s'y défoulait car ces mouvements paraissaient étrangement agressif et cela même de la distance ou j’étais. Je m'approchais alors d'elle sans perdre une seule seconde puis l'interrompant dans ses exercices lui dit :


Kou - « Sensei ! On peut savoir c'est quand que tu avais prévu de m'annonçer que tu démissionnais de ton poste de Professeur enseignant l'art du combat ? »